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Sous l’impulsion de Jacinthe Dancot et du service des Relations internationales de la HERS, la 3e édition de la Semaine internationale des soins infirmiers a débuté ce mardi 23 avril sur le campus de Libramont. Cet événement, qui se tiendra jusqu’à ce jeudi 25 avril, regroupe différents partenaires internationaux de notre institution dans le domaine des soins infirmiers.
Durant ces trois jours de rencontre, nos hôtes découvriront le système de l’enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles mais aussi les spécificités du Bachelier infirmier(ère) responsable de soins généraux ainsi que notre Master en Sciences infirmières, organisé en codiplômation avec l’ULiège, HELMo et la Haute École de la Province de Liège.
Des séances de partage d’information, des présentations des institutions partenaires mais aussi des visites de terrain (SIAMU complication post-op vasculaire, enseignement des soins en santé mentale, activités d’intégration professionnelle, formation à la recherche, hôpital virtuel,…) sont aussi à l’agenda.
La question de la mobilité des étudiants sera aussi évoquée avec les possibilités de stage. Certains responsables « santé » profiteront également de ce séjour pour rencontrer le coordinateur de la section kinésithérapie de la HERS afin d’évoquer de futures collaborations.
Si vous désirez participer au programme Erasmus+ et vivre un séjour à l’étranger, n’hésitez pas à contacter Céline Gravé et Patrick Galliez au sein du Service des Relations internationales :
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Le vendredi 19 avril dernier, la commission des aînés de la Plate-forme de concertation en santé mentale de la province de Luxembourg, en collaboration avec la Haute Ecole Robert Schuman, a orchestré un colloque axé sur un enjeu crucial : "La prise en soin des aînés en province de Luxembourg".
Au cœur de cet événement, des interventions de spécialistes ont éclairé différents aspects de cette thématique, depuis les nuances de l'âgisme et ses répercussions sur la santé mentale jusqu'à la nécessité de la gériatrie et ses distinctions avec la médecine pour adultes jeunes. Les discussions ont également abordé les défis spécifiques des soins de santé mentale aux personnes âgées ainsi que le dispositif personnes âgées de Vivalia.
En clôture de cette journée riche en échanges, les étudiant·es en soins infirmiers ont présenté une cartographie détaillée des services dédiés aux aînés dans la province de Luxembourg, offrant ainsi une vision panoramique des ressources disponibles pour répondre aux besoins des personnes âgées.
Pour mener à bien leur mission, le corps étudiant a notamment prix comme base de recherche les 14 besoins de Virginie Andersen. Il s’agit d’une liste ordonnée de concepts qui définissent l’autonomie des individus sur les plans physiques, psychologiques et sociaux (besoin de respirer, de boire et manger, d’éliminer, de se mouvoir et de maintenir une bonne posture, de dormir et de se reposer, de se vêtir et de se dévêtir, de maintenir la température du corps, d’être propre et de protéger ses téguments, d’éviter les dangers, de communiquer, de pratiquer sa religion, de s’occuper et de se réaliser, de se recréer et d’apprendre).
Un travail exhaustif et de longue haleine qui est loin d’être terminé. « Le domaine est tellement vaste que notre cartographie est loin d’être complète. C’est une base de travail », précise Florence Gabrielle, Maître-assitante à la HERS.
Autre élément mis en avant, l’inégalité entre les aînés. « On a constaté qu’il y avait de grosses disparités entre l’offre en milieu urbain et en milieu rural. Autre souci : la difficulté de trouver des informations mises à jour régulièrement. Enfin, de nombreuses activités sont réservées aux aînés uniquement, il n’y a pas assez de liens intergénérationnels », conclut la responsable de la spécialisation en Santé communautaire.
Une météo exécrable, des participants enthousiastes et un bel élan de solidarité, voilà les ingrédients de l’édition 2024 de la Libr'Allure qui s’est tenue le 21 avril sur le campus de Libramont.
Organisée par les Bac 3 de la section kinésithérapie, cette manifestation vise à récolter des fonds afin de financer un stage sportif au Mont Blanc avec des personnes porteuses de handicap. Ce déplacement est d’ailleurs programmé du 13 au 20 mai.
Deux distances (6 et 12 km), à parcourir en courant ou en marchant, étaient proposées aux 160 personnes qui ont répondu présent. Parmi les nouveautés de cette année, un classement par équipes remporté par les Bac bois.
Hommes 6 km : 1. Théodore Dardenne (20'31''), 2. Antoine Waltzing (20'45"), 3. Noah Liégeois (23'50")
Dames 6 km : 1. Émilie Libert (26'18''), 2. Julie Guillaume (28'45''), 3. Sabrina Doyenard (33'15'')
Hommes 12 km : 1. Sylvain Williaert (47'48"), 2. Hervé Frys (51'21"), 3. Maxime Annet (51'32")
Dames 12 km : 1. Marine Baijot (1h02'51"), 2. Nina Duede (1h04'09"), 3. Laetitia Louis (1h07'20")
Équipes 6 km : 1. équipe Bac bois (Théodor Dardenne, Antoine Waltzing, Clément Capon, François Lambert) ; 2. équipe 1res kiné (François Tubez, Élio Cannarozzo, Mathieu Leblond, Brice Fiorelli) ; 3. équipe Les hobbits (Alain Noirhomme, Léo Vermesh, Évan Frémont-Colombe, Camille Noirhomme)
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Invité du « Café logo » du mois de mars, Josef Schovanek a accordé une entrevue à Chantal Deroanne et Sarah Laval, enseignantes en section Logopédie. L’occasion d’évoquer les personnes dites « différentes ».
« Étude prospective, interventionnelle, visant à démontrer l’intérêt de l’activité physique concomitante au traitement de chimiothérapie en hôpital de jour chez des patients atteints de cancer », c’est le thème du projet de recherche mené par la HERS qui a été retenue par la Fondation contre le cancer.
Ce projet, qui s’est vu allouer un budget de 39.000 euros, est porté au sein de notre institution par Astrid Van Belle, Catherine Staudt, François Tubez et François De Bruycker (chef du service de kinésithérapie de l'Hôpital Vivalia de Libramont). A cela s’ajoute la collaboration avec le Docteur Frédéric Forget, investigateur principal et chef du Service d'Oncologie de Vivalia Libramont, ainsi que les équipes de kinésithérapie des hôpitaux de Libramont et d'Arlon.
Dans la littérature scientifique, il a clairement été établi que l’activité physique est bénéficiable pour diminuer les effets secondaires des traitements anticancéreux. L’objectif recherché est d’instaurer l’activité physique de manière précoce, bien avant que la fatigue due au traitement ne soit trop importante et surtout sensibiliser les patients à cette thématique dès le diagnostic du cancer.
Concrètement, l’hôpital de Libramont a mis en place un programme dans lequel les patients sont sensibilisés à l'importance de l'activité physique. Le patient est alors invité à réaliser une séance de vélo d’entraînement en réalité virtuelle lors de ses séances de chimiothérapie afin de le conforter dans l’idée qu’il est apte à pratiquer de l’activité physique. En parallèle, il lui est également proposé de porter une montre équipée d'un capteur pour suivre son nombre de pas quotidiens durant toute la durée de son traitement.
L’expertise de la HERS permettra ensuite d’analyser l’impact de ce protocole de soins stimulant l’activité physique à Libramont par rapport à un protocole classique tel que préconisé dans les guidelines en oncologie et réalisé à l’hôpital d’Arlon. Les patients sous chimiothérapie des services d’oncologie de Libramont et d’Arlon, qui marquent leur accord pour intégrer l’étude, seront suivi pour une durée de 3 mois. Ils seront également soumis à différents tests (qualité de vie, quantité et intensité d’activité physique, évaluation de la force musculaire,…).
« Nous pensons réellement que ce projet innovant pourrait avoir un impact significatif sur l'amélioration de la qualité de vie des patients atteints de cancer et sur la manière dont l'activité physique est intégrée dans leur traitement », estiment les porteurs de ce programme.
La Haute École libre de Bruxelles, en collaboration avec l'ABBV Bobath mais aussi la HE2B, la HEPL, la HEPH-Condorcet, la HE Vinci, la HELHa et la HERS proposent à partir du 23 septembre 2024 un certificat unique en kinésithérapie pédiatrique.
Cette formation, de 60 crédits ECTS, se déroule sur 105 jours en présentielle entre septembre 2024 et juin 2026. Elle intègre notamment le cursus Bobath afin de répondre aux critères de l’arrêté ministériel sur la Qualification professionnelle particulière en kinésithérapie pédiatrique.
La méthode Bobath est une thérapie neurodéveloppementale (NDT), elle reste la plus utilisée dans le monde pour traiter les patients souffrant de lésions cérébrales. L’objectif de ce cursus post-master est de développer les connaissances et compétences dans les domaines de la neurologie, orthopédie et kinésithérapie respiratoire pédiatrique.
Les cours seront dispensés sur trois sites différents à savoir le Campus Erasme à Bruxelles, la HEPL à Liège et la HEPH-Condorcet à Charleroi et Tournai).
Module Neuro 1 : Bobath (formation Bobath intégrale ABBV)
Module Neuro 2 : pathologies neuromusculaires, polyhandicap et autres approches thérapeutiques (module neuropédiatrie)
Module Neuro 3 : prématurité, maladies génétiques et troubles neuro développementaux
Module 4 : cardio-respiratoire, oncologie et obésité
Module 5 : ortho-traumato-rhumato
Plus d’informations : dates, contenu et prix de la formation
Une délégation de la Haute École Robert Schuman, composée du responsable des Relations Internationales accompagné de la coordinatrice de la section Master en enseignement Section 1, a participé à un séjour d’étude chez nos nouveaux partenaires Erasmus de l’Université des Antilles.
Durant ce STT (Staff Mobility for Training), Patrick Galliez a notamment rencontré ses homologues du bureau des relations internationales de l’Université des Antilles, pôle de Guadeloupe et pôle de Martinique. Annie Gofflot a, quant à elle, pu s’entretenir avec les différents responsables de programmes ainsi qu’avec des collègues antillais. Ces rencontres ont permis d’échanger autour des pratiques, notamment dans le cadre de la réforme de l’enseignement en Fédération Wallonie-Bruxelles, mise en place dans le département pédagogique (basculement en Masters en Enseignement) depuis septembre 2023.
Ces échanges vont permettre d’élargir ce nouveau partenariat à d’autres sections et départements, tant pour la mobilité étudiante que pour la mobilité enseignante. Patrick et Annie ont eu l’occasion de présenter l’enseignement supérieur en FWB ainsi que la HERS et ses différentes formations, afin d’accueillir dans un avenir proche les étudiants antillais sur nos différents campus.
Notre équipe pédagogique a enfin profité de ce déplacement dans les Antilles pour rencontrer deux étudiantes en mobilité académique, Sara Riccardi et Aline Herz (section préscolaire). Nos deux étudiantes sont toutes deux enchantées de ce séjour durant lequel elles ont pu découvrir de nouvelles facettes de leur formation. Elles ont eu l’opportunité de réaliser un stage qui leur a permis de s’immerger dans la pratique professionnelle des maitres des écoles en Martinique.