COVID-19 : LA HERS ADAPTE LES AXES DE SON PLAN STRATÉGIQUE !
CONNECTEZ-VOUS À VOTRE COMPTE OFFICE 365 POUR DÉCOUVRIR LES MODIFICATIONS !
La structure en bois, qui était présente depuis le mois d’août 2021 au pied de la Basilique de Saint-Hubert, a pris ses quartiers d’été sur la Place communale à Libramont. Pour rappel, «Sortons du bois» est un jeu ludique qui ambitionne de faire découvrir aux visiteurs la filière bois. Ces derniers auront pour mission de résoudre diverses énigmes et sauver ainsi la région du danger qui la menace.
A noter que les étudiants du Bachelier en Management du tourisme et des loisirs de la HERS ont participé à l’élaboration de cet Escape Game en imaginant la scénographie. Après St-Hubert et Libramont, c’est la commune de Libin qui accueillera à son tour cet Escape Game, né de la collaboration entre le GAL Nov’Ardenne et Ressources Naturelles et Développement.
L’accès à cette attraction est gratuit mais les inscriptions sont obligatoires. Réservations via https https://rnd2.reservio.com/
CONNECTEZ-VOUS À VOTRE COMPTE OFFICE 365 POUR DÉCOUVRIR LES MODIFICATIONS !
Histoire de finir l’année scolaire de la plus belle des manières, le mémoire de kiné réalisé par deux anciens étudiants du département santé de la HERS, Lucie Marsala et Thibaut Detal, vient d’être publié dans la revue Science & Sport.
L’aboutissement de ce travail de longue haleine est le fruit d’une bonne collaboration entre la HERS et l’ULiège et plus particulièrement entre Gauthier Dorban et le Dr Olivier Bouquiaux.
L’objectif de cette étude visait à évaluer l’impact de trois séances hebdomadaires d’entraînement physique, dont une supervisée et collective sous forme de circuit training, sur les capacités physiques et la qualité de vie des personnes atteintes de scléroses en plaques (SEP).
Au final, il est apparu que le programme d’entraînement combinant le renforcement musculaire et les efforts cardiorespiratoires amélioraient globalement les capacités physiques et la qualité de vie des personnes atteinte de SEP.
Précédemment, le travail de Sarah Bertrand et Elif Yildiz, centré sur les effets d’un programme de danse sur la fonction motrice et le bien être des patients atteints de la maladie de Parkinson, avait également eu les honneurs d’une publication dans Science & Sports.
Joe De Smet a passé quatre mois dans les locaux du Marriott Hotel de Berlin, un hôtel d’affaires de 379 chambres qui compte également deux salles de conférence, des salles de réunion, un Centre d’affaires ainsi qu’un Centre de bien-être et de fitness.
« Cette infrastructure est considérée comme le fleuron du groupe Marriott International qui dispose de plus de 7.000 établissements dans le monde », précise cet étudiant en Bac 3 Tourisme. « Ce stage m’a permis de découvrir les spécificités propres de chaque département Housekeeping (entretien ménager), F&B (service de restauration), Guest experience (expérience client) et la réception.
« J’ai eu la chance de décrypter le fonctionnement des différents logiciels utilisés par l’hôtel dont Opera. C’est un système central à tous les établissements Marriott qui sert à gérer l’ensemble de l’établissement (départs, arrivées, repas,…) ».
En travaillant aussi bien le matin, le jour, le soir voire la nuit, Joe a pu se rendre compte de la spécificité de son travail. « La diversité de mes heures de travail m’a permis de visualiser l’ensemble de la gestion de l’hôtel et de comprendre les tâches à réaliser par les différents services. »
Dans un pays étranger, la question de la langue est évidemment très importante. J’ai suivi des cours d’allemand durant deux ans et demi, cela m’a permis de me débrouiller à mon arrivée. Grâce au vocabulaire spécifique souvent utilisé, il était facile de communiquer les choses les plus importantes. Par contre, en cas de demandes plus complexes, j’éprouvais des difficultés à poursuivre en allemand. Fort heureusement, j’avais l’opportunité de continuer la conversation en anglais. »
Au niveau de la mentalité, Joe a constaté que « les Allemands ont une manière de penser assez conservatrice ». Quant à la ville, Berlin affiche de nombreux atouts. « Il y en a pour tous les goûts : culture, histoire. J'ai eu l’occasion de visiter plusieurs musées originaux comme celui des illusions, des jeux-vidéos mais aussi le zoo, un aquarium sans oublier les ballades à travers les nombreux parcs qui garnissent la ville. »
Joe n’a donc aucun regret d’avoir vécu cette immersion au cœur de la capitale allemande. « Je suis fier de moi. Non seulement, j’ai muri et acquis une belle expérience professionnelle mais j’ai eu l’occasion de vivre seul dans un appartement et de m’en sortir par mes propres moyens. Cette expérience est une réussite à de nombreux points de vue. »
Si toi aussi, tu désires participer au programme Erasmus + et vivre un séjour à l’étranger, n’hésite pas à contacter le Service des Relations Internationales :
Le début de l’année 2022 a été marquée par la sortie de presse de la sixième édition du livre "Sécurité informatique, Ethical Hacking". Une œuvre collective à laquelle a participé notre collègue Laurent Schalkwijk. Un travail de longue haleine tant le domaine est complexe. « Le monde de l’informatique évolue tellement vite que certaines choses qui ont été écrites dans ce livre ne sont plus d’actualité alors que l’ouvrage est relativement récent », dit-il.
Entre cette nouvelle édition et la précédente, un peu plus de deux années sont passées. « J’ai écrit 2 des plus gros chapitres dans ce livre : sur le système d’exploitation et les réseaux. Ce sont les domaines où j’ai le plus de plus-value. Avec mes collègues, nous avons dû réécrire énormément de choses. Nous avons pris l’option « collective » car le domaine que nous traitons est tellement vaste. Chacun d’entre-nous dispose de son domaine de compétence. »
Une formule payante pour le lecteur mais aussi pour les auteurs. Ces derniers ont été récemment mis à l’honneur à l’occasion du FIC de Lille, le plus grand forum international sur la cybersécurité, en recevant le prix "Coup de cœur du jury". «Cela fait plaisir car chaque auteur a participé bénévolement à la réalisation de cet ouvrage. C’est bien d’être valorisé par ses pairs, c’est une vraie reconnaissance. »
Publiée en janvier 2022, cette « brique » de 970 pages est avant tout un ouvrage de référence pour les débutants et les étudiants, un peu moins pour Monsieur et Madame tout le monde car le contenu est complexe. « Ce livre permet d’avoir une bonne base car nous abordons énormément de thèmes différents. C’est un ouvrage diversifie et intéressant », conclut Laurent Schalkwijk.
Lire également L'expert en cybersécurité : nouveau héros des temps modernes ?
SÉCURITÉ INFORMATIQUE, ETHICAL HACKING : apprendre l'attaque pour mieux se défendre
Auteur(s) : ACISSI, Damien BANCAL, Franck EBEL, Frédéric VICOGNE, Guillaume FORTUNATO, Jacques BEIRNAERT-HUVELLE, Jérôme HENNECART, Joffrey CLARHAUT, Laurent SCHALKWIJK, Raphaël RAULT, Remi DUBOURGNOUX, Robert CROCFER, Sébastien LASSON.
Date de parution : 13 janvier 2022
Ref. ENI : EP6SEC
ISBN : 978-2-409-03366-7
Collection : Epsilon
La guerre en Ukraine a contraint des millions de personnes à quitter leur pays. Des milliers d’entre elles sont arrivées en Belgique. En l’espace de quelques semaines, les enseignants ont ouvert leurs classes à une population qui ne maitrise pas la langue française, et, de ce fait, ne maitrise pas la langue de scolarisation. Une question se pose dès lors : comment permettre à ses enfants de trouver une place au sein de la classe ?
Cette question n’est pas neuve, il s’agit d’une problématique récurrente qui apparait dès qu’un élève allophone pousse les portes de la classe. Or, dans notre société mondialisée, de plus en plus de diversités culturelles et linguistiques se côtoient au sein d’une même classe. Une richesse incroyable qui est parfois difficile à cueillir pour les enseignants, souvent sous outillés. Une piste pour intégrer les élèves allophones serait de valoriser les langues premières parlées au sein de la classe, de la sorte, chaque enfant se sentirait en sécurité et valorisé. C’est à partir de ce constat que la FWB a décidé de demander à ses enseignants de proposer de l’éveil aux langues aux élèves, et ce de la première maternelle à la deuxième primaire.
Un beau programme, mais qui n’est, malheureusement, pas toujours évident de mettre en place. Pour répondre à ce constat, Sandra Hennay et Isabelle Doneux, maitres-assistantes et chargées de cours à Haute École Robert Schuman, ont décidé de proposer un colloque autour du thème « les langues, c’est classe(s). » Ce colloque se déroulait le vendredi 13 mai 2022 sur le campus du département pédagogique de la HERS à Virton. Les participants ont pu assister aux exposés de Christine Hélot (professeure émérite à l’université de Strasbourg) et de Rudy Watiez (HE Léonard de Vinci) le matin et ensuite prendre part à différents ateliers.
Durant sa conférence, Christine Hélot a réexpliqué tout l’intérêt de l’éveil aux langues, non pas pour que tous les enfants deviennent de parfaits bilingues, mais pour qu’ils se rendent compte de la diversité du monde et qu’ils puissent s’ouvrir à d’autres cultures. « Donner à chacun l’occasion de faire entendre sa voix, c’est donner l’occasion à l’école de devenir plus juste, plus équitable. Accueillir la diversité de langues, c’est aussi reconnaitre les compétences linguistiques des enfants qui ne partagent pas la langue de scolarisation. » Compétences linguistiques qui sont malheureusement souvent invisibilisées par l’institution scolaire. Christine Hélot reconnait toute la difficulté de mettre en place l’éveil aux langues, surtout quand l’enseignant ne maitrise pas la totalité des langues parlées au sein de son groupe classe.
Pour contourner cette difficulté, les relations enseignants-parents sont fondamentales. Rudy Wattiez quant à lui est intervenu pour parler du document référence d’éveil aux langues. Il a tout d’abord expliqué la genèse du projet ainsi que les implications concrètes avant d’expliquer certaines modalités pratiques. Deux interventions des plus enrichissantes.
A la suite de ces deux conférences, les participants ont pu rejoindre des groupes de travail dans lesquels ils ont pu rencontrer des enseignants qui avaient eux-mêmes mis en place des projets audacieux afin de répondre à cette demande d’éveil aux langues. Des partages d’idées et d’informations pratico-pratiques qui ont permis à tout le monde de rentrer à la maison la tête remplie d’idées.
Succès total pour la 15e édition du Printemps de l’éthique. Après deux années d’absence en raison de la pandémie, près de 450 personnes ont répondu favorablement à l’invitation du Centre Ressort de la HERS et des soignants du groupe GIRAFE.
Thème de cette édition 2022 : « Quelle est donc la puissance de la douceur ? ».
Cette question a été pliée sous de nombreuses formes par une série d’intervenants de haut vol, dont le philosophe Jean-Michel Longneaux, le docteur Carl Vanwelde, mais également la nonne zen Alix Myôshô Helme Guizon, ainsi que l’anthropologue Jacinthe Mazzocchetti ou encore la pédiatre Valérie Hanssen.
Cette journée fût l’occasion de réfléchir collectivement à cette question, d’en mesurer toute la portée et la nécessité, mais aussi de se faire du bien et d’inviter chacun à l’issue de cette journée à faire vivre sous toutes ses formes la puissance de la douceur au fil des chemins qu’il empruntera.
Un reportage réalisé en collaboration avec TVLux a été diffusée en milieu de journée. « Un temps d’écoute à l’écoute du temps », réalisée par Cécile Bolly (Centre Ressort) et Christelle Collin (TV Lux) évoque la rencontre de personnes âgées: Anne-Marie Lambert (86 ans), Monique Lacaille (82 ans) et Michel Hellers (91 ans).
https://www.tvlux.be/video/autre/societe/printemps-de-l-ethique-2022-un-temps-d-ecoute-a-l-ecoute-du-temps_40184.html
Interview d’Alix Myôshô Helme Guizon
https://www.tvlux.be/video/info/sante/le-retour-du-printemps-de-l-ethique-la-puissance-de-la-douceur_40193.html
Des membres du personnel administratif et enseignant de la HERS ont suivi une semaine de cours intensifs en anglais en « face to face » au sein de l’Atlantic Language School de Galway. Alors que le personnel administratif suivait une formation spécifique “English for Professional Communication ”, le personnel enseignant était réparti dans des groupes “Intensive English”.
Durant ce séjour, ils ont perfectionné leurs compétences linguistiques en anglais afin d’accompagner et d’accueillir des étudiants lors d’une mobilité internationale.