COVID-19 : LA HERS ADAPTE LES AXES DE SON PLAN STRATÉGIQUE !
CONNECTEZ-VOUS À VOTRE COMPTE OFFICE 365 POUR DÉCOUVRIR LES MODIFICATIONS !
En raison des chutes de neige prévues ce mercredi et des perturbations attendues sur les routes et les réseaux de transports en commun, tous les examens prévus ce mercredi 17 janvier 2024 sont reportés. Les modalités de report vous seront communiquées prochainement. Merci pour votre compréhension.
CONNECTEZ-VOUS À VOTRE COMPTE OFFICE 365 POUR DÉCOUVRIR LES MODIFICATIONS !
David Van Reybrouck était l’invité du premier rendez-vous de l’Alliance écologique. Le scientifique et historien belge s’interroge notamment sur l’exploitation et la colonisation des générations futures que génère la crise climatique. Selon lui, « la crise écologique est aussi affaire de démocratie ».
Retrouvez l’interview complète réalisée par Pierre Stassart de l’ULiège.
L’« Alliance transition écologique » est le fruit d’un partenariat entre le département des Sciences et gestion de l'environnement de l'ULiège, la HERS et l’HENALLUX.
Le prochain rendez-vous de l’ « Alliance écologique » aura lieu le mardi 30 janvier à Libramont. Il y sera notamment question de la charte pour un enseignement à la hauteur de l’urgence écologique.
Lire également : Journée de réflexion sur la transition écologique dans les écoles
Comme c’est le cas depuis plusieurs années durant le mois de décembre, les étudiants de 1ère année du Master en Gestion de Chantier et les futurs diplômés de la section Ingénieur Industriel ont pris part à deux activités consacrées aux démarches « Lean ».
Cette technique de management, originaire du secteur manufacturier japonais, permet, grâce à une approche combinant la collaboration et l’amélioration continue, de développer et d’optimiser des processus dans leur sens large. Elle concerne donc le secteur industriel, mais a également été étendu au secteur de la construction. Le but est surtout de cerner les sources de gaspillages ou « mudas », et de contrôler la chaîne de valeurs.
La première activité, déclinée sur une journée, était consacrée à l’application du Lean dans un chantier de construction fictif. Les étudiants répartis en 6 équipes représentant à la fois les différents corps de métiers et une équipe d’encadrement de projet, devaient œuvrer à la construction d’une maquette en veillant à respecter un planning prévisionnel et un budget réservé. Cette construction était soumise à des aléas réels, donnant l’occasion aux étudiants de déployer les méthodes et outils de résolution de problèmes proposés par le Lean Planning : LPS (Last Planner System), Kaizen et analyse des PPC (Pourcentage of Promises Completed).
L’activité suivante était centrée sur l’étude du Lean Process. Un procédé au cours duquel les étudiants étaient amenés à réfléchir à l’établissement de la cartographie fonctionnelle d’une entreprise et de ses services. Une réflexion portant sur l’optimisation et l’identification des sources dysfonctionnement, liées aux « mudas », a été menée dans un second temps.
Ces deux journées de formation, dédiées à ces démarches de management, auront permis aux étudiants ingénieurs et gestionnaires de chantier de greffer leurs connaissances théoriques sur des cas très concrets. Elles leur seront d’une aide préciseuse dans le cadre de la réalisation de leurs stages, mémoires mais également une solide base de réflexion pour leur futur métier.
Si les jeunes d’aujourd’hui s’expriment généralement davantage en faveur de changements sociétaux favorisant une transition socio-écologique que les générations précédentes, ils ne disposent pas de toutes les opportunités pour comprendre les enjeux environnementaux et débattre sur le sujet.
Leurs enseignants manquent également d’outils pour favoriser cette même compréhension. Il est donc important d’oser ouvrir la discussion sur ces sujets sociétaux, et pour cela de créer un espace de dialogue où peuvent se confronter différentes opinions.
C’est dans cette optique qu’en 2023, un collectif de quelques enseignants a créé « la charte pour un enseignement à la hauteur de l’urgence écologique », destinée à toutes les parties prenantes du milieu de l’enseignement. Cette charte rassemble 12 balises mettant en place un cadre pour l’intégration et la prise en compte des enjeux écologiques dans le monde scolaire.
C’est dans ce contexte que l’Alliance transition écologique organise le mardi 30 janvier 2024 au Centre culturel de Libramont une journée de réflexion.
L’objectif est double :
L’idée est de créer, ensemble, des propositions réalistes d’intégration de la transition écologique dans leur classe et/ou leur établissement.
Après la présentation de Gaëtane Coppens (une des fondatrices de la charte des balises pour un enseignement à la hauteur de l’urgence écologique), la journée se poursuivra par un temps de co-construction durant lequel les participants répartis en sous-groupes, auront l’occasion d’échanger sur leurs réalités, de s’approprier les balises de la charte et de construire ensemble des propositions réalistes d’intégration de la transition écologique dans leur classe et/ou école.
Cette journée de formation et de sensibilisation collective vise ainsi à une meilleure prise en compte de la transition socio-écologique dans le monde scolaire.
Pour les enseignant.es du fondamental et du secondaire via l’IPCF: https://bit.ly/3GvrUi3
Pour toute autre personne intéressée :
Du vendredi 19 avril 8h au samedi 20 avril 8h à Arlon : Hackathon Low Tech centré sur la rénovation d’un vieux bâtiment
Lire également L’Alliance transition écologique sur les rails
« L’organisation dans l’espace classe », « Comment accompagner un élève à besoins spécifiques » ou encore « Quelles aides apportées aux écoles pour les enfants à besoins spécifiques », voici quelques thèmes des ateliers mis en place dans le cadre du colloque sur les enfants à besoins spécifiques.
Cette matinée de réflexion, organisée le 8 décembre sur notre campus de Virton en partenariat avec les services d'accompagnement provinciaux Alter & GO, proposait plus largement une réflexion sur les services, les programmes d’étude et les aménagements qui soutiennent un enseignement inclusif.
« Par école inclusive, on s’adresse à tous les élèves. Avant 1970, il n’y avait rien de prévu pour les élèves en situation de handicap», précise Christine Joris, Responsable de la Cellule Appui pédagogique CECP. « Avec la création des écoles spécialisées dans les années 70, on est passé de l’exclusion à la ségrégation. En 2009, il y a bien eu le décret intégration qui permet à certains jeunes de rejoindre l’enseignement ordinaire mais cela reste très limité. »
A titre d’exemple, 9% des élèves de l’enseignement spécialisé ont passé leur CEB en 2021. Un chiffre éloquent qui démontre qu’entre la théorie et la réalité du terrain, il y a encore une marge à franchir.
Pour accompagner les enseignants mais aussi les directions d’établissements scolaires dans cette mission, les « Pôles territoriaux » ont été créés par la Fédération Wallonie-Bruxelles en 2021. L’ambition de ce projet est d’augmenter progressivement l’inclusion des élèves à besoins spécifiques dans l’enseignement ordinaire. « On vise 6.000 élèves en moins dans le spécial », estime Sébastien de Conynck, coordinateur du Pôle territorial provincial.
Afin de soutenir les écoles dans la mise en œuvre des aménagements raisonnables, les Pôles territoriaux sont en charge de différentes missions comme le soutien aux équipes pédagogiques et le lien entre les différents intervenants. « Nous assumons également un rôle d’information sur les aménagements raisonnables, nous disposons également d’outils à l’attention des enseignants », rappelle Catherine Renauld, coordinatrice du Pôle territorial WBE.
Même si ce projet est encore en phase de transition en 2023-2024, les établissements scolaires devront obligatoirement être rattachés à un Pôle territorial. Les ateliers proposés aux participants leur ont permis de se faire une idée plus précise des actions à mener sur le terrain.
Lire également Les troubles de comportements passés au crible
Ce n’est un secret pour personne, le secteur des soins de santé connaît une pénurie de personnel et la crise liée à la Covid 19 n’a rien arrangé à la situation. Pour tenter de faire face à cette situation délicate, la FeBi, l’asbl qui regroupe plusieurs Fonds de formation et Fonds Maribel fédéraux et bruxellois actifs au sein du secteur non-marchand, a lancé le projet PrimeEtude.
Il s’agit d’un programme de financement mis en place par le secteur des soins de santé en faveur des personnes qui souhaitent se former afin de devenir infirmier·ère (brevet ou bachelier) ou aide-soignant·e.
Ce projet PrimeEtude vise les demandeur·euse·s d’emploi ayant perçu au minimum 156 jours d’allocations de chômage (sur une période de deux ans) au moment de l’inscription et désirant accéder entre autre aux filières de formation cours de jours brevet en art infirmier (plein exercice) et bachelier en art infirmier (plein exercice).
Les candidat·es·s pourront recevoir un complément à leurs allocations de chômage allant de 200 à 920 euros brut par mois.
Les périodes d’inscriptions pour le projet PrimeEtude sont ouvertes du 8 janvier au 1er mars 2024.
À noter encore que deux sessions d’informations auront lieu le jeudi 18 janvier de 10 à 11h30 et le lundi 5 février de 13 à 14h30.
Renseignements et inscriptions :
Plus d’infos sur devenirinfirmier.be
Plus d’infos sur la PrimeEtude
Une délégation du département pédagogique de la HERS, composée de la directrice et des coordinatrices des Masters en enseignement sections 1 et 2, a participé à un séjour d’études dans les locaux de nos partenaires de la HEP (Haute école pédagogique du Valais) de Saint-Maurice.
Durant ce STT (Staff Mobility for Training), Cécily Champion, Séverine Libon et Annie Gofflot ont été accueillies par la coordinatrice aux études pour la mobilité de la HEP, Evelyne Froidevaux. Elles ont notamment évoqué les futurs échanges pour les étudiants du département, à Saint Maurice (site francophone de la HEP) mais aussi à Brigue (site germanophone de la HEP).
Plusieurs points communs ont été relevés :
Des points forts ont été mis en évidence :
À ce sujet, les représentantes du campus virtonais ont eu l’occasion d’échanger avec Amalia Terzidis, team leader "créativité, transformations et innovation en éducation". Cette discussion a permis d’alimenter la réflexion autour la recherche dans le “pédagogique”. Ces interactions ont nouri le développement de la recherche au sein du département.
A ce propos, un Centre de recherche a été créé sur le campus de Virton en septembre 2023. Ce projet a été mis sur pied avec l’appui des différents intervenants des supervisions de stage, dans le cadre de la réforme de l’enseignement en Fédération Wallonie-Bruxelles qui a vu le département pédagogique basculer en Masters en enseignement lors de la rentrée de septembre 2023.
Ce déplacement en Suisse a également permis à nos collègues de rencontrer Carolina Gonzales, étudiante de la section préscolaire qui est en mobilité académique dans la région. Elle s’est montrée enchantée de ce séjour et elle a pu découvrir de nouvelles facettes de la formation ainsi qu’une réalité autre lors de ses stages.
Pour les personnes désireuses de participer au programme Erasmus+ et vivre un séjour à l’étranger, n’hésitez pas à contacter le Service des Relations internationales :