Institutrice primaire diplômée en 2019, Constance Hinck évoque son parcours à la HERS et après. Témoignage...
Choisir la HERS pour y apprendre mon futur métier ? C’était une évidence.
La HERS, c’est avant tout un établissement très cher à mon cœur : il fait partie de l’histoire de ma famille. Avant moi, mon grand-père, ma mère, mon oncle et ma tante y ont été diplômés. Tous ont d’ailleurs été formés au sein du département pédagogique de la Haute École situé sur le campus de Virton. C’est dire à quel point les racines de cette institution sont profondes… Lorsque j’ai décidé d’entamer un bachelier en instituteur primaire, il était évident pour moi que je le réaliserais à la HERS. Je voulais être préparée au mieux à l’exercice de mon futur métier et je savais que cet établissement me le permettrait. Il est une référence en province de Luxembourg et sa réputation n’est plus à faire.
La HERS, un établissement à dimension humaine
Dès mon entrée à la Haute École, je m’y suis sentie à ma place, comme à la maison. Des connaissances sont très rapidement devenues des amis, de vrais amis sur lesquels j’ai toujours pu compter. C’est une famille que nous formions à l’internat du campus de Virton. Avec un peu de recul, je réalise à quel point cet esprit convivial a contribué à ma réussite. La HERS est une institution à dimension humaine qui se soucie de l’épanouissement de ses étudiants.