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Jeanne Ashbé, l’autrice-illustratrice jeunesse, était de passage à la Biblio’nef de Virton pour un double rendez-vous. Dans un premier temps, elle a rencontré les étudiant.es de Bac 2 préscolaire, l’occasion d’évoquer son œuvre et son métier d’autrice-illustratrice pour la jeunesse.
Au travers d’exemples concrets puisés par cette personnalité pleine d’enthousiasme dans une œuvre pléthorique, les étudiant.es ont pu découvrir les différentes étapes présidant à la confection d’un album depuis les premiers croquis jusqu’à la relecture de l’épreuve finale. Comment apparaissent les premières idées, quelles sont les intentions qui sous-tendent tel graphisme, tel choix de couleurs ou encore tel personnage ? Rien n’est laissé au hasard dans le travail de Jeanne Ashbé, chaque dessin, chaque mot - ou absence de mot -, chaque mise en page, tout est pensé, sous-pesé, mille fois retravaillé pour favoriser le lien entre l’album et le jeune lecteur. Assurément, une rencontre passionnante.
Cette illustratrice de talent et raconteuse d’histoires était également en Gaume pour présider le jury du concours « Tout en images et tout en langues ». Un événement initié par le département pédagogique de la HERS avec la Biblio’nef. Lancé en octobre dernier dans le but de promouvoir la diversité linguistique et le plurilinguisme des élèves en début de scolarisation, le concours proposait aux classes des cycles I et II de sélectionner un album sans texte d’un auteur belge francophone et de l’enrichir d’un texte faisant la part belle aux différentes langues familiales des enfants de chaque classe. L’idée finale était d’en proposer une version personnalisée sous forme d’album, de kamishibaï, de tapis ou de boîtes à raconter…
Au total, 25 classes, représentant 17 écoles dispersées entre Marche et Attert (avec un même un petit détour par Karlsruhe et son école européenne), se sont prises au jeu des langues et ont présenté 21 créations. Le jury, constitué de plusieurs acteurs du monde associatif local, a pris le temps d’admirer chacune des œuvres et la capsule vidéo ou audio qui l’accompagnait avant de leur décerner une palme : la palme de la création la plus customisée, la plus esthétique, la plus globe-trotteuse…
Exposée pour quelques semaines encore à la Biblio’nef, les créations partiront ensuite à la bibliothèque de Marche puis celle de Léglise avant de prendre la direction d’Arlon en début d’année scolaire 2024-2025.
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Chaque année, la section Ingénieur industriel organise une semaine de visites en entreprises pour les étudiant·es de 3e année de bachelier et 1e année de master.
Cette année encore, les étudiant·es ont profité d'un bel aperçu des diverses facettes du métier d'ingénieur·e en visitant des sociétés, petites ou grandes, actives dans différents domaines.
EmTroniX est une jeune société très dynamique fondée en 2001 qui conçoit et produit des appareils électroniques avancés ainsi que des logiciels embarqués pour l'industrie du New Space. Nous remercions chaleureusementCedric LORANT(Founder et CEO d’EmTroniX) et son équipe pour l’opportunité offerte à nos futur·es ingénieur·es. La visite de cette entreprise innovante et les échanges avec des ingénieurs passionnés par leur travail a été une vraie source d'inspiration pour nos étudiant·es.
Direction Ciney pour la visite de Ronveaux Construction. Spécialisée dans la conception, l’étude, la fabrication, le transport et le montage de structures en béton préfabriqué, l’entreprise Ronveauxest un acteur incontournable dans le domaine de la construction de bâtiments mais aussi dans le domaine du génie civil. Un grand merci à Corentin Godefroid pour son accueil chaleureux et à Simon Eucher pour la présentation de l’entreprise et de ses projets, pour la visite hautement intéressante au travers de cette vaste entreprise et pour toutes les explications et réponses aux diverses questions posées par nos étudiants.
C'est en compagnie d'un ancien diplômé Ingénieur de la HERS que nos futur·es ingénieur·es ont eu l'opportunité de visiter un site de fabrication de la SONACA à Gosselies. Au programme : présentation de l'enteprise, du métier d'ingénieur·e et son évolution et visite du site de production. Nous tenons à remercier chaleureusement Monsieur Gaetan Marchal (Gestionnaire du programme de développement technologique et d’approvisionnement) ainsi que sa collègue (Responsable communication du groupe), pour leur accueil et pour toutes les explications techniques partagées avec les étudiants.
C'est à nouveau accueillis par un ancien étudiant Ingénieur de la HERS que la section a eu le plaisir de visiter un site de fabrication ROTAREX à Lintgen (Luxembourg). Nous tenons à remercier chaleureusement Monsieur Privat Roderes (Ingénieur R&D Senior) ainsi que ses collègues Margaux Dumas et Elsa Gruet (Junior Talent Acquisition Officer), pour leur accueil et pour toutes les explications techniques partagées avec les étudiants.
Lire aussi : La section Ingénieur industriel au campus Spa-Francorchamps
Dans le cadre de la semaine professionnelle, des étudiant·es de la section Ingénieur industriel ont profité d'une formation enrichissante sur le campus Technifutur de Spa-Francorchamps.
Une formation d'autant plus intéressante que le secteur de l'automobile est en pleine mutation. Quotidiennement, lorsque nous utilisons notre véhicule, nous vivons des évolutions technologiques qui se traduisent par de nouveaux besoins en compétences. En effet, les constructeurs font évoluer leur offre vers des véhicules moins polluants et des véhicules à propulsion alternative qui apparaissent progressivement. La révolution numérique concerne aussi le secteur de l’automobile, où les véhicules sont de plus en plus connectés, entre eux ou avec les infrastructures.
Les étudiant·es ont eu l'opportunité de mieux appréhender les aspects théoriques et pratiques de trois sujets :
Avec la mutation du secteur automobile, de nouvelles compétences sont à acquérir. Lors de cette formation, les étudiant·es ont pu appronfondir leurs connaissances sur différents sujets tels que : le fonctionnement et la structure de la propulsion électrique, les dangers éventuels, les procédures de sécurité à suivre lors d'interventions, les "do's & don'ts". Quant à la formation pratique, elle était centrée sur l'utilisation et le contrôle de l'équipement de sécurité et de l'outillage spécialisé ainsi que sur la façon de mettre un véhicule électrique ou hybride hors d'état de nuire.
Ces trois formations, présentées par M. Marc Nélis, ont également sensibilisé les étudiants aux valeurs attachées à la maîtrise des énergies, à la protection de l’environnement, à la nécessité de concilier mobilité et empreinte écologique. Nous le remercions chaleureusement pour son accueil, sa disponibilité et ses réponses aux diverses questions lors de ces deux jours de formation.
La formation d'ingénieur industriel en construction ou en mécatronique t'intéresse ? Nous te donnons rendez-vous le mercredi 3 juillet (13h > 17h) ou le samedi 31 août (9h > 13h) pour les prochaines demi-journées info-études sur nos 3 campus.
Entre la découverte des coutumes du Togo, les balades botaniques et les activités liées à leur stage, Eva et Marine ont vécu un séjour intense et inoubliable sur les bords du golfe de Guinée. Arrivées sur le continent africain le 22 janvier, nos deux étudiantes de la section éducateurs ont vécu durant quatre mois au au contact de la population locale.
«Pour être honnêtes, les premières semaines ont été difficiles. La chaleur accablante, la conversion de la monnaie, la culture et le fait que les personnes entre elles parlaient une autre langue que le français ont sans doute compliqué les choses. Il était difficile de créer une relation avec la population locale. Avec le recul, nous supposons que nous n'étions pas ouvertes à la relation dû au choc culturel», avancent les deux étudiantes dont le retour a eu lieu le 18 mai.
Au fil des jours et des activités (jeu de piste et de rôles, réalisation d'une fresque, danse, activités sportives, création d'un dictionnaire,…), la glace s’est brisée. «Petit à petit nous avons été de plus en plus à l'aise sur notre lieu de stage ainsi que dans la vie quotidienne. Grâce aux actions que nous avons mises en places, les Togolais été réceptifs, tout cela nous a aidées à créer une relation de confiance.»
A côté de leurs activité au sein du MAREM (mouvement d’action pour la réinsertion des enfants marginalisés), nos futures éducatrices ont eu le loisir de découvrir quelques particularités du pays comme les plats et les alcools locaux, la musique, les percussions ainsi qu’une découverte de la croyance vaudou sans oublier un circuit en pirogue, une rencontre avec les éléphants et le farniente en bord de plage.
Eva et Marine sont extrêmement reconnaissantes d'avoir pu vivre une telle expérience. «Malgré les difficultés rencontrées durant le début du voyage et quelques soucis de santé (réactions cutanées, problèmes intestinaux), nous éprouvons déjà de la nostalgie en pensant aux relations que nous avons créées avec les jeunes même si nous sommes heureuses à l'idée de retrouver nos proches.»
Si vous désirez participer au programme Erasmus+ et vivre un séjour à l’étranger, n’hésitez pas à contacter Céline Gravé et Patrick Galliez au sein du Service des Relations internationales :
À l’issue de la procédure de candidature pour les étudiants non ressortissants de l’Union européenne, les numéros de dossiers suivants ont été retenus en vue d’une inscription pour la rentrée académique 2024-2025 :
Les candidats retenus seront avertis personnellement par leur secrétariat référent.
Les dossiers non retenus seront également tenus informés par mail de la suite donnée à leur candidature dans les jours à venir.
Le Rallye Mathématique de la Haute École Robert Schuman, c'est un concours destiné à des élèves de 6e primaire de l'enseignement fondamental. Ce concours se déroule en deux temps : une épreuve de qualification qui a eu lieu dans les écoles les 25 et 26 mars et une finale qui s'est déroulée à Virton le 17 mai. Lors de ces épreuves, les élèves sont amenés à résoudre en équipe une série de défis mathématiques. Ces défis sont créés et encadrés par des étudiants du master en Enseignement section 3 (mathématiques et numérique, sciences) sous la supervision de Mme Ann Derlet.
Les écoles qualifiées étaient l'Athénée Royal d'Izel, des écoles communales de Cherain, Étalle, Messancy-Hondelange, Heinstert, Frassem, ainsi que de l'école fondamentale autonome de Martelange et de l'école "Les Lys" de Nadrin. La nouveauté de cette année était que les élèves de première différenciée pouvaient également participer.
15 mars : date limite des inscriptions
25-26 mars : épreuve de qualification
27 mars : date limite pour l'envoi des réponses au questionnaire de qualification
17 mai : finale à la HERS, campus de Virton
L'expérience sera reconduite en 2025. Vous encadrez une classe de 6e primaire et souhaitez participer à la prochaine édition du Rallye math ? N'hésitez pas à nous contacter à l'adresse .
Grande première au sein de la Haute École Robert Schuman. À partir de l’année académique 2024-2025, les étudiants de la section ingénieurs en construction auront la possibilité d’obtenir deux diplômes. En effet, grâce à un programme de mobilité internationale Erasmus+, la HERS et l’Université Laval, dans la province du Québec, offrent la possibilité aux étudiants d’obtenir un « Master Ingénieur industriel » belge et une « Maîtrise en génie du bois et des matériaux biosourcés » canadienne.
Concrètement, l’étudiant qui s’engage dans le Master en Ingénieur industriel passera les quatre premières années de sa formation à Arlon (3 années de bachelier et une année de master). Sa deuxième année de Master sera particulière. Le Q1 se déroulera sur le campus d’Arlon alors que le Q2 sera dispensé outre-Atlantique, à l’Université Laval.
Afin de compléter le cursus, l’étudiant sera amené à suivre une sixième année sur le sol québécois. Il devra également rédiger deux mémoires, un pour la HERS et le second pour l’Université Laval.
À l’issue de ce cursus, il pourra donc postuler au marché de l’emploi canadien. Une opportunité à saisir. Le diplôme, proposé par nos partenaires canadiens, permettra de contribuer à l’optimisation du bois et ses procédés de transformation, à l’amélioration des connaissances sur ses propriétés et à la création de nouveaux produits dans la perspective du développement durable.
De plus, la province de Québec regroupe, en plus de l’Université Laval, un très grand nombre de centres de recherche en sciences forestières et en sciences du bois, de quoi offrir d’excellentes perspectives d’emploi.