COVID-19 : LA HERS ADAPTE LES AXES DE SON PLAN STRATÉGIQUE !
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Comment motiver le personnel d'une organisation ? Peut-on seulement le faire ? Quels résultats ont donné tous ces courants de coaching au travail pour augmenter la motivation au travail ? Existe-t-il des bonnes pratiques ?
Toutes ces questions, Luc Canautte et les coordinateurs Qualité de la HERS les ont posées à Jean-Michel Longneaux, Marianne Poumay et Alexis Willems.
Retour sur une journée marquante, rehaussée par la présence de Sondron, caricaturiste renommé.
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En prise directe avec le management et la stratégie de l'institution, le coordonnateur Qualité a pour mission d'établir des repères et des jalons. Toute l'équipe Qualité œuvre sans relâche à améliorer non seulement la qualité de l'enseignement, mais aussi celle du travail de chacun. Et si la tâche et les responsabilités sont immenses, le pouvoir de la Qualité est... tout relatif. C'est un pouvoir consultatif, qui consiste à indiquer la bonne direction, et à élargir nos horizons.
C'est dire si Luc Canautte s'est naturellement posé la question de la motivation, nécessaire pour atteindre les objectifs établis pour la HERS. Comment motiver le personnel d'une organisation ? Peut-on seulement le faire ? Quels résultats ont donné tous ces courants de coaching au travail ? Existe-t-il des bonnes pratiques ?
Toutes ces questions, Luc Canautte et son équipe les ont posées à des personnalités au profil tantôt proche, tantôt différent. Pour garder le sourire et poser un regard détaché sur les débats, l'équipe Qualité a pu compter sur les caricatures de Sondron.
Lancé aux Etats-Unis par Barack Obama, le projet Hour of code a pour objectif de sensibiliser le grand public à la programmation informatique. Sans doute trop occupé à la frontière mexicaine, le nouveau président n’a pas encore supprimé le projet de son prédécesseur. Et c’est très bien, car à ce jour plus de 350 millions d’élèves dans plus de 180 pays ont pu profiter gratuitement de différents didacticiels conçus au pays de l’Oncle Sam.
Ce projet ludique est pensé pour démontrer que n’importe qui peut apprendre la programmation. De nombreux tutoriels de plusieurs niveaux ont été mis au point. Ceux-ci fonctionnent sur les navigateurs modernes, les tablettes et les smartphones. Ils sont en outre actualisés chaque année, ce qui permet aux élèves de retrouver régulièrement de nouveaux contenus sur le site dédié.
Pour sa rentrée académique 2018-19, la Haute École Robert Schuman a choisi le thème de l’énergie et ses enjeux.
Au cours de sa conférence inaugurale, le Pr Damien Ernst décode cette guerre de l'énergie qui est en train de se passer sous nos yeux et que souvent, l'on ne comprend pas. Il explique à quel point la technologie pourrait changer la géopolitique de l'énergie et plonger certaines nations dans la tourmente. Il met aussi en garde contre tout espoir excessif en la technologie pour garantir un approvisionnement en énergie suffisant, tellement la soif d'énergie de nos sociétés est grande.
Il discute également des politiques énergétiques à mettre en place en Europe pour éviter que le vieux continent ne sorte perdant de cette nouvelle guerre des ressources.
Présentée par Sacha Daout, l’émission « A votre avis » s’intéresse aux questions économiques et politiques au cœur des préoccupations quotidiennes des citoyens belges. Au départ, il était prévu que nos étudiants assistent à un débat sur la crise économique de 2008 dans le cadre de leur cours de fiscalité. Mais la production a changé le sujet en dernière minute, en fonction d’une actualité plus pressante.
C'est donc le problème des pensions qui fut au centre du débat lors du passage de nos troupes. Cinq invités, dont le Ministre des pensions Daniel Bacquelaine et le CIO de la FEB Peter Timmermans, ont tenté d’apporter des informations encourageantes concernant les pensions futures. Des préoccupations encore lointaines pour nos ambassadeurs, il est vrai. Ils ont heureusement trouvé sur place des motifs de satisfaction beaucoup plus immédiats.
Faire 300 km pour assister à un enregistrement en direct c’est peu rentable, vous en conviendrez. Nos étudiants en ont donc profité pour visiter les installations du boulevard Reyers. Une visite guidée des régies et des studios d’enregistrement (radio et télévision) avec répétition des titres du JT du soir de François De Brigode, mise en place du 20 : 02 par l’animatrice Fanny Gillard (qui a animé le public avec un rébus), des explications sur le fonctionnement des chaînes de radio et même des réglages de la lumière sur le plateau pour quelques privilégiés qui ont pu tester le confort des sièges des invités.
Tenue professionnelle de rigueur, focus sur le CV et la lettre de candidature bien sûr, mais aussi sur d’autres aspects rencontrés quotidiennement au travail.
Plus de 25 entreprises étaient présentes pour conseiller nos futurs diplômés et pour inviter certains à postuler chez eux. Ce genre d’événement est une très belle rampe de lancement pour trouver un stage, qui débouche souvent sur une proposition d’emploi.
Nos étudiants ont bien saisi l’importance de ces rencontres et prennent très au sérieux ces entretiens particuliers.
La médecine de famille au Vietnam, c'est l'équivalent de notre médecine généraliste en Belgique. En bref, c'est un mélange de pratique en cabinet ou en maison médicale, où l'on retrouve différentes disciplines, comme les soins infirmiers et la kinésithérapie. Cette première ligne de soins n'est pas encore très développée au Vietnam.
Depuis plusieurs années, le gouvernement vietnamien investit dans le développement des soins de première ligne. L'objectif est de désengorger les hôpitaux et de favoriser l'accès aux soins de santé à près de 99 % de la population. Près de 11 500 postes de santé existent : au moins un poste pour chaque commune. Mais dans ces postes, on ne pratique essentiellement que de la promotion et de la prévention de la santé. La population rurale doit donc se déplacer dans les villes pour obtenir des soins plus curatifs.
Lorsque les personnes sont malades, elles s'adressent directement aux hôpitaux, qui n'arrivent plus à faire face à la demande. Si la situation évoque celle des services d'urgence de notre pays, la situation au Vietnam est bien plus préoccupante. Pour ne citer qu'un exemple, en hôpital, une consultation de psychiatrie dure en moyenne... 3 minutes.