COVID-19 : LA HERS ADAPTE LES AXES DE SON PLAN STRATÉGIQUE !
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Invité du « Café logo » du mois de mars, Josef Schovanek a accordé une entrevue à Chantal Deroanne et Sarah Laval, enseignantes en section Logopédie. L’occasion d’évoquer les personnes dites « différentes ».
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« Étude prospective, interventionnelle, visant à démontrer l’intérêt de l’activité physique concomitante au traitement de chimiothérapie en hôpital de jour chez des patients atteints de cancer », c’est le thème du projet de recherche mené par la HERS qui a été retenue par la Fondation contre le cancer.
Ce projet, qui s’est vu allouer un budget de 39.000 euros, est porté au sein de notre institution par Astrid Van Belle, Catherine Staudt, François Tubez et François De Bruycker (chef du service de kinésithérapie de l'Hôpital Vivalia de Libramont). A cela s’ajoute la collaboration avec le Docteur Frédéric Forget, investigateur principal et chef du Service d'Oncologie de Vivalia Libramont, ainsi que les équipes de kinésithérapie des hôpitaux de Libramont et d'Arlon.
Dans la littérature scientifique, il a clairement été établi que l’activité physique est bénéficiable pour diminuer les effets secondaires des traitements anticancéreux. L’objectif recherché est d’instaurer l’activité physique de manière précoce, bien avant que la fatigue due au traitement ne soit trop importante et surtout sensibiliser les patients à cette thématique dès le diagnostic du cancer.
Concrètement, l’hôpital de Libramont a mis en place un programme dans lequel les patients sont sensibilisés à l'importance de l'activité physique. Le patient est alors invité à réaliser une séance de vélo d’entraînement en réalité virtuelle lors de ses séances de chimiothérapie afin de le conforter dans l’idée qu’il est apte à pratiquer de l’activité physique. En parallèle, il lui est également proposé de porter une montre équipée d'un capteur pour suivre son nombre de pas quotidiens durant toute la durée de son traitement.
L’expertise de la HERS permettra ensuite d’analyser l’impact de ce protocole de soins stimulant l’activité physique à Libramont par rapport à un protocole classique tel que préconisé dans les guidelines en oncologie et réalisé à l’hôpital d’Arlon. Les patients sous chimiothérapie des services d’oncologie de Libramont et d’Arlon, qui marquent leur accord pour intégrer l’étude, seront suivi pour une durée de 3 mois. Ils seront également soumis à différents tests (qualité de vie, quantité et intensité d’activité physique, évaluation de la force musculaire,…).
« Nous pensons réellement que ce projet innovant pourrait avoir un impact significatif sur l'amélioration de la qualité de vie des patients atteints de cancer et sur la manière dont l'activité physique est intégrée dans leur traitement », estiment les porteurs de ce programme.
La Haute École libre de Bruxelles, en collaboration avec l'ABBV Bobath mais aussi la HE2B, la HEPL, la HEPH-Condorcet, la HE Vinci, la HELHa et la HERS proposent à partir du 23 septembre 2024 un certificat unique en kinésithérapie pédiatrique.
Cette formation, de 60 crédits ECTS, se déroule sur 105 jours en présentielle entre septembre 2024 et juin 2026. Elle intègre notamment le cursus Bobath afin de répondre aux critères de l’arrêté ministériel sur la Qualification professionnelle particulière en kinésithérapie pédiatrique.
La méthode Bobath est une thérapie neurodéveloppementale (NDT), elle reste la plus utilisée dans le monde pour traiter les patients souffrant de lésions cérébrales. L’objectif de ce cursus post-master est de développer les connaissances et compétences dans les domaines de la neurologie, orthopédie et kinésithérapie respiratoire pédiatrique.
Les cours seront dispensés sur trois sites différents à savoir le Campus Erasme à Bruxelles, la HEPL à Liège et la HEPH-Condorcet à Charleroi et Tournai).
Module Neuro 1 : Bobath (formation Bobath intégrale ABBV)
Module Neuro 2 : pathologies neuromusculaires, polyhandicap et autres approches thérapeutiques (module neuropédiatrie)
Module Neuro 3 : prématurité, maladies génétiques et troubles neuro développementaux
Module 4 : cardio-respiratoire, oncologie et obésité
Module 5 : ortho-traumato-rhumato
Plus d’informations : dates, contenu et prix de la formation
Une délégation de la Haute École Robert Schuman, composée du responsable des Relations Internationales accompagné de la coordinatrice de la section Master en enseignement Section 1, a participé à un séjour d’étude chez nos nouveaux partenaires Erasmus de l’Université des Antilles.
Durant ce STT (Staff Mobility for Training), Patrick Galliez a notamment rencontré ses homologues du bureau des relations internationales de l’Université des Antilles, pôle de Guadeloupe et pôle de Martinique. Annie Gofflot a, quant à elle, pu s’entretenir avec les différents responsables de programmes ainsi qu’avec des collègues antillais. Ces rencontres ont permis d’échanger autour des pratiques, notamment dans le cadre de la réforme de l’enseignement en Fédération Wallonie-Bruxelles, mise en place dans le département pédagogique (basculement en Masters en Enseignement) depuis septembre 2023.
Ces échanges vont permettre d’élargir ce nouveau partenariat à d’autres sections et départements, tant pour la mobilité étudiante que pour la mobilité enseignante. Patrick et Annie ont eu l’occasion de présenter l’enseignement supérieur en FWB ainsi que la HERS et ses différentes formations, afin d’accueillir dans un avenir proche les étudiants antillais sur nos différents campus.
Notre équipe pédagogique a enfin profité de ce déplacement dans les Antilles pour rencontrer deux étudiantes en mobilité académique, Sara Riccardi et Aline Herz (section préscolaire). Nos deux étudiantes sont toutes deux enchantées de ce séjour durant lequel elles ont pu découvrir de nouvelles facettes de leur formation. Elles ont eu l’opportunité de réaliser un stage qui leur a permis de s’immerger dans la pratique professionnelle des maitres des écoles en Martinique.
L’édition 2023-2024 du Challenge Solid’HERS s’est officiellement clôturée ce mardi 16 avril avec la remise d’un chèque de 1.000 euros en faveur de la maison d’enfants « Le Pré en Bulles » d’Arlon.
Créé en 1868, orphelinat puis home familial, le site s’est transformé en maison d’accueil. Elle prend en charge des jeunes de 3 à 18 ans, placés par le Service de la Protection de la jeunesse (SPJ) et par le Service de l’Aide à la Jeunesse (SAJ), en raison de difficultés familiales.
Les résidents y sont encadrés par une équipe éducative et par des personnes assurant l’intendance et l’administration. « Le Pré en Bulles » favorise leur épanouissement, leur évolution personnelle, la reconstruction et le maintien des liens avec leur famille. Dans certains cas, les éducateurs les accompagnent vers un retour en famille et pour les plus âgés, c’est un travail pour plus d’autonomie qui est mis en place. Avant d'être accompagnés vers un logement en kot, certains jeunes peuvent désormais résider dans une tiny house à proximité de la maison d'accueil. Une étape de plus dans la transition vers l'autonomie. Un projet de seconde tiny house est d'ailleurs en cours...
Le directeur des lieux, Vincent Louis, a donc reçu pour l’occasion des représentants du Collège de direction de la HERS ainsi que les organisateurs du challenge. Cette 4e édition de Solid’HERS peut être qualifiée de grand cru. En effet 38 équipes, 3 de mieux que l’an dernier, et 160 participants ont cumulé 4.139 heures 38 minutes et 50 secondes d’effort soit un total de 28.257 MET entre le 11 décembre 2023 et le 26 janvier 2024.
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Dans le cadre de leur cours de droit public, 60 étudiants de la section assistants sociaux à horaire décalé (en codiplômation HERS/Hénallux), originaires de France, de Belgique et du Luxembourg , se sont emparés de l’enquête initiée par le gouvernement belge en avril 2022 : « un pays pour demain ». Une consultation citoyenne éphémère de deux mois seulement.
Malgré l’échéance passée, les étudiants ont été invités par leur professeur à reprendre cette enquête pour donner leur avis autour de six thématiques : le rôle du citoyen, l’organisation de l’État, les droits fondamentaux, les compétences des autorités, le fonctionnement du Parlement et du gouvernement et les élections. Des questions perçues d’emblée indigestes par les étudiants.
C’est donc avec les pieds de plomb qu’ils ont entamé leur travail sans savoir où aller. Certains avaient la conviction qu’ils ne connaissaient rien du pays dont la structure leur paraît trop complexe. D’autres estimaient qu’ils n’étaient pas juristes et donc illégitimes. Un étudiant a même confié sa désillusion et l’abîme qui le séparait des élus : « Je n’ai pas envie de choisir le voleur qui me volera ».
Malgré tout, ils ont retroussé leurs manches pour plonger dans l’aventure. Pendant quatre mois, ils ont recherché des informations, débattu en groupes et confronté leurs avis parfois, jusque tard dans la nuit. Ils ont relevé le défi et rédigé environ 700 pages (26 enquêtes ) comprenant de multiples recommandations dont certaines sont axées vers davantage d’unité nationale (apprentissage obligatoire des trois langues nationales ), de « refédérer » certaines compétences (santé, environnement), plus d’efficacité et de lisibilité institutionnelle et majoritairement vers une plus grande participation citoyenne.
Des étudiants de la HERS ont été à pied d’œuvre ce 7 avril à l’occasion du marathon de Namur. Sous la supervision de Denis Jacquemin, nos futurs kinésithérapeutes ont pris en charge les participants à l’issue de la course.