COVID-19 : LA HERS ADAPTE LES AXES DE SON PLAN STRATÉGIQUE !
CONNECTEZ-VOUS À VOTRE COMPTE OFFICE 365 POUR DÉCOUVRIR LES MODIFICATIONS !
Eleonore Dupont est inscrite en Bac 3 du Bachelier Assistant de direction au sein de département économique de la HERS. Grâce au programme Erasmus +, elle a eu l’occasion de vivre trois mois sur l’île de Malte dans le cadre de son stage de troisième année. Elle a ainsi découvert de l’intérieur le Pergola Hôtel & Spa à Mellieha, une petite localité située dans le nord du pays.
« Je travaillais principalement dans le département des réservations et des ventes avec une équipe de 10 personnes. Mon quotidien était de traiter les réservations sous 24 heures dans les systèmes de l'hôtel afin de fournir les informations précises à tous les départements concernés.
J’avais également la charge de vérifier les tarifs de chaque réservation afin d'éviter les erreurs de facturation. Je n'étais pas en contact direct avec la clientèle, mais seulement via le téléphone. Par contre, j’ai eu des contacts réguliers avec quelques clients afin de répondre à toutes leur demandes », dit-elle.
Vivre et travailler à l'étranger pendant trois mois lui a permis d’améliorer sa connaissance de l’anglais :
Je vivais dans une maison avec d'autres étudiants du monde entier donc je pouvais pratiquer l'anglais toute la journée ».
Durant le week-end, Eleonore a pu visiter une grosse partie du pays ainsi que les deux îles : Gozo et Comino. « Malte est très petit et il y a de très beaux endroits parfois paradisiaques. J’avais le sentiment d’être souvent en vacances. »
« Malte restera à jamais une expérience qui m’a fait mûrir et grandir. J’ai rencontré des personnes incroyables qui sont devenues de vrais amis mais aussi mes collègues qui m’ont intégrée dans leur équipe. »
Si toi aussi, tu désires participer au programme Erasmus+ et vivre un séjour à l’étranger, n’hésite pas à contacter le Service des Relations Internationales :
CONNECTEZ-VOUS À VOTRE COMPTE OFFICE 365 POUR DÉCOUVRIR LES MODIFICATIONS !
L’amélioration de la qualité de la formation des étudiants étant au cœur de la réflexion menée au sein du département pédagogique de la Haute École Robert Schuman, l’information et la consultation des partenaires sont deux dimensions privilégiées. L’expertise des acteurs de terrain constitue en effet un paramètre central auquel les équipes des différentes sections enseignantes de la HERS souhaitent pouvoir donner sa pleine mesure.
Dans cette perspective, les directions et les maîtres de stage du fondamental et du secondaire ont été invités à participer à un après-midi de rencontre le 19 avril 2023. Cette année, le cadre de cette rencontre est tout à fait particulier puisque dès la rentrée 2023, une réforme de la formation initiale des futurs enseignants va être mise en place : la RFIE.
Lors de ce moment d’échange, les responsables de la mise en place de cette réforme ont donc présenté l’esprit, les grandes lignes et les implications de la masterisation de la formation des enseignants soutenues par Cécily Champion, directrice du département pédagogique de la HERS, ainsi que Corentin Poffé et Marie-Noëlle Hindricks, nos partenaires privilégiés de l’Université de Liège.
Cette présentation fut l’occasion de partager nos attentes réciproques et d’entendre les craintes des partenaires de terrain au sujet des cours, des ateliers de formation professionnelle et des stages. Les invités sont repartis très satisfaits et rassurés quant aux différents impacts de cette réforme sur la formation de nos futurs enseignants.
Lire également Vers une masterisation des métiers de l’enseignement
La HERS milite pour la promotion de la mobilité internationale de ses étudiants. Grâce au programme Erasmus+, Elisa et Laurie sont parties sur l’île de La Réunion dans le cadre du Projet InterS. De février à mai, elles ont pu d’imprégner de la langue et de la culture créoles tout en se familiarisant avec le système social français. Sur cette île métissée qui célèbre le « vivre-ensemble », elles ont tissé des liens forts et uniques.
Les deux étudiantes de la HERS et d’Hénallux sont revenues transformées de leur expérience : des échanges humains chaleureux et inoubliables, de nouvelles compétences interculturelles et professionnelles qui sont autant de tremplins pour se lancer dans leur futur métier d’assistante sociale.
Elles ont réalisé leur stage de dernière année au sein de l’association AMARE « Accueil de la Mère à la Réunion». Il s’agit d’un établissement qui intervient dans le champ de la protection de l’enfance et propose à des mineures et majeures, enceintes et/ou avec un enfant de moins de 3 ans en difficultés, une offre d’hébergement, d’accueil et d’accompagnement.
Au sein d’AMARE et dans le cadre du projet international « InterS », les deux étudiantes AS et une étudiante sage-femme ont développé des ateliers collectifs autour de diverses thématiques :
Grâce à une bourse Erasmus+, Emilie Cominelli a eu l’opportunité d’effectuer une mission afin de rencontrer nos partenaires sur place ; Sylviane Lucian, la responsable d’AMARE et les travailleurs sociaux du service ainsi que Sandrine Mirolo, la responsable des relations internationales de l’IRTS (Institut Régional en Travail Social).
Ces moments de partage confirment bien l'existence, entre la Belgique et la Réunion, d'un partenariat actif et ouvert à de nouvelles perspectives de collaboration.
Si toi aussi, tu désires participer au programme Erasmus+ et vivre un séjour à l’étranger, n’hésite pas à contacter le Service des Relations Internationales :
La culture provinciale du Sport en santé chez les jeunes était au centre des débats lors de la conférence organisée fin mai par la Province de Luxembourg et la HERS. L’occasion de faire le point sur les différentes campagnes mises en place par le Service des sports de la province et plus particulièrement « En sport aussi une ardeur d’avance ». Une action qui a vu le jour en 1991 avec 123 établissements participants.
En 2022, 215 écoles primaires de la province ont pris part à cette campagne qui a concerné 5.500 élèves. Pour 2023, quelques changements sont à prévoir. Outre la centralisation des épreuves à Libramont du 16 au 20 octobre, un test de motricité va être ajouté aux 6 épreuves d’aptitude physique.
La HERS sera partenaire de l’initiative, en effet des étudiants de la section Éducation Physique du campus de Virton apportent leur soutien aux organisateurs de la campagne en évaluant chaque année les capacités des élèves de la province.
Sur le plan statistique, les résultats de cette campagne ont été collectés et analysés depuis 2004. Une importante base de données qui devrait s’étoffer au cours des prochaines saisons. Mais à côté des donnés physiques des jeunes participants, la Province et la HERS vont aussi collaborer pour mesurer les compétences motrices. Une étude menée par Amélie Brau a débuté depuis septembre 2022.
Autre sujet abordé : la littératie physique. Un concept relativement nouveau en Europe mais plus répandu en Amérique du Nord ou encore en Australie. L’idée d’intégrer l’activité physique à son mode de vie est la base de ce courant qui mise aussi sur la confiance en soi, la motivation et la compétence physique.
À ce propos, un projet de recherche au sein de la HERS intitulé « Elaboration et validation d’un outil d’évaluation de la littératie physique chez les enfants de 4 à 7 ans applicable en contexte scolaire belge francophone » a été retenu dans le cadre de l’action FRHE (Financement de la recherche en hautes écoles). L’objectif est d’ailleurs de mettre en place un outil d’évaluation de la littératie physique fiable et valide comprenant entre autres les dimensions motrice, psycho-affective, cognitive et socio-environnementale.
Les étudiants de première année de Bachelier Assistant social d’Arlon sont allés à la rencontre des migrants en transit et des collectifs citoyens qui organisent leur hébergement et leur accompagnement sur le territoire de la Province de Luxembourg. Une initiative qui s’inscrit dans le cadre de leur cours d’Analyse de questions sociales.
Pour leur permettre d'aller à la rencontre de cette population et de comprendre cette réalité sociale, différentes activités pédagogiques leur ont été proposées entre novembre 2022 et février 2023.
Au cours de la première, les étudiants ont effectué un travail sur les représentations sociales en matière de migration et ils ont eu une introduction à la thématique des migrants en transit.
Durant la deuxième séance, les futurs assistants sociaux ont participé à une table-ronde avec
Lors d’une troisième journée, la chargée de campagne du CNCD 11.11.11 de la province et des citoyens bénévoles ont abordé l’historique de la structuration des collectifs, ils ont aussi présenté le travail d’interpellation politique des communes et de la province.
Nos étudiants ont également eu l'opportunité d'assister à la représentation de la pièce de théâtre-action "Les dauphins à Venise" qui traitait de la thématique.
À la suite de ces ateliers, les étudiants ont organisé une récolte de vivres de première nécessité pour les distribuer aux transmigrants dans les différents collectifs. En guise de conclusion de ce séminaire, les étudiants ont pu passer du temps avec les migrants lors d’une après-midi de rencontre, d’échanges interculturels et de partages. Au programme : jeux de société, goûter, repas convivial dans les différents collectifs de Marbehan, Barnich, Libramont et Léglise.
Enfin, les futurs AS ont effectué un travail de réflexion sur l’évolution entre leurs perceptions et leurs représentations dedépart et la manière dont ils envisagent la réalité des migrants en transit aujourd’hui. Les retours sur cette expérience ont été particulièrement positifs chez les étudiants qui semblent avoir réellement pris conscience de la problématique et de l’importance d’accompagner ce public.
Sept étudiants en Bac 3 de la section Bachelier en construction bois de la HERS ont pris part à la finale du Challenge Young Enterprise Project qui s’est tenue à l’Aula Magna de Louvain-La-Neuve.
Nos étudiants ont eu l’occasion d’y présenter deux projets. Le premier, Eolampe, visait à installer des éoliennes sur les poteaux d'éclairage public qui sont actionnées par le vent produit par le mouvement des véhicules. L'énergie produite pouvant être injectée dans le réseau. Le second, Heateco, présentait un allume feu écologique à base de laine de mouton, de sciure de bois et de cire d'abeille.
Ce dernier s’est retrouvé parmi les quatre finalistes de la compétition, une jolie performance quand on sait qu’au départ de l’aventure, 20 équipes ont présenté 120 projets. Si nos étudiants ne sont pas parvenus à remporter la victoire, ils sont toutefois parvenus à décrocher deux prix importants : le Prix de Wallonie Entreprendre (Sowalfin) et le Prix de l’innovation.
Deux jolies distinctions pour les membres de Heateco, bien décidés à poursuivre sur leur lancée et désireux de se faire incuber par le VentureLab, histoire de pouvoir ouvrir leur entreprise.
Lire également Young Enterprise Project : apprendre autrement
Diplômé de la HERS en électromécanique en 2009, Valentin Andrianne se plonge dans ses souvenirs d’étudiant et évoque son parcours professionnel.
Peux-tu te présenter brièvement ?
Valentin Andrianne, je suis belge. J’ai fait mes humanités en général au CNDB, puis mon graduat (bachelier) en électromécanique à la Haute École Robert Schuman avant de trouver du travail au Guichet de l’Energie d’Arlon où j’exerce toujours.
Dans quelles mesures le parcours scolaire suivi dans notre établissement vous a permis de trouver un travail ?
Pour moi ça a été très facile. La dernière année du graduat impose un long stage en entreprise. J’ai eu la chance de réaliser ce stage au Guichet de l’Energie où tout s’est très bien passé. Après avoir réussi cette dernière année, j’y ai postulé et été repris.
Pourquoi as-tu choisi de t’orienter vers le département sciences et technologies de la Haute Ecole Robert Schuman ?
Ce n’était pas mon premier choix, j’avais d’abord en tête de faire assistant social. Mais lors d’un salon étudiant à Namur, je suis tombé par hasard sur un professeur en mathématiques de la HERS, Monsieur Lumen. Il m’a convaincu, je ne sais toujours pas comment aujourd’hui, à faire des études techniques. Je me suis donc inscrit à la HERS.
Quel bon et mauvais souvenir gardes-tu de ton parcours scolaire ?
Le gros point positif que je retiens, c’est que c’est une école « familiale ». Ce sont des petites classes et les profs sont généralement à l’écoute. Je me rappelle même avoir eu des cours de rattrapage pendant les heures de fourche. Le point négatif, venant du général, j’ai eu beaucoup de difficultés, surtout au début, avec les cours pratiques techniques comme pneumatique, électronique, raccordement de moteur,…
Quels sont les points positifs et négatifs de ta formation ?
Cette formation technique m’a permis de trouver du travail tout de suite, elle m’a également beaucoup aidé dans la rénovation de mon logement. Je n’ai pas de point négatif à signaler.
As-tu gardé contact avec tes anciens camarades ?
Oui bien sûr! On s’est encore retrouvé à un concert à la Rockhal au Luxembourg dernièrement.
Quelles sont les principales tâches dans ton métier ?
Mon job consiste à renseigner les citoyens en matière d’énergie dans leur logement. Cela peut aller sur le choix d’un remplacement du système de chauffage, le fonctionnement et la rentabilité d’installer des panneaux solaires, le choix de matériaux isolants, les primes de la Région Wallonne,…
Que retiens-tu de ton passage à la HERS notamment au niveau des valeurs ?
Comme dit précédemment, c’est une école familiale où la plupart des profs sont à l’écoute.
Un petit mot pour la fin?
A l’heure actuelle, je crois que faire le choix d’études techniques est un bon choix. On le voit partout, il y a une réelle pénurie de techniciens, que ce soit dans le secteur de la construction ou dans le secteur industriel. N’hésitez plus, foncez !