Début décembre 2018, c'était le colloque du tourisme durable sur le campus de Libramont. Comme chaque année, étudiants en tourisme et professionnels externes se sont penchés sur des pratiques plus durables au sein du secteur touristique.

Pour la troisième année consécutive, les étudiants en section logopédie de la Haute École Robert Schuman ont organisé, en collaboration avec la bibliothèque communale de Libramont, des ateliers lectures à destination d’enfants de l’accueil extrascolaire libramontois.

Cette année, les étudiants étaient présents deux mercredis après-midi pour raconter des histoires à des enfants de la commune de Libramont. Et pour le bonheur de tous, des mimes, des déguisements et des bricolages ont complété ces histoires.

Un plus pour les enfants

Durant deux mercredis après-midi, des enfants de la commune de Libramont ont pu se rendre à la bibliothèque communale. Là, ils ont été immergés dans un monde merveilleux où ils ont pu découvrir avec plaisir des histoires fabuleuses, contées par les étudiants de la HERS. Entre rires, sourires et émerveillement, les enfants présents lors des ateliers se sont tous pris au jeu.

Le blocus pointe déjà le bout de son nez... Pas facile de se mettre au travail seul(e) dans son coin !

Pour te mettre dans les meilleures dispositions pour étudier, la Haute École Robert Schuman te propose des lieux pour optimiser ton blocus.

Pour y accéder, rien de plus simple. Il te suffit de présenter ta carte d'étudiant ou une attestation d'inscription de l'année académique en cours.

Consulte les horaires ici.

Et pour t'aider à booster les performances de ta mémoire, nous t'invitons à consulter la vidéo du Pôle académique Liège - Luxembourg.

Lundi 4 décembre, les pompiers fêtaient Sainte-Barbe, leur sainte patronne. Une fête hautement symbolique pour Florian Baljé, étudiant en 2^e Master Ingénieur industriel à la HERS... et pompier volontaire. Portrait d'un étudiant qui a décidé de mettre ses acquis au service de ses compagnons du feu. 

Quel homme n'a jamais rêvé d'être pompier ? Qui n'a rêvé, ne serait-ce qu'une seule fois, de s'engouffrer dans une maison en feu, et d'en ressortir quelques instants plus tard en héros ? La simple évocation de ce métier fait briller les yeux de tous les garçons, petits ou grands.

De tous les gamins, vraiment ? Mmh... Peut-être pas tous !

Si l'on en croit Florian Baljé, lui ne rêvait pas d'être pompier lorsqu'il était enfant. C'est un ami de son père qui l'invite un jour à rejoindre les jeunes sapeurs-pompiers de Paliseul, quand il a 15 ans. Au départ, il n'était pas très emballé, et ce n'est que lorsqu'il a vu tous ses copains y aller qu'il s'est décidé à leur emboîter le pas.

Athlétique, l'œil vif et le regard pénétrant, le jeune homme a pourtant une sacrée prestance avec son uniforme. Et quand on l'écoute parler, on comprend vite à quel point le jeune homme est passionné. Une qualité indispensable pour mener une vie aussi trépidante...

Étudiant ingénieur... et pompier

Être étudiant en Ingénieur industriel, ce n'est pas donné à tout le monde. Si ces études sont la voie royale vers un métier passionnant, elles attirent encore trop peu de jeunes. Beaucoup d'entreprises peinent aujourd'hui à recruter ces profils, et ce n'est pas un hasard. Les étudiants qui se destinent à des études scientifiques ou techniques sont encore trop rares.

Mais Florian n'est pas du genre à reculer devant la difficulté. Après avoir obtenu son diplôme de Bachelier en Électromécanique, il a effectué une passerelle vers le Master Ingénieur industriel et terminera ses études en juin prochain. Tout en conciliant ses études avec ses nombreuses formations chez les pompiers... et ses gardes ! Car en plus d'être étudiant, Florian est pompier volontaire au poste de Paliseul, l'un des 16 postes de la zone de secours de la province de Luxembourg.

Pompier volontaire, kesako ?

Dans l'inconscient collectif, le pompier volontaire souffre parfois d'un manque de reconnaissance. Certains lui collent à tort une image de pompier amateur et bénévole. Comme Florian Baljé le souligne, c'est tout le contraire. « Au niveau de la formation et des compétences, il n'y a aucune différence entre un pompier professionnel et un pompier volontaire. La seule différence, ce sont les horaires. Un pompier volontaire prend ses gardes le soir, la nuit et les weekends. Une fois chez lui, il est aussi appelable. De son côté, un pompier professionnel fait sa journée à la caserne et il n'est pas rappelé une fois chez lui. S'il le veut, il peut lui aussi se rendre disponible en-dehors de ses journées. Mais c'est toujours sur base... volontaire. »

Durant la journée, le pompier professionnel consacre aussi sa garde à des activités sportives et à l'entretien des véhicules et du matériel, ce que le pompier volontaire ne fait pas. Mais hormis ces détails, les deux profils de pompiers sont identiques.

Le 3^e numéro de la Newsletter des bibliothèques de la HERS vient de paraître ! 

Ce numéro liste les nouveautés de septembre à novembre 2018. Vous y découvrirez une présentation synthétique de ces ouvrages, disponibles dans les trois bibliothèques de la HERS.

Les bibliothécaires vous souhaitent une heureuse découverte.

Consultez le 3^e numéro de la Newsletter des Bibliothèques ici.

En plus d’une journée de conférences sur le campus, les enseignants en tourisme ont proposé deux journées extra-muros aux étudiants des blocs 1 & 2 en tourisme. Un jeudi consacré à observer et comprendre les phénomènes karstiques et leur mise en tourisme dans le Géopark Famenne-Ardenne.  Les étudiants ont poursuivi avec les visites de la grotte de Lorette à Rochefort et de la très touristique grotte de Han-sur-Lesse.

Le vendredi 30 était consacré à l’étude de la stratégie touristique de la ville de Namur. Le matin, les étudiants ont découvert les efforts faits par la ville pour redynamiser les quais de la Meuse et de la Sambre.

Autre visite très appréciée par nos étudiants le même jour : le centre du visiteur « Terra Nova », consacré à l’histoire de la Citadelle de Namur. Depuis la première occupation du site jusqu’à une vision de la gestion idéale future, les étudiants ont pris la mesure du projet de développement durable entrepris à Namur. L’outil est doté de divers moyens technologiques de pointe, une combinaison particulièrement efficace pour séduire un public très large.

Du 26 au 30 novembre 2018, la catégorie économique de la Haute École Robert Schuman a tenu sa semaine professionnelle. Une semaine durant laquelle les étudiants ont eu l'occasion de saisir de nombreuses opportunités pour leur future carrière.

Les rencontres avec le milieu professionnel sont au cœur des préoccupations de notre catégorie économique. Elles permettent aux trois acteurs concernés - étudiants, enseignants et professionnels - d’en retirer des bénéfices immédiats. Les enseignants peuvent adapter leurs cours aux besoins des entreprises, les étudiants prennent conscience des exigences du milieu professionnel, et les entreprises attirent chez elles des ressources du plus haut niveau. En trois mots, c'est une opération « Win - Win - Win ».

Si ces interactions sont essentielles dans un secteur en perpétuelle évolution comme l’informatique, elles sont aussi profitables pour tous en tant qu’expériences concrètes avant d’entrer sur le marché de l’emploi. Les retours des étudiants en témoignent.

En marge des traditionnelles visites de stages, diverses initiatives sont donc prises pour favoriser les échanges : Job Day à domicile, visites d’entreprises, conférences externes ou in situ, retours d’expériences, etc.