COVID-19 : LA HERS ADAPTE LES AXES DE SON PLAN STRATÉGIQUE !
CONNECTEZ-VOUS À VOTRE COMPTE OFFICE 365 POUR DÉCOUVRIR LES MODIFICATIONS !
En Belgique francophone, deux formations coexistent dans les soins infirmiers. L'une débouche sur le brevet d'infirmière, anciennement appelé "infirmière A2". Ce sont des études de niveau secondaire professionnel qui durent trois ans et demi. Et puis, il y a le titre de Bachelier Infirmier Responsable de Soins généraux. Ces études supérieures se font en quatre ans en Haute École. La différence de niveau entre le baccalauréat et le brevet est très sensible.
À l'issue du baccalauréat, il est possible approfondir ses connaissances dans les soins infirmiers, notamment en poursuivant un Master en Sciences de la santé publique à l'université. Auparavant, la situation était quelque peu différente, puisqu'on pouvait poursuivre avec une Licence en Sciences hospitalières à l'université.
CONNECTEZ-VOUS À VOTRE COMPTE OFFICE 365 POUR DÉCOUVRIR LES MODIFICATIONS !
En section informatique, nos étudiants de Bac 3 n'ont que l'embarras du choix pour débuter leur carrière. De nombreuses entreprises belges et grand-ducales s'intéressent à eux dès la deuxième année et viennent les recruter lors du traditionnel Job Day.
Les relations entre notre département économique et les entreprises se sont muées au fil des années en véritables partenariats, basés sur la confiance. C'est un véritable Win-Win, qui profite in fine aux étudiants de la HERS.
Dans un bâtiment flambant neuf du quartier de Belval, en pleine expansion lui aussi, on vous emmène à la rencontre de trois diplômés de notre section informatique engagés chez ARHS, entreprise leader dans son secteur.
Alexis et Jelle viennent de débuter leur carrière avec des fonctions différentes. Romain a quant à lui déjà plus d'expérience, et sa fonction a évolué en fonction de ses capacités.
Bienvenue dans l'univers de l'informatique !
20 septembre 2019, la planète entière marche pour le climat... Et la HERS emboîte le pas à Libramont et à Virton.
Les étudiants, enseignants et membres du personnel témoignent de leur préoccupation pour le climat et partagent les valeurs de la HERS avec le public.
Parmi ces valeurs figure la durabilité, et la HERS initie le changement au travers d'actions concrètes :
Cette crise climatique est pour nous tous une occasion de poser de nouveaux choix.
" Soyons le changement que nous voulons voir advenir dans le monde." (Gandhi)
Du 20 au 27 septembre 2019, c'est la Global Week for the Future. Plus de 2 400 événements sont prévus cette semaine, et des millions de personnes quitteront leurs salles de cours, leur lieu de travail pour marcher et demander aux gouvernements de poser des actions concrètes pour le climat.
En réponse à cet appel planétaire, nous avons décidé, à la HERS, d'emboîter le pas et nous vous encourageons à nous rejoindre en masse ! Enseignants, membres du personnel administratif et étudiants du campus de Libramont, nous nous mettrons en route pour soutenir cet appel.
Vendredi 20 septembre 2019, à 12 h 30, nous quitterons pour un temps notre lieu de cours ou de travail et nous mettrons en route vers la Place communale de Libramont, en empruntant les trottoirs, chacun partant de là où il se trouve.
Nous vous proposons une marche consciente, à l'image de ce que l'on pratique dans les ateliers de pleine conscience. Notre attention sera centrée sur chacun de nos pas, mais pas seulement cette fois-ci. Nous apporterons également notre soutien conscient à tous les acteurs du changement... et à notre planète. L'idée est de nourrir les acteurs du changement de nos plus belles pensées, mais aussi de manifester notre préoccupation de citoyens du monde.
Arrivés sur la Place communale, nous ferons un pique-nique devant la commune, tous ensemble. Et vers 13 h 30, nous repartirons sur nos lieux de travail et/ou de vie. Nous vous invitons donc à prévenir vos collaborateurs ou étudiants d'un léger retard dans la reprise des cours.
À vendredi, pour le climat !
Cette fois, ce philosophe passionnant a choisi de questionner la désobéissance civile, dont nous découvrons des exemples chaque jour. Face aux urgences climatiques, au sort réservé aux migrants ou encore aux injustices sociales qui se creusent, de plus en plus de citoyens ne se contentent plus de s'indigner : ils passent à l'acte en recourant à cette désobéissance civile. Certains osent le faire dans le cadre de leur profession, comme des soignants par exemple. Beaucoup sont tentés, mais hésitent à se lancer. On peut d’ailleurs se demander s’il est légitime, dans un système démocratique, de désobéir.
Le cycle de conférences nous aidera à y voir plus clair : est-ce que désobéir, ce n’est-ce pas cautionner dans certains cas la violence ? Mais à l'inverse, se soumettre, n'est-ce pas renoncer à sa liberté, et donc à sa dignité ?
C’est avec la simplicité, l’humour et la pédagogie qui lui sont propres que Jean-Michel Longneaux, professeur à l’Université de Namur, abordera ces questions et permettra à chacun de se forger une opinion.
Ces conférences sont organisées par le centre RESSORT, de la Haute Ecole Robert Schuman. Elles auront lieux les jeudis 3 octobre, 14 novembre, 12 décembre, 6 février, 5 mars et 2 avril 2020 à 20 heures.
Entrée : 8 euros, 30 euros pour les 6 soirées.
Renseignements et réservations : www.ressort.hers.be et 061 46 86 90.
Envie d'avoir une meilleure vision du quotidien des assistantes de direction ?
Fraîchement diplômée en section AD de la Haute École Robert Schuman, Clémence est partie à la rencontre des professionnels sur le terrain.
D'Arlon à Marche, en passant par Bertrix, elle constate l'évolution du métier et la nécessité de pouvoir compter sur les assistantes dans différents types d'entreprises.
Ces derniers mois, le climat a été au centre de toutes les attentions. Enfin, pourrions-nous dire !
Si les conclusions des experts du GIEC ont eu quelque écho dans la presse, c’est à la jeune Greta Thunberg que nous devons cette prise de conscience planétaire. Cette jeune fille s’est levée pour exiger des gouvernements qu’ils adoptent des mesures pour préserver notre planète et le climat, et son engagement a fait boule de neige.
D’autres personnes courageuses se sont levées pour vivre leurs valeurs, comme la capitaine du Sea-Watch, Carola Rackete, qui a bravé les interdits pour défendre la cause des réfugiés.
Cet engagement ne se fait pas sans heurt, loin s’en faut. D’aucuns refusent d’admettre l’impact délétère des activités humaines sur l’environnement. Tout aussi nombreux sont-ils à opter pour le repli sur soi. Pour éviter d’aborder les vrais problèmes, certains n’hésitent d’ailleurs pas à se livrer à des attaques ad hominem envers les personnes qui s’engagent au quotidien.