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Charline Bairin, étudiante en kinésithérapie, nous emmène en Valais Suisse où elle a passé son stage de fin d'études.
"Cette aventure de stage Erasmus en Valais Suisse m’a permis de m’enrichir tant sur le plan professionnel que personnel. En partant, j’ai pu prendre du recul mentalement et physiquement sur mon quotidien. Ces expériences m’ont encouragée à sortir de ma zone de confort et à gérer mes émotions face aux épreuves rencontrées.
Là-bas, j’ai découvert un mode de vie différent qui me convient et me correspond réellement. Je m’y sens pleinement authentique et épanouie. J’y ai trouvé un bel équilibre. Ce voyage m’a fait grandir davantage, il m’a appris à être fière de moi et à oser élargir mes horizons.
En plus d’un accueil très chaleureux et familial sur mon lieu de stage, pratiquer et échanger avec l'équipe a renforcé mes compétences. J’ai d’ailleurs une opportunité d’emploi là-bas.
À travers mes expéditions en montagne, je me suis aussi entourée d’amis bienveillants. Avec eux, je me suis dépassée dans mes efforts sportifs en gravissant mes premiers sommets à plus de 3000m d’altitude. J’ai vécu des moments de partage intenses et inoubliables.
Comme on le dit là-bas : « Valais gravé dans mon cœur ».
Merci le Valais pour ces souvenirs et ces émotions qui ne ne me quitteront plus."
Tenté par une expérience à l'étranger ? Pour réaliser ton stage ou suivre des cours, c'est possible ! Pour plus de renseignements, adresse-toi au service des relations internationales de la HERS.
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Entre la découverte des coutumes du Togo, les balades botaniques et les activités liées à leur stage, Eva et Marine ont vécu un séjour intense et inoubliable sur les bords du golfe de Guinée. Arrivées sur le continent africain le 22 janvier, nos deux étudiantes de la section éducateurs ont vécu durant quatre mois au au contact de la population locale.
«Pour être honnêtes, les premières semaines ont été difficiles. La chaleur accablante, la conversion de la monnaie, la culture et le fait que les personnes entre elles parlaient une autre langue que le français ont sans doute compliqué les choses. Il était difficile de créer une relation avec la population locale. Avec le recul, nous supposons que nous n'étions pas ouvertes à la relation dû au choc culturel», avancent les deux étudiantes dont le retour a eu lieu le 18 mai.
Au fil des jours et des activités (jeu de piste et de rôles, réalisation d'une fresque, danse, activités sportives, création d'un dictionnaire,…), la glace s’est brisée. «Petit à petit nous avons été de plus en plus à l'aise sur notre lieu de stage ainsi que dans la vie quotidienne. Grâce aux actions que nous avons mises en places, les Togolais été réceptifs, tout cela nous a aidées à créer une relation de confiance.»
A côté de leurs activité au sein du MAREM (mouvement d’action pour la réinsertion des enfants marginalisés), nos futures éducatrices ont eu le loisir de découvrir quelques particularités du pays comme les plats et les alcools locaux, la musique, les percussions ainsi qu’une découverte de la croyance vaudou sans oublier un circuit en pirogue, une rencontre avec les éléphants et le farniente en bord de plage.
Eva et Marine sont extrêmement reconnaissantes d'avoir pu vivre une telle expérience. «Malgré les difficultés rencontrées durant le début du voyage et quelques soucis de santé (réactions cutanées, problèmes intestinaux), nous éprouvons déjà de la nostalgie en pensant aux relations que nous avons créées avec les jeunes même si nous sommes heureuses à l'idée de retrouver nos proches.»
Si vous désirez participer au programme Erasmus+ et vivre un séjour à l’étranger, n’hésitez pas à contacter Céline Gravé et Patrick Galliez au sein du Service des Relations internationales :
Grande première au sein de la Haute École Robert Schuman. À partir de l’année académique 2024-2025, les étudiants de la section ingénieurs en construction auront la possibilité d’obtenir deux diplômes. En effet, grâce à un programme de mobilité internationale Erasmus+, la HERS et l’Université de Laval, dans la province du Québec, offrent la possibilité aux étudiants d’obtenir un « Master Ingénieur industriel » belge et une « Maîtrise en génie du bois et des matériaux biosourcés » canadienne.
Concrètement, l’étudiant qui s’engage dans le Master en Ingénieur industriel passera les quatre premières années de sa formation à Arlon (3 années de bachelier et une année de master). Sa deuxième année de Master sera particulière. Le Q1 se déroulera sur le campus d’Arlon alors que le Q2 sera dispensé outre-Atlantique, à l’Université de Laval.
Afin de compléter le cursus, l’étudiant sera amené à suivre une sixième année sur le sol québécois. Il devra également rédiger deux mémoires, un pour la HERS et le second pour l’Université de Laval.
À l’issue de ce cursus, il pourra donc postuler au marché de l’emploi canadien. Une opportunité à saisir. Le diplôme, proposé par nos partenaires canadiens, permettra de contribuer à l’optimisation du bois et ses procédés de transformation, à l’amélioration des connaissances sur ses propriétés et à la création de nouveaux produits dans la perspective du développement durable.
De plus, la province de Québec regroupe, en plus de l’Université de Laval, un très grand nombre de centres de recherche en sciences forestières et en sciences du bois, de quoi offrir d’excellentes perspectives d’emploi.
Notre collègue du département pédagogique Nathaelle Balfroid, a pris part début mai à l’ « International staff training week » qui s’est tenue à Vilnius en Lituanie, un événement annuel organisé par la Haute École de Vilnius (Vilniaus Kolegija – VIKO) et qui a regroupé 40 personnes issues de 16 pays différents.
Le thème de cette édition 2024 concernait la recherche, le développement, l’innovation et les liens à tisser avec le monde de l’entreprise. Un programme intensif et constructif qui a permis de mettre en évidence le rôle des institutions supérieures de l’éducation dans l’impact régionale en termes de développement social, économique et culturel.
Les organisateurs ont également souligné l’importance des collaborations internationales et plus particulièrement européennes. À ce propos, EURASHE, service spécialisé dans le soutien au réseautage en matière de recherche appliquée en Haute École, a présenté différents outils d’aide aux échanges et partages transnationaux.
« Les échanges ont été riches et de nombreux contacts ont été pris pour réitérer cette participation et envisager de possibles collaborations Erasmus pour nos enseignants et nos étudiants. La VIKO propose en effet de nombreux programmes semblables aux nôtres. L’accueil a été chaleureux et la barrière de la langue s’est dissipée peu à peu », précise encore Nathaelle Balfroid.
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Sous l’impulsion de Jacinthe Dancot et du service des Relations internationales de la HERS, la 3e édition de la Semaine internationale des soins infirmiers a débuté ce mardi 23 avril sur le campus de Libramont. Cet événement, qui se tiendra jusqu’à ce jeudi 25 avril, regroupe différents partenaires internationaux de notre institution dans le domaine des soins infirmiers.
Durant ces trois jours de rencontre, nos hôtes découvriront le système de l’enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles mais aussi les spécificités du Bachelier infirmier(ère) responsable de soins généraux ainsi que notre Master en Sciences infirmières, organisé en codiplômation avec l’ULiège, HELMo et la Haute École de la Province de Liège.
Des séances de partage d’information, des présentations des institutions partenaires mais aussi des visites de terrain (SIAMU complication post-op vasculaire, enseignement des soins en santé mentale, activités d’intégration professionnelle, formation à la recherche, hôpital virtuel,…) sont aussi à l’agenda.
La question de la mobilité des étudiants sera aussi évoquée avec les possibilités de stage. Certains responsables « santé » profiteront également de ce séjour pour rencontrer le coordinateur de la section kinésithérapie de la HERS afin d’évoquer de futures collaborations.
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Une délégation de la Haute École Robert Schuman, composée du responsable des Relations Internationales accompagné de la coordinatrice de la section Master en enseignement Section 1, a participé à un séjour d’étude chez nos nouveaux partenaires Erasmus de l’Université des Antilles.
Durant ce STT (Staff Mobility for Training), Patrick Galliez a notamment rencontré ses homologues du bureau des relations internationales de l’Université des Antilles, pôle de Guadeloupe et pôle de Martinique. Annie Gofflot a, quant à elle, pu s’entretenir avec les différents responsables de programmes ainsi qu’avec des collègues antillais. Ces rencontres ont permis d’échanger autour des pratiques, notamment dans le cadre de la réforme de l’enseignement en Fédération Wallonie-Bruxelles, mise en place dans le département pédagogique (basculement en Masters en Enseignement) depuis septembre 2023.
Ces échanges vont permettre d’élargir ce nouveau partenariat à d’autres sections et départements, tant pour la mobilité étudiante que pour la mobilité enseignante. Patrick et Annie ont eu l’occasion de présenter l’enseignement supérieur en FWB ainsi que la HERS et ses différentes formations, afin d’accueillir dans un avenir proche les étudiants antillais sur nos différents campus.
Notre équipe pédagogique a enfin profité de ce déplacement dans les Antilles pour rencontrer deux étudiantes en mobilité académique, Sara Riccardi et Aline Herz (section préscolaire). Nos deux étudiantes sont toutes deux enchantées de ce séjour durant lequel elles ont pu découvrir de nouvelles facettes de leur formation. Elles ont eu l’opportunité de réaliser un stage qui leur a permis de s’immerger dans la pratique professionnelle des maitres des écoles en Martinique.
Des étudiants Bac 2 de la section langues germaniques (campus de Virton) reviennent d'un voyage à Belfast de 6 jours dans le cadre du stage spécifique culturel. « Après avoir étudié l’Irlande du Nord lors du cours de culture, les élèves ont été amenés à découvrir l’Irlande du Nord et Belfast au travers de nombreux aspects : historique, géographique, culturel et culinaire. Le tout dans une perspective pédagogique », précise A-S Richard, Maître-assistante en langues germaniques.
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Tout d’abord, les élèves ont pu découvrir la campagne irlandaise, ses villages de pêcheurs, ses distilleries, ses châteaux et le site naturel unique de la Chaussée des Géants. Cette formation volcanique se compose de 40 000 colonnes verticales de forme hexagonale en basalte, dont la hauteur peut atteindre jusqu’à 12 mètres ! Inscrite sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco, elle attire chaque année des millions de visiteurs.
Le lendemain, l’histoire fut au rendez-vous avec une visite guidée de la ville de Belfast et la découverte du musée Titanic Belfast retraçant les dernières heures du paquebot ayant fait naufrage en 1912. Après cette journée bien remplie, les étudiantes ont foulé la piste de dance et ont appris le Céilí qui est un type de danse traditionnelle irlandaise en couple ou en formation (ligne, cercle, carré...)..
Ensuite, les étudiants ont découvert les fresques murales de Belfast qui sont le marqueur le plus visible de la frontière virtuelle qui existe entre les deux principales communautés d’Irlande : d’un côté les unionistes / loyalistes, protestants, fidèles à la Couronne d’Angleterre ; de l’autre les nationalistes / républicains, catholiques, favorables à l’union avec la République d’Irlande.