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Cinq mois au Collège de Salaberry-de-Valleyfield au Québec, Jéssica a eu l’occasion de clôturer son bachelier en éducateur spécialisé en accompagnement psycho-éducatif de la plus belle des manières. « Je suis très chanceuse d'avoir pu vivre cette expérience, les mots ne seront pas suffisants pour décrire l'expérience de partir à l'étranger. Je conseille à chacun de vivre une telle expérience. »
Au sein de cette école secondaire, notre étudiante était responsable de l’accompagnement de trois groupes GAPD (Groupes Adaptés en Difficultés Pédagogiques). « Dans ces classes, il y avait des élèves diagnostiqués TDAH (Trouble du Déficit de l'Attention avec Hyperactivité), TSA (trouble du spectre de l'autisme) et TOP (Trouble Oppositionnel avec Provocation). Mon rôle était de les écouter, de répondre à leurs besoins et de gérer les conflits. »
En dehors du cadre scolaire, Jéssica a également eu la chance de découvrir un nouvel environnement même si au début, tout n’a pas été facile. Elle a dû entre autres se familiariser avec les démarches administratives des douanes, s’adapter à la culture canadienne mais aussi à l’accent canadien. « Tout cela m’a permis de me découvrir dans un nouvel environnement. »
Durant ce séjour, Jéssica a vécu d’innombrables aventures l’hôtel de glace, une promenade en compagnie des chiens de traîneaux ou encore les visites des villes de Québec, Montréal et Toronto. « J’ai aussi pu réaliser un rêve de petite fille en participant à une cérémonie de remise de diplômes aux finissants avec les toges et les chapeaux. J’ai aussi eu la chance d’assister à une éclipse totale et aux aurores boréales. Ce séjour a dépassé mes attentes. Par contre, je n’ai pas aimé la fameuse Poutine mais j’ai adoré le Canada. »
Tenté par une expérience à l'étranger ? Pour réaliser ton stage ou suivre des cours, c'est possible ! Pour plus de renseignements, adresse-toi au service des relations internationales de la HERS.
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Quinze semaines en Irlande, cela vous change une étudiante. Delphine n’est pas prête d’oublier son séjour Erasmus. « J’ai vécu la plus extraordinaire des expériences », dit-elle. Cette étudiante de la section Management du tourisme et des loisirs a effectué ce stage au Hunt Museum à Limerick, un musée d’art qui regroupe plus de 2.600 œuvres.
« Durant mon séjour, j’ai pu exercer plusieurs tâches, comme organiser des événements, mettre en place des expositions, créer un guide de visite en français, participer à des visites guidées ou encore accueillir les visiteurs. Un stage très polyvalent ! »
A côté de l’expérience professionnelle, notre étudiante a eu l’occasion de rencontrer des personnes venues d’horizons divers. « Mes collègues (ou devrais-je plutôt dire amis) m’ont accueillie dans leur équipe dès le premier jour. Je ne compte plus les rires, les joies et parfois les bêtises qu’on a faites ensemble. Je me suis retrouvée dans un environnement plus que bienveillant aux allures familiales. Ils se sont attachés à moi et je me suis attachée à eux. Les adieux ont été difficiles, mais je sais que je les reverrai. »
Delphine a également mis à profit son séjour pour multiplier les activités comme la visite de Dublin, le parc national de Killarney ou encore les célèbres falaises de Moher. « J’ai pu découvrir une nature époustouflante et des paysages merveilleux. J’ai aussi rencontré des gens très accueillants. Il a été facile pour moi de me faire des amis qui occuperont toujours une place importante dans mon cœur. Je n’oublierai jamais cette expérience qui m’a permis de grandir. Je ne garde que des souvenirs positifs de mon séjour en Irlande. »
Et pourtant quelques jours avant le grand saut, Delphine était rongée par le doute. « Je ne savais pas où j’allais, la peur et l’angoisse ont pris le dessus plus d’une fois. Je ne regrette absolument pas mon choix d’être partie à l’étranger. À toutes les personnes qui, comme moi, ont peur de se lancer, je n’ai qu’une chose à vous dire : foncez ! »
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Charline Bairin, étudiante en kinésithérapie, nous emmène en Valais Suisse où elle a passé son stage de fin d'études.
"Cette aventure de stage Erasmus en Valais Suisse m’a permis de m’enrichir tant sur le plan professionnel que personnel. En partant, j’ai pu prendre du recul mentalement et physiquement sur mon quotidien. Ces expériences m’ont encouragée à sortir de ma zone de confort et à gérer mes émotions face aux épreuves rencontrées.
Là-bas, j’ai découvert un mode de vie différent qui me convient et me correspond réellement. Je m’y sens pleinement authentique et épanouie. J’y ai trouvé un bel équilibre. Ce voyage m’a fait grandir davantage, il m’a appris à être fière de moi et à oser élargir mes horizons.
En plus d’un accueil très chaleureux et familial sur mon lieu de stage, pratiquer et échanger avec l'équipe a renforcé mes compétences. J’ai d’ailleurs une opportunité d’emploi là-bas.
À travers mes expéditions en montagne, je me suis aussi entourée d’amis bienveillants. Avec eux, je me suis dépassée dans mes efforts sportifs en gravissant mes premiers sommets à plus de 3000m d’altitude. J’ai vécu des moments de partage intenses et inoubliables.
Comme on le dit là-bas : « Valais gravé dans mon cœur ».
Merci le Valais pour ces souvenirs et ces émotions qui ne ne me quitteront plus."
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Entre la découverte des coutumes du Togo, les balades botaniques et les activités liées à leur stage, Eva et Marine ont vécu un séjour intense et inoubliable sur les bords du golfe de Guinée. Arrivées sur le continent africain le 22 janvier, nos deux étudiantes de la section éducateurs ont vécu durant quatre mois au au contact de la population locale.
«Pour être honnêtes, les premières semaines ont été difficiles. La chaleur accablante, la conversion de la monnaie, la culture et le fait que les personnes entre elles parlaient une autre langue que le français ont sans doute compliqué les choses. Il était difficile de créer une relation avec la population locale. Avec le recul, nous supposons que nous n'étions pas ouvertes à la relation dû au choc culturel», avancent les deux étudiantes dont le retour a eu lieu le 18 mai.
Au fil des jours et des activités (jeu de piste et de rôles, réalisation d'une fresque, danse, activités sportives, création d'un dictionnaire,…), la glace s’est brisée. «Petit à petit nous avons été de plus en plus à l'aise sur notre lieu de stage ainsi que dans la vie quotidienne. Grâce aux actions que nous avons mises en places, les Togolais été réceptifs, tout cela nous a aidées à créer une relation de confiance.»
A côté de leurs activité au sein du MAREM (mouvement d’action pour la réinsertion des enfants marginalisés), nos futures éducatrices ont eu le loisir de découvrir quelques particularités du pays comme les plats et les alcools locaux, la musique, les percussions ainsi qu’une découverte de la croyance vaudou sans oublier un circuit en pirogue, une rencontre avec les éléphants et le farniente en bord de plage.
Eva et Marine sont extrêmement reconnaissantes d'avoir pu vivre une telle expérience. «Malgré les difficultés rencontrées durant le début du voyage et quelques soucis de santé (réactions cutanées, problèmes intestinaux), nous éprouvons déjà de la nostalgie en pensant aux relations que nous avons créées avec les jeunes même si nous sommes heureuses à l'idée de retrouver nos proches.»
Si vous désirez participer au programme Erasmus+ et vivre un séjour à l’étranger, n’hésitez pas à contacter Céline Gravé et Patrick Galliez au sein du Service des Relations internationales :
Grande première au sein de la Haute École Robert Schuman. À partir de l’année académique 2024-2025, les étudiants de la section ingénieurs en construction auront la possibilité d’obtenir deux diplômes. En effet, grâce à un programme de mobilité internationale Erasmus+, la HERS et l’Université Laval, dans la province du Québec, offrent la possibilité aux étudiants d’obtenir un « Master Ingénieur industriel » belge et une « Maîtrise en génie du bois et des matériaux biosourcés » canadienne.
Concrètement, l’étudiant qui s’engage dans le Master en Ingénieur industriel passera les quatre premières années de sa formation à Arlon (3 années de bachelier et une année de master). Sa deuxième année de Master sera particulière. Le Q1 se déroulera sur le campus d’Arlon alors que le Q2 sera dispensé outre-Atlantique, à l’Université Laval.
Afin de compléter le cursus, l’étudiant sera amené à suivre une sixième année sur le sol québécois. Il devra également rédiger deux mémoires, un pour la HERS et le second pour l’Université Laval.
À l’issue de ce cursus, il pourra donc postuler au marché de l’emploi canadien. Une opportunité à saisir. Le diplôme, proposé par nos partenaires canadiens, permettra de contribuer à l’optimisation du bois et ses procédés de transformation, à l’amélioration des connaissances sur ses propriétés et à la création de nouveaux produits dans la perspective du développement durable.
De plus, la province de Québec regroupe, en plus de l’Université Laval, un très grand nombre de centres de recherche en sciences forestières et en sciences du bois, de quoi offrir d’excellentes perspectives d’emploi.
Notre collègue du département pédagogique Nathaelle Balfroid, a pris part début mai à l’ « International staff training week » qui s’est tenue à Vilnius en Lituanie, un événement annuel organisé par la Haute École de Vilnius (Vilniaus Kolegija – VIKO) et qui a regroupé 40 personnes issues de 16 pays différents.
Le thème de cette édition 2024 concernait la recherche, le développement, l’innovation et les liens à tisser avec le monde de l’entreprise. Un programme intensif et constructif qui a permis de mettre en évidence le rôle des institutions supérieures de l’éducation dans l’impact régionale en termes de développement social, économique et culturel.
Les organisateurs ont également souligné l’importance des collaborations internationales et plus particulièrement européennes. À ce propos, EURASHE, service spécialisé dans le soutien au réseautage en matière de recherche appliquée en Haute École, a présenté différents outils d’aide aux échanges et partages transnationaux.
« Les échanges ont été riches et de nombreux contacts ont été pris pour réitérer cette participation et envisager de possibles collaborations Erasmus pour nos enseignants et nos étudiants. La VIKO propose en effet de nombreux programmes semblables aux nôtres. L’accueil a été chaleureux et la barrière de la langue s’est dissipée peu à peu », précise encore Nathaelle Balfroid.
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Sous l’impulsion de Jacinthe Dancot et du service des Relations internationales de la HERS, la 3e édition de la Semaine internationale des soins infirmiers a débuté ce mardi 23 avril sur le campus de Libramont. Cet événement, qui se tiendra jusqu’à ce jeudi 25 avril, regroupe différents partenaires internationaux de notre institution dans le domaine des soins infirmiers.
Durant ces trois jours de rencontre, nos hôtes découvriront le système de l’enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles mais aussi les spécificités du Bachelier infirmier(ère) responsable de soins généraux ainsi que notre Master en Sciences infirmières, organisé en codiplômation avec l’ULiège, HELMo et la Haute École de la Province de Liège.
Des séances de partage d’information, des présentations des institutions partenaires mais aussi des visites de terrain (SIAMU complication post-op vasculaire, enseignement des soins en santé mentale, activités d’intégration professionnelle, formation à la recherche, hôpital virtuel,…) sont aussi à l’agenda.
La question de la mobilité des étudiants sera aussi évoquée avec les possibilités de stage. Certains responsables « santé » profiteront également de ce séjour pour rencontrer le coordinateur de la section kinésithérapie de la HERS afin d’évoquer de futures collaborations.
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