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L’édition 2023-2024 du Challenge Solid’HERS s’est officiellement clôturée ce mardi 16 avril avec la remise d’un chèque de 1.000 euros en faveur de la maison d’enfants « Le Pré en Bulles » d’Arlon.
Créé en 1868, orphelinat puis home familial, le site s’est transformé en maison d’accueil. Elle prend en charge des jeunes de 3 à 18 ans, placés par le Service de la Protection de la jeunesse (SPJ) et par le Service de l’Aide à la Jeunesse (SAJ), en raison de difficultés familiales.
Les résidents y sont encadrés par une équipe éducative et par des personnes assurant l’intendance et l’administration. « Le Pré en Bulles » favorise leur épanouissement, leur évolution personnelle, la reconstruction et le maintien des liens avec leur famille. Dans certains cas, les éducateurs les accompagnent vers un retour en famille et pour les plus âgés, c’est un travail pour plus d’autonomie qui est mis en place. Avant d'être accompagnés vers un logement en kot, certains jeunes peuvent désormais résider dans une tiny house à proximité de la maison d'accueil. Une étape de plus dans la transition vers l'autonomie. Un projet de seconde tiny house est d'ailleurs en cours...
Le directeur des lieux, Vincent Louis, a donc reçu pour l’occasion des représentants du Collège de direction de la HERS ainsi que les organisateurs du challenge. Cette 4e édition de Solid’HERS peut être qualifiée de grand cru. En effet 38 équipes, 3 de mieux que l’an dernier, et 160 participants ont cumulé 4.139 heures 38 minutes et 50 secondes d’effort soit un total de 28.257 MET entre le 11 décembre 2023 et le 26 janvier 2024.
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Dans le cadre de leur cours de droit public, 60 étudiants de la section assistants sociaux à horaire décalé (en codiplômation HERS/Hénallux), originaires de France, de Belgique et du Luxembourg , se sont emparés de l’enquête initiée par le gouvernement belge en avril 2022 : « un pays pour demain ». Une consultation citoyenne éphémère de deux mois seulement.
Malgré l’échéance passée, les étudiants ont été invités par leur professeur à reprendre cette enquête pour donner leur avis autour de six thématiques : le rôle du citoyen, l’organisation de l’État, les droits fondamentaux, les compétences des autorités, le fonctionnement du Parlement et du gouvernement et les élections. Des questions perçues d’emblée indigestes par les étudiants.
C’est donc avec les pieds de plomb qu’ils ont entamé leur travail sans savoir où aller. Certains avaient la conviction qu’ils ne connaissaient rien du pays dont la structure leur paraît trop complexe. D’autres estimaient qu’ils n’étaient pas juristes et donc illégitimes. Un étudiant a même confié sa désillusion et l’abîme qui le séparait des élus : « Je n’ai pas envie de choisir le voleur qui me volera ».
Malgré tout, ils ont retroussé leurs manches pour plonger dans l’aventure. Pendant quatre mois, ils ont recherché des informations, débattu en groupes et confronté leurs avis parfois, jusque tard dans la nuit. Ils ont relevé le défi et rédigé environ 700 pages (26 enquêtes ) comprenant de multiples recommandations dont certaines sont axées vers davantage d’unité nationale (apprentissage obligatoire des trois langues nationales ), de « refédérer » certaines compétences (santé, environnement), plus d’efficacité et de lisibilité institutionnelle et majoritairement vers une plus grande participation citoyenne.
Des étudiants de la HERS ont été à pied d’œuvre ce 7 avril à l’occasion du marathon de Namur. Sous la supervision de Denis Jacquemin, nos futurs kinésithérapeutes ont pris en charge les participants à l’issue de la course.
« Habiter le soin : entre engagement et détachement ? », c’est le thème de la 17e édition du Printemps de l’éthique qui se déroulera le vendredi 26 avril au Centre culturel de Libramont.
Comme lors des éditions précédentes, les organisateurs ont réuni un large panel d’intervenants pour aborder cette question sous différents angles. Céline Bosschaert (médecin), Jean-Philippe Pierron (philosophe et professeur à l’Université Bourgogne-Dijon), Anne-Marie Vuillemenot (anthropologue, kinésithérapeute et ostéopathe, professeure à l’UCLouvain) et Jean Van Hemelrijck (psychologue et thérapeute systémicien) interviendront durant la matinée.
Dans l’après-midi, Esperanza Valérie Monnaie (thérapeute et instructrice méditation pleine conscience), Fatiha Aït Saïd (naturopathe et directrice de l’Institut Supérieur de Naturopathie Traditionnelle), Marie Friedel (infirmière spécialisée pédiatrique et professeur ordinaire en sciences infirmières à l’Université de Luxembourg) évoqueront leur vision de la thérapie.
Le Printemps de l’éthique, c’est également un reportage vidéo avec des personnes âgées réalisé par Christelle Collin de TV Lux et Cécile Boly (médecin et guide-nature) mais aussi une ouverture artistique grâce à différentes performances au fil de la journée dont un intermède musical et un spectacle de clôture présenté par Jacinthe Mazzocchetti, Julie Renson et Caroline Etienne.
Durant les pauses, vous aurez l’occasion de rencontrer des participants des groupes GIRAFE ainsi que les animateurs de ces différents ateliers. Vous pourrez ainsi découvrir la démarche d’aide à la décision éthique proposée dans le cadre d’ateliers trimestriels ouverts à tous les soignants. Un espace librairie sera également disponible.
Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au mercredi 24 avril
Le programme du Printemps de l’éthique 2024
Revoir la vidéo Printemps de l'éthique 2023: un temps d'écoute à l'écoute du temps
Revoir la vidéo Printemps de l'éthique 2022: un temps d'écoute à l'écoute du temps
Deux demi-journées info-études seront organisées en juillet et en août à la HERS.
Nous t’attendons le mercredi 3 juillet (13-17h) et le samedi 31 août (9-13h) sur nos campus d’Arlon, Libramont et Virton.
Ce sera l’occasion de lever les derniers doutes sur ta future orientation.
Département Sciences et technologies •
Attention, il n’y aura pas de séance d’information à destination des étudiants non-résidents (France, Luxembourg ou ailleurs) intéressés par des études de kinésithérapie ou de logopédie.
Des étudiants Bac 2 de la section langues germaniques (campus de Virton) reviennent d'un voyage à Belfast de 6 jours dans le cadre du stage spécifique culturel. « Après avoir étudié l’Irlande du Nord lors du cours de culture, les élèves ont été amenés à découvrir l’Irlande du Nord et Belfast au travers de nombreux aspects : historique, géographique, culturel et culinaire. Le tout dans une perspective pédagogique », précise A-S Richard, Maître-assistante en langues germaniques.
Tout d’abord, les élèves ont pu découvrir la campagne irlandaise, ses villages de pêcheurs, ses distilleries, ses châteaux et le site naturel unique de la Chaussée des Géants. Cette formation volcanique se compose de 40 000 colonnes verticales de forme hexagonale en basalte, dont la hauteur peut atteindre jusqu’à 12 mètres ! Inscrite sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco, elle attire chaque année des millions de visiteurs.
Le lendemain, l’histoire fut au rendez-vous avec une visite guidée de la ville de Belfast et la découverte du musée Titanic Belfast retraçant les dernières heures du paquebot ayant fait naufrage en 1912. Après cette journée bien remplie, les étudiantes ont foulé la piste de dance et ont appris le Céilí qui est un type de danse traditionnelle irlandaise en couple ou en formation (ligne, cercle, carré...)..
Ensuite, les étudiants ont découvert les fresques murales de Belfast qui sont le marqueur le plus visible de la frontière virtuelle qui existe entre les deux principales communautés d’Irlande : d’un côté les unionistes / loyalistes, protestants, fidèles à la Couronne d’Angleterre ; de l’autre les nationalistes / républicains, catholiques, favorables à l’union avec la République d’Irlande.
L’année 2024 est particulière pour le département des Sciences et Technologies de la HERS et plus particulièrement pour la section « Ingénieur industriel ». Il y a 60 ans, les premiers diplômés de l’ancien Institut supérieur industriel d'Arlon ont reçu leur précieux sésame en juin 1964.
Pour marquer le coup, trois conférences sur le thème de "L'énergie sous toutes ses formes" seront organisées en collaboration avec le comité de l'AIDISIA (Association des Ingénieurs diplômés de l'Institut supérieur industriel d'Arlon) ce samedi 6 avril à l’occasion de la Journée portes ouvertes.
Ces différents exposés, qui seront animés par des anciens étudiants, se dérouleront dans la salle 1.2.1 du campus d'Arlon, Chemin de Weyler n°2. L’entrée est gratuite.
14h30: Jonathan Reis (Promotion 2018) : « Les batteries thermiques comme alternative pour le stockage d’énergie résidentiel »
16h: Christophe Limbrée (Promotion 1992) : « La vie d’un ingénieur ferroviaire »
17h30: Jean-Pierre Rasquin (Promotion 1993) : « Les puces électroniques imaginées en Belgique sont partout, le saviez-vous ? »