COVID-19 : LA HERS ADAPTE LES AXES DE SON PLAN STRATÉGIQUE !
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Je m’appelle Océane et suis étudiante en 4e et dernière année de Bachelier Infirmier Responsable de Soins Généraux (BIRSG). Dès la première année de mon cursus j’ai appris qu’il était possible de réaliser un stage à l’étranger via le projet Erasmus. Chaque année je suis allé aux réunions et me suis informée afin de réaliser ce projet. C’est finalement lors de ma dernière année que celui-ci s’est concrétisé.
J’ai pris la décision de partir effectuer cet Erasmus à Metz en France, mon pays natal, car celui-ci est un pays francophone me permettant donc de ne pas avoir de problèmes de communication avec les équipes. De plus, faisant partie des premiers étudiants sur 4 ans, l’organisation de cette nouvelle année n’était pas fixe et je souhaitais me sentir proche de la Belgique si j’en ressentais le besoin. Enfin, la France est un pays où je souhaitais potentiellement exercer mon métier une fois mon diplôme obtenu, il me paraissait donc logique de réaliser ce stage Erasmus là bas afin de découvrir le système de soins français.
Une fois l’ensemble des documents envoyés et conventions signées, me voilà : la première étudiante BIRSG de mon école à partir vivre cette expérience !
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Assistant.e de direction... Ce nom de fonction semble tout droit sorti du monde des grandes entreprises. Dans la réalité, l'assistant.e de direction peut exercer son activité dans des entreprises de toutes tailles et dans tous les domaines. C'est vrai... Mais dans cette expression, on retrouve aussi la notion d'assistance dans les choix de vie. « Quelle direction vais-je prendre ? »
On ne le sait pas toujours mais, en tant qu'assistant.e de direction, on peut travailler dans n'importe quel secteur, y compris les moins courants à première vue. Dans des domaines aussi variés que l'art, la mode, et - pourquoi pas - la musique ou le tourisme !
Vous en doutez ? Pas Amandine !
À 27 ans, cette jeune bastognarde arbore un CV qui nécessite qu'on s'y reprenne à plusieurs fois pour en faire le tour. En quelques années à peine, Amandine a acquis une expérience impressionnante. Et surtout, elle fait preuve d'un sens de l'adaptation très précieux en ces temps troublés.
Dès le lundi 14 septembre, les cours reprendront majoritairement en présentiel sur tous les sites de la HERS, dans le respect des mesures de protection et conformément au protocole de rentrée établi par la ministre de l’Enseignement supérieur.
Les étudiants qui reviennent de l’étranger sont invités à appliquer les mesures particulières en vigueur.
Le nombre d’étudiants présents simultanément sur chaque site devrait être limité à 75% maximum du nombre global d’étudiants. Une partie des activités pédagogiques pourrait dès lors être dispensée en non-présentiel.
Une attention particulière sera apportée aux étudiants de première année, pour les accompagner au mieux dans leurs premiers pas dans l’enseignement supérieur et faciliter au maximum la transition depuis l’enseignement secondaire.
La Haute Ecole Robert Schuman met tout en œuvre pour vous garantir des conditions d’études et de travail optimales, sécurisées et confortables.
Á la veille de cette rentrée 2020-21, nous vous souhaitons une très belle année académique, riche en apprentissages et en belles rencontres.
Les horaires de cours seront adaptés pour permettre une aération suffisante et une désinfection complète de chaque local.
Les étudiants qui rentrent sur le territoire belge sont avertis de l’application du formulaire électronique d’identification (lien vers https://www.info-coronavirus.be/fr/plf/). Les étudiants qui reviennent d’une zone identifiée rouge ou orange (lien vers https://diplomatie.belgium.be/fr) par le SPF Affaires étrangères, sont invités à respecter les mesures particulières qui les concernent.
À l’initiative de la Ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique Valérie Glatigny, le Gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles a validé 7 projets de Hautes Écoles.
Ces projets été choisis par un jury composé de membres de la communauté académique et scientifique, qui les a classés selon des critères de qualité scientifique, d’impact potentiel et de qualité de mise en œuvre.
Voici la liste des projets sélectionnés :
Parmi les projets retenus figure le projet TEMPOPAL du Centre de Recherche appliquée RESSORT. Cesar Meuris nous en présente les grandes lignes.
En fin de vie, le temps est un élément essentiel pour chacun. De nombreux indicateurs soulignent que le moment de l’appel à l’équipe de soutien en soins palliatifs est pourtant de plus en plus « tardif » et proche de la fin de vie. De ce fait, les moments de prise en charge palliative sont de plus en plus réduits.
Comme le rapporte la Fédération Wallonne des Soins Palliatifs, cette réalité pose difficulté aux soignants, car elle réduit fortement les possibilités d'accompagnement et va à l'encontre des principales recommandations de bonnes pratiques. Ces bonnes pratiques appellent les soignants de première ligne à une intégration précoce des soins palliatifs dans l'ensemble du parcours de soins de chaque patient.
Malgré cette difficulté observée, aucune enquête ou étude ne s’est, à notre connaissance, intéressée à la manière dont ce phénomène de réduction du temps palliatif est vécu par les différents acteurs impliqués dans la fin de vie.
Ce n’est qu’en mettant en lumière une réalité de terrain que l’on pourra favoriser la mise en place de modalités de prises en charge adaptées aux besoins et aux attentes des patients en fin de vie.
À partir de la description d’expériences recueillies auprès de patients, de familles et de professionnels, notre projet a pour objectif d’aider à combler ce manque, et d’interroger – au moyen d’une enquête de terrain - l’adéquation des temporalités de plus en plus réduites de la prise en charge palliative par rapport aux besoins et aux souhaits des différents acteurs impliqués dans la fin de vie.
Pour mener à bien ce projet et le porter, le Centre RESSORT de la HERS a pu compter sur le soutien et l'accompagnement de la cellule d'accompagnement et de valorisation de la recherche SYNHERA, qui représente la recherche appliquée au sein des Hautes Écoles et des Centres de Recherche associés de la FWB.
Félicitations à vous Cécile et Cesar, pour ce travail magnifique ! Nous sommes heureux de vous voir contribuer à la qualité des soins et de l'accompagnement des personnes en fin de vie.
Nos secrétariats se tiennent à votre disposition pour répondre à vos questions, voire pour convenir d'un rendez-vous sur place. Nous précisons simplement qu'à l'heure actuelle, ces rendez-vous sont uniquement possibles pour vous donner des informations complémentaires sur le processus d'inscription.
Contactez la permanence du secretariat par e-mail : secretariat.arlon[at]hers.be. Remplacez le [at] par un "@".
Contactez la permanence du secretariat par e-mail : secretariat.para[at]hers.be. Remplacez le [at] par un "@".
Vous êtes non résident et vous souhaitez vous inscrire en kinésithérapie ou en logopédie ? Envoyez un e-mail à info.nr[at]hers.be. Remplacez le [at] par un "@".
Contactez la permanence du secrétariat par e-mail : secretariat.eco[at]hers.be. Remplacez le [at] par un "@".
Contactez la permanence du secretariat par e-mail : secretariat.virton[at]hers.be. Remplacez le [at] par un "@".
Ils étudient sur le même campus, et dans leur future profession, ils seront amenés à se rencontrer. L'idée de cette journée interdisciplinaire est de réunir les trois sections pour discuter ensemble d'un cas clinique, d'un patient qu'ils seront amenés à rencontrer dans leur future vie professionnelle.
Par petits groupes, ils réfléchissent à un cas commun, sous l'éclairage de leur spécialité : une bonne introduction à l'interdisciplinarité.
Étudiante en Bac 3 Infirmière, Perrine Boulhol témoigne :
En tant qu'étudiante infirmière, on n'a pas souvent l'occasion de rencontrer d'autres étudiants d'autres sections, alors qu'ils seront plus tard nos collègues. On sera tous amenés à prendre des patients en charge ensemble, et en travail d'équipe, il faut qu'on connaisse un minimum nos collègues et ce qu'ils font.
Autre atelier pratique du jour, une expérience au centre de simulation, autour d'un vrai patient... ou presque.
Alexandre Willems, étudiant en Bac 3 en kinésithérapie, nous donne son ressenti sur l'exervice de simulation :
C'est un mannequin, c'est vrai, mais au final, dès qu'on rentre dans la chambre, on se rend compte que le mannequin fait pas mal de mouvements respiratoires, etc. Donc, c'est qu'il paraît assez réel.
Trois étudiants de chaque discipline sont amenés au chevet du mannequin de simulation. Durant leur intervention, les autres étudiants les observent et peuvent avoir un regard critique sur les différentes actions entreprises. Par la suite, le groupe se base sur ces observations pour forger une réflexion qui vise à optimiser la coordination de la prise en charge du patient.
Et on peut dire qu'une telle journée est riche en enseignements pour les étudiants. Pour Emma Simoutre, étudiante en Bac 3 Logopédie, c'était sympa de voir comment chacun allait intervenir par rapport à son métier et ses connaissances.
Alexia Hotton, Bac 3 en soins infirmiers souligne quant à elle la nécessité d'une telle journée :
En temps normal, on est avec d'autres infirmiers, donc on collabore au sein de notre univers. Parfois, il faut aussi laisser place à d'autres intervenants que nous, parce que les patients ont aussi besoin d'autres soins. Il fallait vraiment trouver un juste milieu dans le déroulement des soins.
Trouver sa place, sans empiéter sur celle des autres, devenir un professionnel à l'écoute et efficace, et se remettre sans cesse en question, voilà des objectifs communs pour nos futurs soignants, qui placent le patient au centre de leur attention.
Après avoir obtenu leur diplôme d'Assistante sociale en 2018, Manon et Naïna Bertholet choisi d'acquérir plus d'expérience et partant en "Permis Vacances-Travail" au Canada.
« Après notre bachelier Assistant social, nous souhaitions aller au Canada dans le cadre d’un "Permis Vacances-Travail" pour voyager et acquérir une expérience professionnelle probante nous permettant de faire la différence face aux employeurs. En effet, à la fin de nos études, nous avons eu des difficultés à trouver un emploi par manque d’expérience et d’offres d’emplois dans la région. »
Naïna a commencé à travailler comme vendeuse. Manon a d’abord eu une expérience dans l’accompagnement d’un petit garçon autiste. Ensuite, elle a pu expérimenter le rôle de travailleuse psychosociale au sein d’une maison pour femmes itinérantes. Peu de temps après, Naïna a obtenu un poste au sein de la même maison. Notre objectif premier était atteint !
« L’institution nous a permis de développer une nouvelle manière de voir le lien social et une approche inédite en santé relationnelle. Nous avons aussi vécu des situations inhabituelles, découvert de nouvelles limites, forces et faiblesses.
Cette expérience humaine nous a également beaucoup appris personnellement. Nous nous connaissons mieux, nous avons une meilleure capacité d’adaptation, de résilience, de remise en question, etc.
Cette expatriation qui nous a été profitable peut cependant être compliquée à vivre. Honnêtement, nous avons dû faire face aux manques de notre pays, famille, amis et de repères tout en étant confrontées aux aléas de la vie à Montréal. Cette expérience fut positive pour nous car nous y avions murement réfléchi. En toute transparence, nous n’étions pas préparées à autant de hauts et de bas, de désillusions, de doutes. Ce fut mouvementé ! Malgré tout, elle fut riche en belles surprises et en joies, en inoubliables moments. Et surtout en belles rencontres !
À la fin de cette année, nous sommes revenues en Belgique. Manon a repris la route pour un PVT en Nouvelle-Zélande. Actuellement, nous avons toutes les deux trouvé un emploi à Bruxelles. »