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Les sciences seront à nouveau à l’honneur durant ce second quadrimestre. Le département des Sciences & technologies de la HERS propose différents ateliers dans des domaines aussi variés que la chimie, la physique ou encore la construction.
Destinés aux étudiants du secondaire (5e et rhétoriciens), ces ateliers se dérouleront de janvier à avril 2023 sur le campus d’Arlon (chemin de Weyler, 2), ils pourront être suivis individuellement ou par classe.
Les dates seront à définir au moment de l’inscription. La participation est gratuite mais il est impératif de s’inscrire :
Programme individuel
Programme par classe
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Il y a du neuf à la HERS. Dès la rentrée de septembre 2023, un Bachelier en accueil et éducation du jeune enfant (AEJE) sera organisé en province de Luxembourg par la HERS (institution référente), l’Hénallux et l’EAFC du sud-Luxembourg.
Cette nouvelle formation de niveau 6 qui vient de recevoir un avis favorable de l’ARES (Académie de recherches et d’enseignement supérieur) sera dispensée sur notre campus de Mageroux (Virton). Né de la nécessité de professionnaliser le métier d’accueillant.e d'enfants, ce bachelier est particulièrement novateur, et ce à plusieurs niveaux.
Il s’inscrit tout d'abord dans une démarche intégrative, les différents modules se croisant les uns les autres et se nourrissant d'illustrations de terrain.
Les cours proposés s’ancrent ensuite dans la réalité du quotidien. Ainsi, chaque quadrimestre se construit sur une famille de situations :
En ce qui concerne les stages, le suivi s’effectue via des temps d’analyse des pratiques, et non à l'aide de visite de stage "classiques".
Enfin, le public visé par ce bachelier est particulièrement diversifié puisqu'il concerne tant des jeunes qui entrent dans l’enseignement supérieur, avec ou sans notion de l’accueil du jeune enfant, que des jeunes en quête de réorientation, tant des adultes en reprise de formation que des professionnels issus de structures d’accueil qui, dans un souci de mobilité verticale, souhaitent renforcer leur formation.
Campus Virton
Plateau de Mageroux
B-6760 Virton
+32 63 578253 ou
Bisexualité, transgenre ou encore discrimination étaient au programme des rencontres éducatives. Un rendez-vous annuel destiné aux étudiants du Bloc 3 de la section Educateur de la HERS. « Il s’agit avant tout d’un moment d’échange entre nos étudiants et les professionnels. Le secteur social est tellement vaste que certains aspects ne sont pas pris en compte dans le cursus », explique François Godart, coordinateur de la manifestation au côté de Florence Simon et Bénédicte Donay.
Et le thème de cette édition 2022 est particulièrement dans l’air du temps. « Nous constatons qu’il existe peu d’outils pour appréhender la problématique LGBTQIA+ et pourtant nos étudiants seront confrontés à ce public tôt ou tard dès qu’ils auront intégré le monde professionnel », estiment les enseignants.
Afin de donner un maximum d’informations aux étudiants, des tables rondes, des conférences ainsi que des ateliers ont été organisés durant deux journées avec la collaboration de la Maison Arc-en-Ciel de Virton, l’asbl Rain’Gaum ou encore le Fourneau David-les Iris
Parmi les thèmes abordés, les médias sociaux et la sexualité, la décriminalisation du travail du sexe, la notion du consentement, handicap et sexualité, la transidentité, le quotidien des LGBTQIA+ et leur combat ou encore les demandeurs d’asile LGBTQIA+. « Ces animations ont pour but de susciter la réflexion chez les étudiants, l’objectif recherché est aussi de casser les codes et les stéréotypes », précise Claudine Saussus dont l’association Rain’Gaum sensibilise les jeunes en menant des actions sur le terrain.
En guise d’épilogue à ces journées, la soixantaine d’étudiants ainsi que des élèves de 5e et 6e secondaire ont assisté au spectacle « Passé Composé d’un gay versatile spécialiste en généralités ». Une création qui a vu le jour à la suite d’une réflexion commune menée par la Compagnie du Campus et David Lallemand.
Durant près d’une heure, les questions du genre, de l’homosexualité, de l’homophobie, de la tolérance, de la différence et de l’exclusion ont été abordées. Un spectacle alliant humour, questions morales et philosophiques.
La vie nous impose un rythme effréné : entre les travaux, les projets collectifs et les stages, bon nombre d’étudiants se sentent submergés à la veille des fêtes de fin d’année et du tant redouté blocus. Alors, une question se pose : et si pour une fois, nous prenions le temps de penser à nous ?
C’est l’incroyable défi auquel les étudiants de BLOC 3 section éducateur spécialisé ont dû répondre. À partir d’un thème commun, la bibliothérapie, les étudiants ont dû imaginer un projet créatif.
La bibliothérapie ! C’est une pratique qui consiste à utiliser la lecture comme outil de relaxation, de bien-être, comme moyen de mieux se connaître, connaître le monde qui nous entoure, de trouver des réponses à nos questions. Un thème commun à chaque groupe qui a permis d’exprimer la singularité de tous.
Ce projet a toute sa place dans la formation des éducateurs spécialisés. Plus que jamais, le livre et la bibliothérapie sont des outils de développement personnel, mais également de vivre ensemble.
Le livre, tout en permettant de réaliser sa propre introspection, nous met face à l’autre, face à l’altérité. Il nous permet de comprendre comment composer dans ce monde pluriel, et relativise les lieux communs que nous croyions immuables.
Mais les livres sont également la somme des mots qui permettent de réparer tous nos maux. Comment ? Grâce à une citation glanée qui vous redonnera le sourire, la résurgence d’un souvenir qui deviendra une véritable madeleine de Proust… les mots sont des petits bonbons qui peuvent nous protéger de bien des maux… et ça, les étudiants en éduc l’ont bien compris .
Aller à la rencontre des livres, ça passe forcément par la bibliothèque. Pendant 4 jours, nos étudiants se sont approprié les lieux. Au programme : découverte des lieux, décoration, mise en valeur d’ouvrages sur le développement personnel et aménagement d’un espace cosy.
C’est certain, cette année, vos recherches en bibliothèque auront une saveur toute différente, et ça, c’est grâce à nos éducs et à Émilie Liegeois et Maud Stilmant!
😊 Pssst : si tu cliques su le lien suivant tu pourras accéder à une playlist relaxante, spécialement concoctée par nos étudiants
https://m.youtube.com/playlist?list=PLhXkC14K64u1-BzhEKhdqqpHTjFc0S88x
Dans le cadre du cours de "Fondements du travail social", les étudiants de la formation Assistant social à horaire décalé, codiplômée par l'Hénallux et la HERS, ont pu participer à une conférence en direct depuis Montréal, le 1er décembre à l’occasion de la journée mondiale de lutte contre le sida.
Pierre Ravary, intervenant auprès de différents organismes à Montréal et ailleurs, a évoqué la thématique du VIH à nos étudiants. L’objectif de cette rencontre était double: proposer aux étudiants un exposé sur le VIH, ses modes de transmission, les nouvelles stratégies thérapeutiques, la PrEP (Prophylaxie Pré-Exposition) et créer un temps d’échanges et de questions sur cette thématique.
Cette rencontre d’une heure avec Pierre Ravary a été riche en échanges et en acquisitions de nouvelles connaissances. Elle a également permis aux étudiants d’acquérir du vocabulaire spécifique lié au contexte, ce qui leur permettra d’avoir une posture professionnelle en adéquation avec les besoins des patients.
La formation d'Assistant social demande aux enseignants de mettre en place ces moments d’échanges avec des personnes du terrain afin de permettre aux étudiants de faire des transferts de connaissances sur la posture professionnelle du travailleur social.
Dans cette thématique, les incidences psychologiques et sociales de l’épidémie constituent, pour les travailleurs sociaux, un nouveau champ de pratiques. La prise en charge médicale ne se conçoit pas sans la prise en compte du bien être psychologique et social de la personne. Les expériences de la lutte contre le sida ont montré l’efficacité de l’intégration la plus étroite possible entre le traitement médical et l’intervention sociale. Cette intégration doit donc être favorisée et instituée au maximum.
Si les étudiants de la Haute École Robert Schuman connaissent bien le programme Erasmus qui leur permet d’effectuer un stage ou une mobilité académique de longue durée à l’international, 3 étudiants de la section Bachelier en Informatique ont pu vivre une nouvelle expérience grâce au volet « Short Mobility – Mobilité courte ».
En effet, le nouveau programme Erasmus (2021-27) prévoit un nouvel axe « Blended Intensive Programme – Programme de mobilité hybride ». Ce programme de courte durée (5 jours) prévoit donc une composante virtuelle associée à un séjour dans le pays d’accueil.
Nos 3 étudiants, Thibault, Mathis et Nicolas, se sont donc rendu en Slovénie afin de suivre les Summer School Programmes proposés par notre partenaire de l’Université de Maribor. Ils en reviennent conquis, voici leur témoignage.
« C’était une agréable surprise, je ne pensais jamais remporter ce prix. » Ine Calujek est aux anges après avoir reçu le Prix du TFE de l’Administration générale du Sport décerné début décembre à l’occasion de la 7e Journée de la Recherche en Fédération Wallonie-Bruxelles.
Une distinction d’autant plus inattendue que cette Virtonaise, titulaire d’un bachelier en Éducation physique, connaît des difficultés d’apprentissage. « Je suis dyslexique et dysorthographique, je n’ai pas compté mes heures que ce soit au niveau de la lecture, de la compréhension et de la rédaction des textes », dit-elle.
Son TFE - « Stop aux sports genrés, par l'augmentation du sentiment de compétence chez des élèves de 4ème primaire » - a donc séduit le jury de cet événement dont le but est de stimuler et renforcer les liens entre les centres de recherches universitaires et les centres d’activités de l’administration.
Pour définir la problématique de son travail de fin d’étude, Ine n’a pas dû chercher longtemps. « Lors de mes études, il y avait un programme de cours différent entre les garçons et les filles. J’ai fait le même constat lors des stages. Pourquoi les garçons par exemple sont moins impliqués dans des activités rythmiques ? »
« Grâce à ma méthodologie, j’ai pu démontrer une augmentation du sentiment de compétence de l’élève », précise encore cette ancienne étudiante du département pédagogique. « Le travail d’Ine est novateur, elle a mis en avant le sentiment de compétence de l’élève », conclut Maïté Kolp, Maître assistante en psychologie et pédagogie à la HERS.