COVID-19 : LA HERS ADAPTE LES AXES DE SON PLAN STRATÉGIQUE !
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Zoric Simoens a passé quatre mois à l’Auberge de jeunesse de Serre-Chevalier dans le cadre d’un stage Erasmus. Cet étudiant en BAC 3 en Management du tourisme et des loisirs a pu mettre à profit ses connaissances théoriques apprises durant son cursus au sein de la HERS. Gestion des réseaux sociaux, établissement des offres à destination des groupes pour l'été, obtention de différents labels et mise en place d'un chantier international en partenariat avec Concordia, le travail n’a pas manqué au cœur des Alpes françaises.
« J'ai pu mettre en place une grande partie des outils qui m'ont été enseignés durant ces 3 ans. Ainsi la gestion des réseaux sociaux m’a amené à mobiliser des concepts vus lors des cours de communication digitale. L'établissement des offres était une tâche de grande ampleur et à l’enjeu majeur pour la réussite de la saison estivale de l’auberge. En mobilisant les concepts vus lors des cours de stratégie touristique, j'ai pu aisément identifier les acteurs clés, leurs intérêts et négocier de manière efficace avec eux. »
Quant à l'obtention des labels tels que « clé verte » où « accueil vélo », Zoric a profité des notions découvertes à travers différents cours comme la philosophie et les prérequis à l'obtention de labels. « Grâce à cela, j’ai pu entreprendre les démarches d’adaptation de l’auberge et les démarches administratives assez rapidement. »
Enfin pour la gestion du chantier international, « les compétences acquises lors de l’organisation de différents événements (colloque, voyage de deuxième et projets de troisième) et l’utilisation d’outils tels que Gantt ou Xmind » ont permis d’avancer sur le projet.
Sur le plan personnel, Zoric reconnaît avoir eu quelques difficultés à s'intégrer à cause, entre autres, de la différence d'âge. « Mes collègues étaient tous âgés de plus de 30 ans et le fait d'arriver dans une équipe déjà constituée ont été un frein. Toutefois au fil des semaines, j’ai trouvé mes marques grâce à des activités extra-professionnelles. J’ai pu profiter du magnifique cadre qui entoure l’auberge. La découverte des sports de glisse et des sommets alpins environnants resteront à jamais gravés dans ma mémoire. »
Au final, ce séjour durant le deuxième quadrimestre de cette année est « une belle réussite professionnelle et une incitation à me développer dans ma vie personnelle ». « Je suis persuadé que les enseignements tirés durant ces 4 mois me seront utiles tout au long de ma carrière. Cette expérience a été tellement enrichissante », conclut Zoric.
Si toi aussi, tu désires participer au programme Erasmus + et vivre un séjour à l’étranger, n’hésite pas à contacter le Service des Relations Internationales :
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Cette étudiante de BAC 1 en AS a quelque peu cassé les codes en effectuant son stage dans la région parisienne et plus particulièrement au sein de la l’association ACER. Présente sur la commune d’Orly depuis 1971, ACER est un club de prévention spécialisée, intervenant dans le champ de la protection de l’enfance.
La prévention à pour vocation, depuis sa création, de rencontrer des jeunes caractérisés de « marginalisés » ou « en voie de marginalisation ». Pour ce faire, la prévention spécialisée se distingue des autres institutions de par ses modes d’intervention.
Les professeurs et les membres d’ACER ont tenu à mettre en avant la démarche de l’étudiante de la HERS et d’Hénallux qui a surpris lors de son entretien d’admission en tant qu’assistante sociale en formation.
En effet, cette dernière nous a informés ne pas connaitre le public que nous accompagnons, à savoir, des jeunes issus de banlieue. « Axelle a poursuivi sa démarche en exprimant le désir de ne pas s’arrêter aux préjugés véhiculés par la société et les médias sur ce public. Ce discours a largement dépassé le stade de l’entretien et s’est matérialisé par les nombreuses questions pertinentes d’Axelle auprès de notre public. Les interrogations d’Axelle ont trouvé un écho auprès des jeunes en leur témoignant une profonde écoute et le souci de la compréhension de chacune de leur situation », commente ACER.
« Axelle a fait preuve d’une réelle curiosité éducative à l’égard des publics susceptibles d’être accompagnés tout en témoignant d’un profond respect à l’égard de ces personnes et de leurs intégrités morales. »
Ce choc culturel entre un mode de vie urbain et un mode de vie plus rurale a permis une ouverture culturelle des deux parties à la compréhension de la vie menée par l’autre. En tant que club de prévention spécialisée, ACER a tenu à mettre en avant la démarche d’Axelle : tolérance et ouverture aux autres.
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Quinze semaines de stage à plus de 5.000 km, Laura Nicolay a conclu de la plus belle des manières son bachelier en Management du tourisme et des Loisirs. C’est donc dans la municipalité régionale du comté de Kamouraska, au Québec, que notre étudiante a mis à profit ses connaissances. Sa mission : réaliser un itinéraire guidé sur l’application Izi.Travel pour le compte du Parc régional du Haut-Pays de Kamouraska.
« Ce projet m’a aidé à m’intégrer dans un territoire que je connaissais très peu. Cela m’a donné l’occasion de rencontrer des personnes formidables et m’a permis d’améliorer les compétences professionnelles avec la création d’un projet, la mise en place de petites interviews, l’étude d’un territoire et sa valorisation et bien d’autres choses », dit-elle.
« Ma mission était de développer un itinéraire guidé sur la Route du Haut-Pays, qui existait au préalable mais qui n’avait pas de médiation. Pour le projet, j’ai choisi de mettre en valeur l’histoire des municipalités, un fait plutôt intéressant (fun facts) et finalement la mise en valeur d’une entreprise à travers des vidéos d’une minute, une minute trente. »
Sur place, Laura a pu se rendre compte des différentes manières de travailler. Si en Belgique, le système de hiérarchie est globalement vertical, elle a découvert outre Atlantique une approche plus verticale. « En Belgique, j’ai toujours travaillé dans des lieux où le lien hiérarchique était très fort. Il a donc fallu que je m’adapte. Cela s’est bien passé, au point que mes collègues venaient régulièrement me voir pour me demander mon point de vue sur certains sujets liés au développement territorial. Ils ont même organisé des repas et des rencontres avant mon départ. »
Malgré de nombreuses formalités et des confinements à répétition, notre étudiante a enfin pu rejoindre le Canada le 12 février 2022. Si l’éloignement de la famille et des amis a été difficile au début, Laura s’est parfaitement intégrée dans son nouvel environnement. « Toutes les personnes qui m’entouraient sont devenues mes points de repère et des amis. Cette expérience a été très enrichissante, tant professionnellement que personnellement. J’ai hâte d’y retourner très vite afin de m’installer dans la région définitivement. »
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Joe De Smet a passé quatre mois dans les locaux du Marriott Hotel de Berlin, un hôtel d’affaires de 379 chambres qui compte également deux salles de conférence, des salles de réunion, un Centre d’affaires ainsi qu’un Centre de bien-être et de fitness.
« Cette infrastructure est considérée comme le fleuron du groupe Marriott International qui dispose de plus de 7.000 établissements dans le monde », précise cet étudiant en Bac 3 Tourisme. « Ce stage m’a permis de découvrir les spécificités propres de chaque département Housekeeping (entretien ménager), F&B (service de restauration), Guest experience (expérience client) et la réception.
« J’ai eu la chance de décrypter le fonctionnement des différents logiciels utilisés par l’hôtel dont Opera. C’est un système central à tous les établissements Marriott qui sert à gérer l’ensemble de l’établissement (départs, arrivées, repas,…) ».
En travaillant aussi bien le matin, le jour, le soir voire la nuit, Joe a pu se rendre compte de la spécificité de son travail. « La diversité de mes heures de travail m’a permis de visualiser l’ensemble de la gestion de l’hôtel et de comprendre les tâches à réaliser par les différents services. »
Dans un pays étranger, la question de la langue est évidemment très importante. J’ai suivi des cours d’allemand durant deux ans et demi, cela m’a permis de me débrouiller à mon arrivée. Grâce au vocabulaire spécifique souvent utilisé, il était facile de communiquer les choses les plus importantes. Par contre, en cas de demandes plus complexes, j’éprouvais des difficultés à poursuivre en allemand. Fort heureusement, j’avais l’opportunité de continuer la conversation en anglais. »
Au niveau de la mentalité, Joe a constaté que « les Allemands ont une manière de penser assez conservatrice ». Quant à la ville, Berlin affiche de nombreux atouts. « Il y en a pour tous les goûts : culture, histoire. J'ai eu l’occasion de visiter plusieurs musées originaux comme celui des illusions, des jeux-vidéos mais aussi le zoo, un aquarium sans oublier les ballades à travers les nombreux parcs qui garnissent la ville. »
Joe n’a donc aucun regret d’avoir vécu cette immersion au cœur de la capitale allemande. « Je suis fier de moi. Non seulement, j’ai muri et acquis une belle expérience professionnelle mais j’ai eu l’occasion de vivre seul dans un appartement et de m’en sortir par mes propres moyens. Cette expérience est une réussite à de nombreux points de vue. »
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Charlotte Philbiche a passé 6 mois aux Pays-Bas dans le cadre d’un échange Erasmus. «J’avais envie de découvrir un autre système d’enseignement, de me rapprocher de ma famille néerlandaise (ma mère est néerlandaise) et d’approfondir mes compétences linguistiques », avance cette étudiante en 3e année AESI Langues germaniques.
Léa Prijot et Chloé Trevisanut souhaitaient améliorer leur niveau d’allemand. C’est pour cette raison que leur choix s’est porté sur l'Autriche et plus particulièrement Vienne. « Pourquoi ? La ville est réputée pour sa taille, sa propreté et sa sécurité, ainsi que pour sa culture. Le nombre de choses à faire et à voir dans la ville ou ses environs, est hallucinant. Nous savions donc dès le départ que nous n’allions pas être déçues », commentent-elles.
La préparation du séjour n’a pas été un long fleuve tranquille. Outre la recherche d’un logement et la constitution du dossier, les deux étudiantes AESI Langues germaniques ont dû adapter leur cursus, elles ont pu bénéficier du service international de la HERS et de l’équipe de la Hochschule de Vienne.Dès leur arrivée, la Pädagogische Hochschule (PH) a mis sur pied une semaine d’orientation, l’occasion de découvrir les futurs camarades Erasmus, l’école et la ville. Une intégration sans embûche. Quant aux cours, hormis le cours d’allemand, ils étaient dispensés en anglais.
Si la crise sanitaire a quelque peu perturbé la bonne organisation des cours durant trois semaines, les deux étudiantes du département pédagogique de la HERS ont profité de cette période de confinement pour visiter la capitale autrichienne. « Cela s’est mieux déroulé qu’on ne l’imaginait et puis visiter des parcs en solitaire, ça reste chouette ! » Elles ont donc été marquées par la propreté des lieux. «La vie est agréable et malgré le fait que Vienne soit une (très) grande ville, on se sent plus en sécurité que par chez nous. »
Quant à l’architecture, la « Ville de la musique » affiche fièrement ses plus beaux joyaux. « C’est juste incroyable. Dans le centre, tout est beau et rempli d’histoire, on rencontre des monuments intéressants à chaque coin de rue : la cathédrale St-Etienne, l’opéra, les musées, l’hôtel de Ville, le bâtiment du Parlement ou encore le château de Schönbrunn. » Nos futures diplômées de Virton ont également profité de la féérie de Noël. « Décorations, sapins et marchés… vin chaud et punch… tout était au rendez-vous. C’était juste magique. Ce voyage Erasmus a été exceptionnel et très enrichissant. Nous avons appris énormément de choses et ressortons grandies de cette expérience. »
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En cette période de crise sanitaire faite d’incertitudes, le projet InterS (Interdisciplinaire, Interculturel, International et Solidaire) n’a décidément pas manqué d’air. La solidarité internationale s’est affirmée dans notre programme de formation en ouvrant de nouveaux horizons aux étudiants du Bachelier Assistant social organisé en co-diplomation (Hénallux/Hers) à Arlon.
Grâce à une bourse du programme Erasmus+, Diana, Ana Sofia et Aline se sont envolées pour l’Argentine le 11 février, avec comme bagages une soif de rencontres interculturelles et d’épanouissement personnel et professionnel.
De septembre à décembre 2021, dans le cadre du cours à option « InterS », les étudiantes se sont attelées à la conception de deux microprojets de solidarité internationale s’inscrivant dans le cadre des ODD (Objectifs de Développement Durable des Nations Unies). Ces projets ont été construits sur base d’une analyse des besoins et des réalités de terrain de notre association partenaire en Argentine, la « Fundación Emmanuel ».
Située dans la zone semi-rurale de Colonia Urquiza (La Plata – Province de Buenos Aires), la Fondation réalise depuis plus de 30 ans différents programmes pour aider les familles qui ont des difficultés à élever leurs enfants et pour offrir un espace familial aux enfants et adolescents qui n'ont pas la possibilité de vivre dans leur propre famille.
De février à mai, les étudiantes vont réaliser leur stage et mettre en œuvre les microprojets qui prendront la forme de deux ateliers :
Nous souhaitons à Diana, Ana Sofia et Aline une expérience de mobilité enrichissante !