Haute École Robert Schuman - Haute École Robert SchumanÉtablissement d'enseignement supérieur en Province de Luxembourg, la Haute École Robert Schuman dispense 30 formations de pointe dans les domaines suivants : santé, économique, pédagogique, social et Sciences & Technologies.
La HERS compte trois campus, situés à Arlon, Libramont et Virton. https://hers.be/component/tags/tag/instituteur-primaire2024-03-29T00:54:49+01:00Haute École Robert SchumanChoc culturel et expérience inoubliable pour le stage au Sénégal2022-05-02T06:27:34+02:002022-05-02T06:27:34+02:00https://hers.be/component/content/article/970-choc-culturel-et-exp%C3%A9rience-inoubliable-pour-le-stage-au-s%C3%A9n%C3%A9gal%3Fcatid%3D79%26amp%3BItemid%3D437Chargé-e de Communication HERS<p><img src="https://hers.be/images/2022/05/Sénégal_22_1.jpg" width="600" height="450" alt="Sénégal 22 1" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" dir="ltr" /></p>
<p>Depuis plus de 10 ans, des étudiants Bac 3 de la section Bachelier Instituteur préscolaire et Instituteur primaire réalisent un stage spécifique au Sénégal. Après une pause de deux ans pour cause de crise sanitaire, 34 étudiantes ont pris leur quartier dans la région de M’Bour, à 80 km au sud de Dakar, du 18 au 28 mars.</p>
<p>Arrivées à l’aéroport de Dakar, les étudiantes de la HERS, accompagnées de deux professeurs, ont été exposées d’entrée au choc culturel. En effet, l’écart entre les deux couches sociales, riches et pauvres, est énorme. Ce ressenti s’est intensifié lors des visites culturelles. Elles ont notamment découvert le commerce sénégalais à travers les différents marchés artisanaux où les autochtones vendent différentes sortes de produits manufacturés : tissus, bijoux, sculptures en bois... L’activité principale des M’Bourois tourne autour de la pêche. Direction le port de la ville où une grande partie des poissons est exportée vers le Portugal et la France. L’autre partie est vendue sur les marchés locaux par les femmes des pêcheurs. </p>
<p>Parallèlement aux visites culturelles, la délégation de la HERS a été confronté à l’enseignement sénégalais au travers d’un stage d’une semaine dans différents établissements : l’école élémentaire publique Keur Déthié, une « école de brousse » située à Sinthiou Mbadane, l’école Serrere Kaow à l’entrée de M’Bour et l’écolematernelle Yeewu Yeete. Après la traditionnelle journée d’observation, les étudiantes ont pris en charge leur classe jusqu’à la fin de la semaine. Originalité du stage et nouveau choc… pédagogique : une étudiante préscolaire prend en charge une classe en collaboration avec une étudiante primaire. </p>
<p><img src="https://hers.be/images/2022/05/Sénégal_22_4.jpg" width="600" height="450" alt="Sénégal 22 4" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" dir="ltr" /></p>
<p>Chaque classe regroupe en moyenne 40 à 50 enfants, et même 85 dans certains cas. Les établissements disposent de matériel rudimentaire, la pédagogie y est très différente de celle découverte lors de leurs études à Virton. Toutes ces différences ont ouvert l’esprit de nos futures diplômées, elles ont découvert que l’enseignement ne dépend pas uniquement du matériel dont on dispose mais surtout de la qualité et de l’investissement de l’enseignent. </p>
<p><img src="https://hers.be/images/2022/05/Sénégal_22_2.jpg" width="600" height="450" alt="Sénégal 22 2" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" dir="ltr" /></p>
<p>Pour conclure, ce stage spécifique a été une expérience bénéfique et émouvante. Il a donné aux étudiantes un aperçu de la culture et de l’enseignement au Sénégal. Des échanges qui ont changé leur vision des choses.</p>
<p><img src="https://hers.be/images/2022/05/Sénégal_22_3.jpg" width="600" height="450" alt="Sénégal 22 3" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" dir="ltr" /></p><p><img src="https://hers.be/images/2022/05/Sénégal_22_1.jpg" width="600" height="450" alt="Sénégal 22 1" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" dir="ltr" /></p>
<p>Depuis plus de 10 ans, des étudiants Bac 3 de la section Bachelier Instituteur préscolaire et Instituteur primaire réalisent un stage spécifique au Sénégal. Après une pause de deux ans pour cause de crise sanitaire, 34 étudiantes ont pris leur quartier dans la région de M’Bour, à 80 km au sud de Dakar, du 18 au 28 mars.</p>
<p>Arrivées à l’aéroport de Dakar, les étudiantes de la HERS, accompagnées de deux professeurs, ont été exposées d’entrée au choc culturel. En effet, l’écart entre les deux couches sociales, riches et pauvres, est énorme. Ce ressenti s’est intensifié lors des visites culturelles. Elles ont notamment découvert le commerce sénégalais à travers les différents marchés artisanaux où les autochtones vendent différentes sortes de produits manufacturés : tissus, bijoux, sculptures en bois... L’activité principale des M’Bourois tourne autour de la pêche. Direction le port de la ville où une grande partie des poissons est exportée vers le Portugal et la France. L’autre partie est vendue sur les marchés locaux par les femmes des pêcheurs. </p>
<p>Parallèlement aux visites culturelles, la délégation de la HERS a été confronté à l’enseignement sénégalais au travers d’un stage d’une semaine dans différents établissements : l’école élémentaire publique Keur Déthié, une « école de brousse » située à Sinthiou Mbadane, l’école Serrere Kaow à l’entrée de M’Bour et l’écolematernelle Yeewu Yeete. Après la traditionnelle journée d’observation, les étudiantes ont pris en charge leur classe jusqu’à la fin de la semaine. Originalité du stage et nouveau choc… pédagogique : une étudiante préscolaire prend en charge une classe en collaboration avec une étudiante primaire. </p>
<p><img src="https://hers.be/images/2022/05/Sénégal_22_4.jpg" width="600" height="450" alt="Sénégal 22 4" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" dir="ltr" /></p>
<p>Chaque classe regroupe en moyenne 40 à 50 enfants, et même 85 dans certains cas. Les établissements disposent de matériel rudimentaire, la pédagogie y est très différente de celle découverte lors de leurs études à Virton. Toutes ces différences ont ouvert l’esprit de nos futures diplômées, elles ont découvert que l’enseignement ne dépend pas uniquement du matériel dont on dispose mais surtout de la qualité et de l’investissement de l’enseignent. </p>
<p><img src="https://hers.be/images/2022/05/Sénégal_22_2.jpg" width="600" height="450" alt="Sénégal 22 2" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" dir="ltr" /></p>
<p>Pour conclure, ce stage spécifique a été une expérience bénéfique et émouvante. Il a donné aux étudiantes un aperçu de la culture et de l’enseignement au Sénégal. Des échanges qui ont changé leur vision des choses.</p>
<p><img src="https://hers.be/images/2022/05/Sénégal_22_3.jpg" width="600" height="450" alt="Sénégal 22 3" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" dir="ltr" /></p>Du primaire à l'université, un parcours d'une Constance remarquable2021-04-23T09:00:37+02:002021-04-23T09:00:37+02:00https://hers.be/component/content/article/602-du-primaire-%C3%A0-l-universit%C3%A9%2C-un-parcours-d-une-constance-remarquable%3Fcatid%3D79%26amp%3BItemid%3D437Chargé-e de Communication HERS<h3>Institutrice primaire diplômée en 2019, Constance Hinck évoque son parcours à la HERS et après. Témoignage...</h3>
<h4><img src="https://hers.be/images/actualites/pedagogique/constance-hinck-institutrice-primaire-hers-uclouvain.jpg" alt="constance hinck institutrice primaire hers uclouvain" style="margin-left: 10px; float: right;" dir="ltr" width="260" height="347" />Choisir la HERS pour y apprendre mon futur métier ? C’était une évidence.</h4>
<p>La HERS, c’est avant tout un établissement très cher à mon cœur : il fait partie de l’histoire de ma famille. Avant moi, mon grand-père, ma mère, mon oncle et ma tante y ont été diplômés. Tous ont d’ailleurs été formés au sein du département pédagogique de la Haute École situé sur le campus de Virton. C’est dire à quel point les racines de cette institution sont profondes… Lorsque j’ai décidé d’entamer un bachelier en instituteur primaire, il était évident pour moi que je le réaliserais à la HERS. Je voulais être préparée au mieux à l’exercice de mon futur métier et je savais que cet établissement me le permettrait. Il est une référence en province de Luxembourg et sa réputation n’est plus à faire.</p>
<h4>La HERS, un établissement à dimension humaine</h4>
<p>Dès mon entrée à la Haute École, je m’y suis sentie à ma place, comme à la maison. Des connaissances sont très rapidement devenues des amis, de vrais amis sur lesquels j’ai toujours pu compter. C’est une famille que nous formions à l’internat du campus de Virton. Avec un peu de recul, je réalise à quel point cet esprit convivial a contribué à ma réussite. La HERS est une institution à dimension humaine qui se soucie de l’épanouissement de ses étudiants.</p>
<h3>Institutrice primaire diplômée en 2019, Constance Hinck évoque son parcours à la HERS et après. Témoignage...</h3>
<h4><img src="https://hers.be/images/actualites/pedagogique/constance-hinck-institutrice-primaire-hers-uclouvain.jpg" alt="constance hinck institutrice primaire hers uclouvain" style="margin-left: 10px; float: right;" dir="ltr" width="260" height="347" />Choisir la HERS pour y apprendre mon futur métier ? C’était une évidence.</h4>
<p>La HERS, c’est avant tout un établissement très cher à mon cœur : il fait partie de l’histoire de ma famille. Avant moi, mon grand-père, ma mère, mon oncle et ma tante y ont été diplômés. Tous ont d’ailleurs été formés au sein du département pédagogique de la Haute École situé sur le campus de Virton. C’est dire à quel point les racines de cette institution sont profondes… Lorsque j’ai décidé d’entamer un bachelier en instituteur primaire, il était évident pour moi que je le réaliserais à la HERS. Je voulais être préparée au mieux à l’exercice de mon futur métier et je savais que cet établissement me le permettrait. Il est une référence en province de Luxembourg et sa réputation n’est plus à faire.</p>
<h4>La HERS, un établissement à dimension humaine</h4>
<p>Dès mon entrée à la Haute École, je m’y suis sentie à ma place, comme à la maison. Des connaissances sont très rapidement devenues des amis, de vrais amis sur lesquels j’ai toujours pu compter. C’est une famille que nous formions à l’internat du campus de Virton. Avec un peu de recul, je réalise à quel point cet esprit convivial a contribué à ma réussite. La HERS est une institution à dimension humaine qui se soucie de l’épanouissement de ses étudiants.</p>
Erasmus+ : une expérience à haut potentiel à Eindhoven2018-06-07T08:20:17+02:002018-06-07T08:20:17+02:00https://hers.be/component/content/article/232-erasmus-une-experience-a-haut-potentiel-a-eindhoven?catid=79&Itemid=437Chargé-e de Communication HERS<h3>Étudiante en<sup> </sup>Bac 2 Instituteur primaire, Élodie Neveu vit une expérience Erasmus+ extraordinaire aux Pays-Bas. Une expérience qui bouscule nos conceptions sur l'enseignement. Ses professeurs et la directrice de la catégorie pédagogiques sont allés à sa rencontre pour faire le point. </h3>
<p>Vous vous souvenez d'Élodie ? C'était le 26 octobre 2017. Elle faisait partie des étudiants qui ont partagé leur expérience Erasmus+ lors de la soirée des 30 ans du programme. Un grand moment...</p>
<p><img src="https://hers.be/images/actualites/pedagogique/eindhoven-erasmus-fontys-1.JPG" alt="Élodie Neveu entourée de ses enseignants à la Hoge School d'Eindhoven" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" /></p>
<p>Élodie séjourne toute l’année académique 2017-18 à la <a href="https://fontys.edu" title="En savoir plus sur notre partenaire" target="_blank" rel="noopener">Hogeschool Fontys</a> d'Eindhoven. Elle y suit un programme de cours combiné à des stages dans des écoles primaires néerlandaises.</p>
<p><acronym title="Professeur de Mathématiques à la HERS">Valérie Jusseret</acronym> et <acronym title="Professeur de Langues germaniques et Chargé de Relations internationales à la HERS">Patrick Galliez</acronym> lui ont rendu une première visite en décembre 2017, lors de son premier stage. Ils l'ont retrouvée une seconde fois à la fin du mois de mai, acommpagnés cette fois par Laurence Denis, Directrice de la Catégorie pédagogique.</p>
<p>À cette occasion, ils ont pu découvrir le milieu de stage d'Élodie, et surtout le système d'enseignement néerlandais. Celui-ci prend un soin tout particulier des élèves à haut potentiel. Les enseignants y sont formés à la détection et à l'encadrement de ces élèves, qui bénéficient d'une prise en charge spécifique. Un exemple pour notre pays, puisque le système néerlandais regroupe ces élèves HP au sein de classes entièrement dédiées à leur développement. Le système néerlandais a encore d'autres atouts. Il prévoit notamment un assistant supplémentaire par classe et une aide individualisée pour les élèves en difficulté.</p>
<p>Les enseignants de la HERS ont rencontré l'équipe pédagogique d'Élodie, et des projets de collaboration verront bientôt le jour. Parmi ceux-ci figurent la création de modules bilingues et la mobilité des professeurs des deux institutions partenaires, via le programme Erasmus+ STA.</p><h3>Étudiante en<sup> </sup>Bac 2 Instituteur primaire, Élodie Neveu vit une expérience Erasmus+ extraordinaire aux Pays-Bas. Une expérience qui bouscule nos conceptions sur l'enseignement. Ses professeurs et la directrice de la catégorie pédagogiques sont allés à sa rencontre pour faire le point. </h3>
<p>Vous vous souvenez d'Élodie ? C'était le 26 octobre 2017. Elle faisait partie des étudiants qui ont partagé leur expérience Erasmus+ lors de la soirée des 30 ans du programme. Un grand moment...</p>
<p><img src="https://hers.be/images/actualites/pedagogique/eindhoven-erasmus-fontys-1.JPG" alt="Élodie Neveu entourée de ses enseignants à la Hoge School d'Eindhoven" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" /></p>
<p>Élodie séjourne toute l’année académique 2017-18 à la <a href="https://fontys.edu" title="En savoir plus sur notre partenaire" target="_blank" rel="noopener">Hogeschool Fontys</a> d'Eindhoven. Elle y suit un programme de cours combiné à des stages dans des écoles primaires néerlandaises.</p>
<p><acronym title="Professeur de Mathématiques à la HERS">Valérie Jusseret</acronym> et <acronym title="Professeur de Langues germaniques et Chargé de Relations internationales à la HERS">Patrick Galliez</acronym> lui ont rendu une première visite en décembre 2017, lors de son premier stage. Ils l'ont retrouvée une seconde fois à la fin du mois de mai, acommpagnés cette fois par Laurence Denis, Directrice de la Catégorie pédagogique.</p>
<p>À cette occasion, ils ont pu découvrir le milieu de stage d'Élodie, et surtout le système d'enseignement néerlandais. Celui-ci prend un soin tout particulier des élèves à haut potentiel. Les enseignants y sont formés à la détection et à l'encadrement de ces élèves, qui bénéficient d'une prise en charge spécifique. Un exemple pour notre pays, puisque le système néerlandais regroupe ces élèves HP au sein de classes entièrement dédiées à leur développement. Le système néerlandais a encore d'autres atouts. Il prévoit notamment un assistant supplémentaire par classe et une aide individualisée pour les élèves en difficulté.</p>
<p>Les enseignants de la HERS ont rencontré l'équipe pédagogique d'Élodie, et des projets de collaboration verront bientôt le jour. Parmi ceux-ci figurent la création de modules bilingues et la mobilité des professeurs des deux institutions partenaires, via le programme Erasmus+ STA.</p>Étude sur l'activité physique et le bien-être à l'école : les résultats2019-09-04T06:14:28+02:002019-09-04T06:14:28+02:00https://hers.be/component/content/article/399-%C3%A9tude-sur-l-activit%C3%A9-physique-et-le-bien-%C3%AAtre-%C3%A0-l-%C3%A9cole-les-r%C3%A9sultats%3Fcatid%3D79%26amp%3BItemid%3D437Chargé-e de Communication HERS<p>Coordinatrice du Consortium Activité Physique Bien être et Santé (CAPBES), la HERS mène une étude dans le cadre du Pacte d'Excellence.</p>
<p>Elle organise pour cela des expériences pilotes dans les écoles primaires de la région, qui permettront de mettre en place une banque de données sur les pratiques de terrains validées scientifiquement.</p>
<p>Benoît Vercruysse est Docteur en Sciences de la Motricité, enseignant et chercheur à la HERS. C'est lui qui coordonne le projet et étudie les effets de la compartimentation des aires récréatives sur les enfants.</p>
<p>Avec Amélie Brau, chercheuse du projet CAPBES, et les intervenants de l'École fondamentale Arsène Geubels de Neufchâteau, Benoît nous livre les premiers résultats de l'étude.</p>
<p> <iframe src="https://www.youtube.com/embed/MUi10JHrC4w" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen="allowfullscreen" width="560" height="315" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;"></iframe></p>
<p> </p><p>Coordinatrice du Consortium Activité Physique Bien être et Santé (CAPBES), la HERS mène une étude dans le cadre du Pacte d'Excellence.</p>
<p>Elle organise pour cela des expériences pilotes dans les écoles primaires de la région, qui permettront de mettre en place une banque de données sur les pratiques de terrains validées scientifiquement.</p>
<p>Benoît Vercruysse est Docteur en Sciences de la Motricité, enseignant et chercheur à la HERS. C'est lui qui coordonne le projet et étudie les effets de la compartimentation des aires récréatives sur les enfants.</p>
<p>Avec Amélie Brau, chercheuse du projet CAPBES, et les intervenants de l'École fondamentale Arsène Geubels de Neufchâteau, Benoît nous livre les premiers résultats de l'étude.</p>
<p> <iframe src="https://www.youtube.com/embed/MUi10JHrC4w" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen="allowfullscreen" width="560" height="315" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;"></iframe></p>
<p> </p>Instituteur(trice) primaire 18 périodes Aix-sur-Cloie2023-11-07T09:45:18+01:002023-11-07T09:45:18+01:00https://hers.be/component/content/article/1350-instituteur-trice-primaire-18-p%C3%A9riodes-aix-sur-cloie%3Fcatid%3D127%26amp%3BItemid%3D437Chargé-e de Communication HERS<div>L’école communale d’Aix-sur-Cloie recherche un instituteur primaire pour 18 périodes (<span class="Object" role="link" id="OBJ_PREFIX_DWT580_com_zimbra_date">lundi</span>, <span class="Object" role="link" id="OBJ_PREFIX_DWT581_com_zimbra_date">mardi</span> et <span class="Object" role="link" id="OBJ_PREFIX_DWT582_com_zimbra_date">jeudi</span>) en P5 (16 élèves).</div>
<div>Ce remplacement est prévu jusqu’à fin décembre, mais sera peut-être prolongé.</div>
<div>Vous pouvez contacter Mme Denolf, directrice de l’école, à <span class="Object" role="link" id="OBJ_PREFIX_DWT583_ZmEmailObjectHandler"><a href="mailto:efcaix [AT] aubange [POINT] be" target="_blank" rel="nofollow noopener noreferrer"></a><a href="mailto:efcaix [AT] aubange [POINT] be">efcaix [AT] aubange [POINT] be</a></span> ou au 0491/62 17 48</div><div>L’école communale d’Aix-sur-Cloie recherche un instituteur primaire pour 18 périodes (<span class="Object" role="link" id="OBJ_PREFIX_DWT580_com_zimbra_date">lundi</span>, <span class="Object" role="link" id="OBJ_PREFIX_DWT581_com_zimbra_date">mardi</span> et <span class="Object" role="link" id="OBJ_PREFIX_DWT582_com_zimbra_date">jeudi</span>) en P5 (16 élèves).</div>
<div>Ce remplacement est prévu jusqu’à fin décembre, mais sera peut-être prolongé.</div>
<div>Vous pouvez contacter Mme Denolf, directrice de l’école, à <span class="Object" role="link" id="OBJ_PREFIX_DWT583_ZmEmailObjectHandler"><a href="mailto:efcaix [AT] aubange [POINT] be" target="_blank" rel="nofollow noopener noreferrer"></a><a href="mailto:efcaix [AT] aubange [POINT] be">efcaix [AT] aubange [POINT] be</a></span> ou au 0491/62 17 48</div>Journée d’échanges pour les Bac 3 des sections logo, présco et primaire2024-03-08T10:45:34+01:002024-03-08T10:45:34+01:00https://hers.be/component/content/article/1425-journ%C3%A9e-d%E2%80%99%C3%A9changes-pour-les-bac-3-des-sections-logo%2C-pr%C3%A9sco-et-primaire%3Fcatid%3D79%26amp%3BItemid%3D437Eddy Renauld<p><img src="https://hers.be/images/Regards_croisés.jpg" width="400" height="267" alt="Regards croisés" style="display: block; margin: 10px auto;" dir="ltr" />La « lecture enrichie partagée » était au centre de « Regards croisés », la journée d’études des étudiants de Bac 3 des sections logopédie, instituteur préscolaire et primaire.</p>
<p>Dans un premier temps, les étudiants ont suivi une séance plénière animée par Nathalie Thomas, licenciée en logopédie et experte en guidance parentale et lecture interactive.</p>
<p>Née au Canada et développée par le professeur Pascal Lefebvre en 2011, la « lecture enrichie partagée » est un dispositif d’enseignement préventif sur la façon de lire des histoires aux jeunes enfants en début d’apprentissage. Elle permet aussi de renforcer le vocabulaire, soutenir la langue maternelle mais aussi à sensibiliser les enfants à la diversité linguistique.</p>
<p>Ce rendez-vous annuel était aussi l’occasion pour nos étudiants des départements santé et pédagogique d’échanger sur leurs pratiques. L’après-midi a été réservé à des ateliers en petits groupes, histoire de favoriser le partage d’expérience de chacune et chacun.</p><p><img src="https://hers.be/images/Regards_croisés.jpg" width="400" height="267" alt="Regards croisés" style="display: block; margin: 10px auto;" dir="ltr" />La « lecture enrichie partagée » était au centre de « Regards croisés », la journée d’études des étudiants de Bac 3 des sections logopédie, instituteur préscolaire et primaire.</p>
<p>Dans un premier temps, les étudiants ont suivi une séance plénière animée par Nathalie Thomas, licenciée en logopédie et experte en guidance parentale et lecture interactive.</p>
<p>Née au Canada et développée par le professeur Pascal Lefebvre en 2011, la « lecture enrichie partagée » est un dispositif d’enseignement préventif sur la façon de lire des histoires aux jeunes enfants en début d’apprentissage. Elle permet aussi de renforcer le vocabulaire, soutenir la langue maternelle mais aussi à sensibiliser les enfants à la diversité linguistique.</p>
<p>Ce rendez-vous annuel était aussi l’occasion pour nos étudiants des départements santé et pédagogique d’échanger sur leurs pratiques. L’après-midi a été réservé à des ateliers en petits groupes, histoire de favoriser le partage d’expérience de chacune et chacun.</p>L’interdisciplinarité au cœur de la formation2019-04-24T08:28:45+02:002019-04-24T08:28:45+02:00https://hers.be/component/content/article/347-l-interdisciplinarite-au-coeur-de-la-formation?catid=79&Itemid=437Chargé-e de Communication HERS<h3>Ces jeudi 7 et vendredi 8 mars 2019 avaient lieu à Libramont deux journées d’étude interdisciplinaire. La première visait à réunir les étudiants des sections <i>Enseignants préscolaires et primaires</i> avec les étudiants de la section <i>Logopédie</i>, tandis que la deuxième était consacrée à l’interdisciplinarité dans le milieu paramédical.</h3>
<h4>L’interdisciplinarité pour mieux comprendre la complexité du monde</h4>
<p>Depuis notre plus tendre enfance, nous sommes habitués au découpage des savoirs. En effet, depuis l’école primaire, notre emploi du temps est divisé en fonction des différentes disciplines : maths, français, sciences, etc. Selon Francine Pellaud, professeure à la Haute École de Fribourg, ce découpage de la réalité a contribué au développement de spécialistes de très haut niveau. Cependant, comme le note la professeure Pellaud, nous sommes arrivés à un point où ce découpage ne permet plus d’avancer.</p>
<p>En découpant la complexité du monde en petits morceaux, nous constatons l’apparition d’interstices, qu’il faut absolument combler. Pour ce faire, il faut faire dialoguer les disciplines entre elles. Et c’est bien ce que font les enseignants de la HERS en proposant à leurs étudiants des journées d’étude consacrées à l’échange entre différentes disciplines.</p>
<h3>Ces jeudi 7 et vendredi 8 mars 2019 avaient lieu à Libramont deux journées d’étude interdisciplinaire. La première visait à réunir les étudiants des sections <i>Enseignants préscolaires et primaires</i> avec les étudiants de la section <i>Logopédie</i>, tandis que la deuxième était consacrée à l’interdisciplinarité dans le milieu paramédical.</h3>
<h4>L’interdisciplinarité pour mieux comprendre la complexité du monde</h4>
<p>Depuis notre plus tendre enfance, nous sommes habitués au découpage des savoirs. En effet, depuis l’école primaire, notre emploi du temps est divisé en fonction des différentes disciplines : maths, français, sciences, etc. Selon Francine Pellaud, professeure à la Haute École de Fribourg, ce découpage de la réalité a contribué au développement de spécialistes de très haut niveau. Cependant, comme le note la professeure Pellaud, nous sommes arrivés à un point où ce découpage ne permet plus d’avancer.</p>
<p>En découpant la complexité du monde en petits morceaux, nous constatons l’apparition d’interstices, qu’il faut absolument combler. Pour ce faire, il faut faire dialoguer les disciplines entre elles. Et c’est bien ce que font les enseignants de la HERS en proposant à leurs étudiants des journées d’étude consacrées à l’échange entre différentes disciplines.</p>
L’interdisciplinarité pour une meilleure prise en charge2023-04-20T08:35:15+02:002023-04-20T08:35:15+02:00https://hers.be/component/content/article/1211-l%E2%80%99interdisciplinarit%C3%A9-pour-une-meilleure-prise-en-charge%3Fcatid%3D79%26amp%3BItemid%3D437Chargé-e de Communication HERS<p class="Normale1"><span class="Enfasiintensa1"><span lang="FR"><img src="https://hers.be/images/2023/04/interdis23_1.jpg" width="200" height="150" alt="interdis23 1" style="margin: 0px 10px 5px; float: left;" dir="ltr" />C’est une tradition au sein de la HERS. Chaque année, les étudiants des sections de Logopédie, d’Instituteurs primaires et préscolaires ont la possibilité de confronter leurs approches. Cette journée interdisciplinaire, qui s’est déroulée début mars au Rox à Rouvroy, était centrée sur l’entrée des enfants dans le domaine des nombres et sur les écueils que peuvent rencontrer les enfants sur le chemin de cet apprentissage. <o:p></o:p></span></span></p>
<p class="Normale1"><span class="Carpredefinitoparagrafo1"><span lang="FR">L'objectif de cette rencontre est de faire en sorte que les étudiants prennent conscience de l'importance de la collaboration entre instituteurs et logopèdes ainsi que de la complémentarité existant dans l’approche de la numération dans le travail quotidien de chacun.</span></span><span lang="FR"><o:p></o:p></span></p>
<p class="Normale1"><span class="Carpredefinitoparagrafo1"><span lang="FR">Les obstacles rencontrés s’observent dans les salles de classe de la maternelle aux secondaires. Des études ont prouvé que pour les atténuer, il est essentiel de prendre l’enfant en charge le plus rapidement possible. Il est alors primordial que chacune des parties soit consciente du travail entrepris dans les classes ainsi que des possibilités de remédiation existantes. </span></span><span lang="FR"><o:p></o:p></span></p>
<p class="Normale1"><span class="Carpredefinitoparagrafo1"><span lang="FR">Répartis en petits groupes, les étudiants ont pu confronter leurs points de vue et découvrir les objectifs propres à chaque corps de métier. Les étudiants en logopédie ont pu expliquer la manière dont se fait un diagnostic tandis que les instituteurs ont pu expliquer leurs démarches. </span></span><span class="Carpredefinitoparagrafo1"><span lang="FR"><o:p></o:p></span></span></p>
<p class="Normale1"><span class="Carpredefinitoparagrafo1"><span lang="FR">Les étudiants ont alors pu se rendre compte des similitudes et complémentarités existant entre les différents matériels utilisés. Ce fut également l’occasion d’observer les éléments qui pourraient être transférables d’une situation de remédiation à une situation d’apprentissage et inversement. </span></span><span lang="FR"><o:p></o:p></span></p>
<p><img src="https://hers.be/images/2023/04/interdis23_2.jpg" width="400" height="300" alt="interdis23 2" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" dir="ltr" /></p>
<p class="Normale1"><span class="Carpredefinitoparagrafo1"><span lang="FR">Au cours de cette journée, nos futurs bacheliers ont pu profiter des interventions régulières d’Anne Chevalier professeur de mathématiques et formatrice de formateurs. Elle s’est, entre autres, intéressée à l’entrée des enfants en mathématiques et plus particulièrement à la construction des nombres naturels et des opérations. </span></span><span class="Carpredefinitoparagrafo1"><span lang="FR"><o:p></o:p></span></span></p>
<p class="Normale1"><span class="Carpredefinitoparagrafo1"><span lang="FR">Anne Chevalier a conclu la matinée d’échanges en s’appuyant sur les interrogations et remarques émises par les étudiants lors ce moment privilégié pour construire sa première intervention sur les bases de la construction des petits nombres et de la numération. Lors de l’après-midi, elle a accompagné nos étudiants dans une activité vécue, manipulée comme elle l’aurait fait avec de jeunes enfants afin de pouvoir partir d’un terreau commun pour appuyer sa seconde intervention visant à cerner la construction des grands nombres. </span></span><span lang="FR"><o:p></o:p></span></p>
<p class="Normale1"><span class="Carpredefinitoparagrafo1"><span lang="FR">Les étudiants ont pu constater à quel point l’échange d’informations et la communication sont deux biens précieux qu’il faut développer pour l’épanouissement et le bon développement de l’enfant.</span></span></p>
<p><img src="https://hers.be/images/2023/04/interdis23_3.jpg" width="400" height="300" alt="interdis23 3" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" dir="ltr" /></p><p class="Normale1"><span class="Enfasiintensa1"><span lang="FR"><img src="https://hers.be/images/2023/04/interdis23_1.jpg" width="200" height="150" alt="interdis23 1" style="margin: 0px 10px 5px; float: left;" dir="ltr" />C’est une tradition au sein de la HERS. Chaque année, les étudiants des sections de Logopédie, d’Instituteurs primaires et préscolaires ont la possibilité de confronter leurs approches. Cette journée interdisciplinaire, qui s’est déroulée début mars au Rox à Rouvroy, était centrée sur l’entrée des enfants dans le domaine des nombres et sur les écueils que peuvent rencontrer les enfants sur le chemin de cet apprentissage. <o:p></o:p></span></span></p>
<p class="Normale1"><span class="Carpredefinitoparagrafo1"><span lang="FR">L'objectif de cette rencontre est de faire en sorte que les étudiants prennent conscience de l'importance de la collaboration entre instituteurs et logopèdes ainsi que de la complémentarité existant dans l’approche de la numération dans le travail quotidien de chacun.</span></span><span lang="FR"><o:p></o:p></span></p>
<p class="Normale1"><span class="Carpredefinitoparagrafo1"><span lang="FR">Les obstacles rencontrés s’observent dans les salles de classe de la maternelle aux secondaires. Des études ont prouvé que pour les atténuer, il est essentiel de prendre l’enfant en charge le plus rapidement possible. Il est alors primordial que chacune des parties soit consciente du travail entrepris dans les classes ainsi que des possibilités de remédiation existantes. </span></span><span lang="FR"><o:p></o:p></span></p>
<p class="Normale1"><span class="Carpredefinitoparagrafo1"><span lang="FR">Répartis en petits groupes, les étudiants ont pu confronter leurs points de vue et découvrir les objectifs propres à chaque corps de métier. Les étudiants en logopédie ont pu expliquer la manière dont se fait un diagnostic tandis que les instituteurs ont pu expliquer leurs démarches. </span></span><span class="Carpredefinitoparagrafo1"><span lang="FR"><o:p></o:p></span></span></p>
<p class="Normale1"><span class="Carpredefinitoparagrafo1"><span lang="FR">Les étudiants ont alors pu se rendre compte des similitudes et complémentarités existant entre les différents matériels utilisés. Ce fut également l’occasion d’observer les éléments qui pourraient être transférables d’une situation de remédiation à une situation d’apprentissage et inversement. </span></span><span lang="FR"><o:p></o:p></span></p>
<p><img src="https://hers.be/images/2023/04/interdis23_2.jpg" width="400" height="300" alt="interdis23 2" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" dir="ltr" /></p>
<p class="Normale1"><span class="Carpredefinitoparagrafo1"><span lang="FR">Au cours de cette journée, nos futurs bacheliers ont pu profiter des interventions régulières d’Anne Chevalier professeur de mathématiques et formatrice de formateurs. Elle s’est, entre autres, intéressée à l’entrée des enfants en mathématiques et plus particulièrement à la construction des nombres naturels et des opérations. </span></span><span class="Carpredefinitoparagrafo1"><span lang="FR"><o:p></o:p></span></span></p>
<p class="Normale1"><span class="Carpredefinitoparagrafo1"><span lang="FR">Anne Chevalier a conclu la matinée d’échanges en s’appuyant sur les interrogations et remarques émises par les étudiants lors ce moment privilégié pour construire sa première intervention sur les bases de la construction des petits nombres et de la numération. Lors de l’après-midi, elle a accompagné nos étudiants dans une activité vécue, manipulée comme elle l’aurait fait avec de jeunes enfants afin de pouvoir partir d’un terreau commun pour appuyer sa seconde intervention visant à cerner la construction des grands nombres. </span></span><span lang="FR"><o:p></o:p></span></p>
<p class="Normale1"><span class="Carpredefinitoparagrafo1"><span lang="FR">Les étudiants ont pu constater à quel point l’échange d’informations et la communication sont deux biens précieux qu’il faut développer pour l’épanouissement et le bon développement de l’enfant.</span></span></p>
<p><img src="https://hers.be/images/2023/04/interdis23_3.jpg" width="400" height="300" alt="interdis23 3" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" dir="ltr" /></p>Mission « Erasmus Staff » à Porto2023-01-23T09:27:16+01:002023-01-23T09:27:16+01:00https://hers.be/component/content/article/1161-mission-%C2%AB-erasmus-staff-%C2%BB-%C3%A0-porto%3Fcatid%3D79%26amp%3BItemid%3D437Chargé-e de Communication HERS<p>Une délégation de la Haute École Robert Schuman, composée des coordinatrices en Enseignement Primaire et Préscolaire accompagnées du responsable des Relations Internationales, a participé à un séjour d’étude chez nos partenaires de Porto.</p>
<p><img src="https://hers.be/images/2023/Porto2.jpg" width="500" height="375" alt="Porto2" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" dir="ltr" /></p>
<p>Durant ce STT (Staff Mobility for Training), Patrick Galliez a notamment rencontré ses homologues RI de l’Instituto de Serviço Social ainsi que de la Porto School of Education. Annie Gofflot et Severine Libon ont, quant à elles, pu s’entretenir avec les différents coordinateurs de section portugais tant au niveau Bachelier que Master, ceci dans le cadre de la réforme de l’enseignement en Fédération Wallonie-Bruxelles qui verra le département pédagogique basculer en Masters en Enseignement dès septembre 2023.</p>
<p>Notre équipe pédagogique a également profité de ce déplacement dans le Nord du Portugal pour rencontrer deux étudiants en mobilité académique, Micael Alves (en section AS, co-diplomation avec l’Hénallux) et Wendy Sousa (section pré-scolaire). Nos deux étudiants sont tous deux enchantés de ce séjour durant lequel ils ont pu découvrir de nouvelles facettes de leur formation et pour Micael, une réalité très différente en stage.</p>
<p><img src="https://hers.be/images/2023/Porto1.jpg" width="500" height="375" alt="Porto1" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" dir="ltr" /></p><p>Une délégation de la Haute École Robert Schuman, composée des coordinatrices en Enseignement Primaire et Préscolaire accompagnées du responsable des Relations Internationales, a participé à un séjour d’étude chez nos partenaires de Porto.</p>
<p><img src="https://hers.be/images/2023/Porto2.jpg" width="500" height="375" alt="Porto2" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" dir="ltr" /></p>
<p>Durant ce STT (Staff Mobility for Training), Patrick Galliez a notamment rencontré ses homologues RI de l’Instituto de Serviço Social ainsi que de la Porto School of Education. Annie Gofflot et Severine Libon ont, quant à elles, pu s’entretenir avec les différents coordinateurs de section portugais tant au niveau Bachelier que Master, ceci dans le cadre de la réforme de l’enseignement en Fédération Wallonie-Bruxelles qui verra le département pédagogique basculer en Masters en Enseignement dès septembre 2023.</p>
<p>Notre équipe pédagogique a également profité de ce déplacement dans le Nord du Portugal pour rencontrer deux étudiants en mobilité académique, Micael Alves (en section AS, co-diplomation avec l’Hénallux) et Wendy Sousa (section pré-scolaire). Nos deux étudiants sont tous deux enchantés de ce séjour durant lequel ils ont pu découvrir de nouvelles facettes de leur formation et pour Micael, une réalité très différente en stage.</p>
<p><img src="https://hers.be/images/2023/Porto1.jpg" width="500" height="375" alt="Porto1" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" dir="ltr" /></p>Regards croisés : les logopèdes rencontrent les instituteurs2020-03-10T13:19:08+01:002020-03-10T13:19:08+01:00https://hers.be/component/content/article/462-regards-crois%C3%A9s-les-logop%C3%A8des-rencontrent-les-instituteurs%3Fcatid%3D79%26amp%3BItemid%3D437Chargé-e de Communication HERS<h3>Les désormais traditionnels « Regards croisés » entre la section logopédie et les sections instituteurs se sont tenus ce 5 mars 2020.</h3>
<p>Pour l’année académique 2019-2020, l’ancienne Ministre de l’enseignement Marie-Martine Schyns a débloqué plus de 10 millions d’euros pour financer le travail des logopèdes dans les écoles, reconnaissant de la sorte l’importance de la collaboration entre ces deux mondes professionnels.</p>
<p>L’objectif est que les professionnels du langage puissent venir en aide aux enseignants.</p>
<p>À la Haute École Robert Schuman, les équipes pédagogiques de la section logopédie et des sections instituteurs l’avaient bien compris et ont devancé les décisions prises puisque depuis 2017, des journées de collaborations entre les sections sont organisées.</p>
<p>Véritables lieux de rencontres et d’échanges, ces journées sont essentielles voire indispensables, car, comme le notent certains étudiants, la collaboration sur le terrain n’est pas toujours aisée. Chacun possède son vocabulaire et les contraintes des uns ne sont pas les contraintes des autres.</p>
<p>Apprendre à connaitre les réalités de chacun, tel est l’objectif de ces journées « Regards croisés ».</p>
<p>Sur le terrain, beaucoup de logopèdes ne comprennent pas pourquoi les instituteurs agissent de la sorte, et inversement. Or, certains actes que posent les instituteurs tirent leurs raisons d’être dans les programmes et/ou référentiels de compétences, qui sont des socles sur lesquels ils doivent impérativement se baser. Ceux-ci ne rendent pas toujours comptent des attentes des logopèdes.</p>
<p>Cette journée fut l’occasion de travailler en sous-groupes et de proposer un ensemble d’activités qui respectent les contraintes de chaque profession. Elle favorise au maximum l’apprentissage de l’enfant, car c’est bien là tout l’enjeu : permettre à l’enfant de développer au maximum ses capacités, tout en respectant ses particularités.</p>
<p>Permettre ces journées d’échanges, c’est permettre à chacun de comprendre la réalité de l’autre. Et essayer de faire que cette diversité devienne une réelle plus-value dans l’apprentissage des enfants.</p><h3>Les désormais traditionnels « Regards croisés » entre la section logopédie et les sections instituteurs se sont tenus ce 5 mars 2020.</h3>
<p>Pour l’année académique 2019-2020, l’ancienne Ministre de l’enseignement Marie-Martine Schyns a débloqué plus de 10 millions d’euros pour financer le travail des logopèdes dans les écoles, reconnaissant de la sorte l’importance de la collaboration entre ces deux mondes professionnels.</p>
<p>L’objectif est que les professionnels du langage puissent venir en aide aux enseignants.</p>
<p>À la Haute École Robert Schuman, les équipes pédagogiques de la section logopédie et des sections instituteurs l’avaient bien compris et ont devancé les décisions prises puisque depuis 2017, des journées de collaborations entre les sections sont organisées.</p>
<p>Véritables lieux de rencontres et d’échanges, ces journées sont essentielles voire indispensables, car, comme le notent certains étudiants, la collaboration sur le terrain n’est pas toujours aisée. Chacun possède son vocabulaire et les contraintes des uns ne sont pas les contraintes des autres.</p>
<p>Apprendre à connaitre les réalités de chacun, tel est l’objectif de ces journées « Regards croisés ».</p>
<p>Sur le terrain, beaucoup de logopèdes ne comprennent pas pourquoi les instituteurs agissent de la sorte, et inversement. Or, certains actes que posent les instituteurs tirent leurs raisons d’être dans les programmes et/ou référentiels de compétences, qui sont des socles sur lesquels ils doivent impérativement se baser. Ceux-ci ne rendent pas toujours comptent des attentes des logopèdes.</p>
<p>Cette journée fut l’occasion de travailler en sous-groupes et de proposer un ensemble d’activités qui respectent les contraintes de chaque profession. Elle favorise au maximum l’apprentissage de l’enfant, car c’est bien là tout l’enjeu : permettre à l’enfant de développer au maximum ses capacités, tout en respectant ses particularités.</p>
<p>Permettre ces journées d’échanges, c’est permettre à chacun de comprendre la réalité de l’autre. Et essayer de faire que cette diversité devienne une réelle plus-value dans l’apprentissage des enfants.</p>