COVID-19 : LA HERS ADAPTE LES AXES DE SON PLAN STRATÉGIQUE !
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L'évolution inquiétante de notre planète nous concerne tous. Cette année, Arnaud Zacharie, Directeur du CNCD 11-11-11, nous a fait l'honneur de faire le point sur l'état économique, écologique et social du monde actuel. Et le moins qu'on puisse dire, c'est que le constat est alarmant. Nous ne pouvons plus fermer les yeux.
Économie durable, inégalités créées par la mondialisation, meilleure répartition des richesses, ... Autant de sujets abordés dans cette conférence qui ne vous laissera pas indifférent."
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- Un atelier création d'étoiles en osier et en différents matériaux sauvages et colorés, animé par Véronique Wiertz, de l'entreprise Les Herbes Buissonnières (déjà complet !)
- Un atelier création de photophores animé par Pascale Es, de la société Savewood by Pascale Es et membre du collectif Sylv'Art - Collectif d'Artisans de la région
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Déjà très prisés par les industriels du Grand-Duché de Luxembourg, les diplômés Ingénieurs industriels de la Haute École Robert Schuman pourront continuer à bénéficier des mêmes opportunités de carrière que leurs confrères français dans toute la France. Étudiants et employeurs ont la garantie que le programme de formation d’ingénieur industriel à la Haute École Robert Schuman répond tant aux besoins du monde professionnel qu’aux enjeux économiques et sociétaux, qu'ils soient nationaux ou européens.
La CTi a relevé dans son avis d’admission le caractère polyvalent du profil des diplômés, qui se révèlent multi-compétents dans le domaine des sciences industrielles. Nos ingénieurs doivent cette polyvalence au caractère technologique de la formation et à son application, mais aussi à la disponibilité des enseignants et à la proximité entre ceux-ci et les futurs professionnels.
Les trois options - électronique industrielle, construction bois-béton et mécanique - offrent des spécialisations aux diplômés qui contribuent au taux de placement qui a été qualifié d’« excellent » par la CTi, et qui vaut à la Haute École Robert Schuman le soutien et l’appréciation remarquables des industriels.
Le bien-être de l’apprenant en formation initiale ou continue aux différents métiers de la santé pourrait paraître secondaire face à la nécessité d’acquérir des savoirs et des habiletés techniques. Cependant, les difficultés des étudiants sont réelles, qu’il s’agisse de contraintes personnelles, de pressions financières, du vécu des stages, etc.Tous ces éléments peuvent freiner le cheminement de l’étudiant vers l’autonomie et la maîtrise des nombreux apprentis-sages requis pour exercer son futur métier.
Les auteurs, formateurs aux divers métiers de la santé, responsables pédagogiques, fournissent des apports réflexifs sur les fondements d’une relation pédagogique éthique, respectueuse des singularités et difficultés individuelles. Ils se penchent sur les conditions de la bientraitance des étudiants, ou l’attention devant être accordée à leur estime de soi.
Ils portent aussi un regard éclairé sur les signes de mal-être, les facteurs de stress, les risques psychosociaux chez les étudiants tout en faisant part d’actions qui peuvent être menées afin de favoriser un mieux-être. Il peut s’agir de renforcer le partenariat entre le terrain et les instituts concernant les stages, d’instaurer une formation au tutorat, de veiller à la santé physique de chacun, ou bien de mettre en place tout autre levier de prévention ou d’amélioration de la qualité de vie.
Tenir compte de l’épanouissement des étudiants qui suivent une formation à un travail considéré comme difficile est essentiel, d’autant plus que la qualité de la relation pédagogique peut conditionner la future relation de soin. Exercer une vigilance éthique sur le plan pédagogique, c’est participer à la cohérence des actions en vue d’assurer le bien-être des étudiants, des professionnels et des patients, sachant qu’une atmosphère d’hu-manité est requise en tout lieu pour des soins de qualité.
La bientraitance des étudiants – « bien faire » pour veiller à assurer le bien-être : Bien traiter les étudiants en santé (Walter Hesbeen) • L’estime de soi des étudiants infirmiers : pouvons-nous « bien faire » ? (Jacinthe Dancot) • Approche plurielle de la singularité : comment promouvoir le bien-être des étudiants en stage… ? (Olivier Callebaut, Natacha Purnelle).
Prendre soin du corps des étudiants au travail : Le corps de l’étudiant au travail. Vers un bien-être durable (Cédric Juliens) • Quand des étudiants en médecine rencontrent des étudiants en arts du spectacle : expériences de simulations de consultations (Pauline Bouchet) • Penser la corporéité en formation professionnelle infirmière. La danse contemporaine comme support d’apprentissage… (Camille Beaudoin Ra-guenes, Laurent Le Bras).
Du constat d’un mal-être ou de difficultés aux actions pour favoriser le mieux-être : De l’accompagnement en formation à l’accompagnement à l’arrêt de formation (Marie-Ange Boclet) • La pré-vention des risques psychosociaux dans le cadre de la formation en soins infirmiers (Sylvie Joclas, Anne-Sophie Olivier) • Faire face à la prise de substances psychoactives chez les étudiants en soins infirmiers… (Virginie Merlet) • Comment pallier le niveau de stress des étudiantes sages-femmes ? (Feride Sulejmani) • Le partenariat entre terrain et IFSI au profit du bien-être de l’étudiant en soins infirmiers (Nicole Cuerq, Christelle Romezin) • Former les tuteurs pour favoriser la bien-traitance de l’étudiant (Shirley Ahrens, Conchita Szyba, Marie-Laure Zieleniewicz) • Le bien-être des équipes pédago-giques. Levier de bien-être pour les apprenants… (Laëtitia Dietemann, Muriel Lhou Moha) • Les sources de bien-être et de mal-être du point de vue des étudiants infirmiers (Élodie Roustan, Pauline Goepp, Auriane Ludwig).
La qualité de vie des étudiants en santé – des leviers d’amélioration : Être étudiant en kinésithérapie aujourd’hui : quelle qualité de vie ? (Xavier Teisseire, Frédéric Rouvière, Bruno Boussagol) • La prise en compte de la qualité de vie et du bien-être des étudiants : quels atouts pour une école de travail social ? (Franck Didier, Corentin Charbonnier) • En quoi une formation ouverte et à distance peut-elle générer du bien-être ? (Jean-François Plateau).
L'ouvrage est disponible sur le site web de nombreux libraires. Il suffit de faire une recherche dans votre moteur de recherches préféré.
Le bien-être des étudiants
Formations aux métiers de la santé
Repères pour une vigilance éthique
dans la relation pédagogique
Coordonné par
Walter Hesbeen
ISBN : 978-2-84276-255-1. Broché, 14,8 x 21,8, 206 pages, 23,50 euros –
Collection Perspective soignante
Depuis ma 1e année en tourisme durable, je savais que je ferais mon stage à l’étranger. Quoi de plus logique pour un étudiant en tourisme ! Le choix de la destination a beaucoup changé entre mes premières réflexions en 1e année et le choix final en Bac 3.
D’abord, la ville de Shanghai en Chine, ville que j’ai eu la chance de découvrir pendant 6 mois après ma rhéto, puis le Japon qui est un pays avec une culture extrêmement riche. Au fil du temps, je me suis de plus en plus renseigné sur Taïwan, une île entre la Chine et le Japon.
Pays qui n’en n’est pas vraiment un, puisque Taïwan a un statut à part dans le monde. L'île fait souvent la une des médias, notamment à cause de sa relation avec la Chine. D’ailleurs, le nom officiel de Taïwan est la République de Chine (la Chine continentale a pour nom officiel République Populaire de Chine).
Pour mon stage de 3e année, j'ai eu l'opportunité de partir au Sénégal de janvier à mai 2019, accompagner des adolescents français en séjour de rupture. Je ne connaissais pas l'Afrique, mais cela faisait longtemps que j'avais envie de partir là-bas. Dans le cadre de cette aventure, j'ai rejoint l'association PDSR, qui propose à des jeunes en difficulté sociale des séjours de 4 mois et 10 jours dans la région du Sine Saloum.
Bien que je sois arrivée en plein milieu du séjour, l'intégration dans l'équipe s'est plutôt bien déroulée. Nos différences culturelles m'ont permis d'apprendre énormément des personnes de ce pays. Nos échanges m'ont fait découvrir de nouvelles pratiques mais aussi de m'ouvrir davantage et me remettre en question.
Le seul point négatif est que, parfois, entre éducateurs, nous n'étions pas du tout d'accord sur certains sujets car nos valeurs étaient très différentes, voire opposées. Ce n'était pas toujours simple à gérer mais cela m'a aidé à affirmer mes points de vue et à prendre confiance en moi.
Une trentaine d'entreprises phares de Belgique et du Luxembourg se sont massées dans notre hall pour rencontrer nos étudiants et leur proposer éventuellement un stage ou un emploi.